Unaccord relatif aux salaires a Ă©tĂ© conclu dans la convention collective nationale de travail des Ă©tablissements et services pour personnes inadaptĂ©es et handicapĂ©es ( CCN 66 IDCC 413 ). Il s’agit de l’avenant n°361 du 9 juin 2021 qui revalorise l’ensemble des salariĂ©s et qui modifie les coefficients immergĂ©s sous le montant du SMIC.

SignatairesFait Ă  Fait Ă  Paris, le 14 octobre 2020. Suivent les signatures.Organisations d'employeurs SYNERPA ; FHP ; CNETh,Organisations syndicales des salariĂ©s FSS CFDT ; FSPSS FO ; FSAS CGT ; CFTC santĂ© sociaux,AdhĂ©sion UNSA, par lettre du 23 novembre 2021 BO n°2021-49Information complĂ©mentaireLe prĂ©sent accord est conclu pour une durĂ©e dĂ©terminĂ©e venant Ă  Ă©chĂ©ance au 31 janvier les "non en vigueur" PrĂ©ambule Dans un contexte sanitaire particuliĂšrement dĂ©gradĂ© en raison de l'Ă©pidĂ©mie Covid-19 » les partenaires sociaux ont souhaitĂ© favoriser les conditions permettant aux salariĂ©s des Ă©tablissements compris dans le champ d'application du prĂ©sent accord de se faire vacciner contre la grippe dite saisonniĂšre. ProtĂ©ger la santĂ© des professionnels, des patients et des rĂ©sidents est l'objectif assignĂ© par les dispositions du prĂ©sent vaccination reste au libre choix du salariĂ© et ne constitue en aucun cas une obligation. Champ d'application Les dispositions du prĂ©sent accord concernent les Ă©tablissements privĂ©s de diagnostic et de soins et de rĂ©adaptation fonctionnelle avec ou sans hĂ©bergement, les Ă©tablissements d'accueil pour personnes handicapĂ©es et pour personnes ĂągĂ©es, de quelque nature que ce soit, privĂ©s, Ă  caractĂšre commercial, ainsi que des Ă©tablissements thermaux sur l'ensemble du territoire national comprenant les dĂ©partements, rĂ©gions et collectivitĂ©s d' donc notamment visĂ©es par cet accord, les activitĂ©s Ă©conomiques enregistrĂ©es sous les rubriques – services hospitaliers ; – activitĂ©s hospitaliĂšres ; – hĂ©bergement mĂ©dicalisĂ© pour personnes ĂągĂ©es ; – hĂ©bergement mĂ©dicalisĂ© pour enfants handicapĂ©s ; – hĂ©bergement mĂ©dicalisĂ© pour adultes handicapĂ©s et autres hĂ©bergements mĂ©dicalisĂ©s ; – hĂ©bergement social pour personnes ĂągĂ©es ; – accueil ou accompagnement sans hĂ©bergement d'adultes handicapĂ©s ou de personnes ĂągĂ©es ; – entretien corporel. Personnels concernĂ©s Sont Ă©ligibles aux dispositions contenues dans le prĂ©sent accord tous les salariĂ©s des Ă©tablissements ci-dessus, quel que soit leur statut CDI ou CDD et leur durĂ©e du travail temps plein ou temps partiel, sous rĂ©serve d'ĂȘtre prĂ©sent pendant la campagne dispositions s'appliquent Ă©galement aux salariĂ©s ayant conclu un contrat en alternance et les salariĂ©s titulaires d'un contrat aidĂ©. Prise en charge du coĂ»t de la vaccination À la date d'effet du prĂ©sent accord et pendant toute la durĂ©e de la pĂ©riode vaccinale contre la grippe saisonniĂšre, soit jusqu'au 31 janvier 2021, les Ă©tablissements tels que dĂ©finis dans l'article 1er relatif au champ d'application prendront en charge les vaccins, qu'ils mettront Ă  disposition des salariĂ©s, tels que dĂ©finis Ă  l'article 2 ou Ă  dĂ©faut sur justificatif du coĂ»t si la vaccination ne peut ĂȘtre rĂ©alisĂ©e au sein de l'Ă©tablissement. Prise en charge du temps de vaccination Les salariĂ©s dĂ©sireux de se faire vacciner en informeront la direction de l'Ă©tablissement Ă  l'effet que toutes les mesures soient prises pour que les salariĂ©s concernĂ©s puissent se rendre disponibles pour faire effectuer cette vaccination. Dans la mesure du possible, la vaccination sera rĂ©alisĂ©e sur le temps de travail du salariĂ©. Si toutefois l'entreprise n'est pas en mesure de rĂ©aliser la vaccination du salariĂ© sur son temps de travail, le temps nĂ©cessaire Ă  sa rĂ©alisation sera rĂ©munĂ©rĂ© comme temps de travail effectif, sur prĂ©sentation de justificatifs. Entreprises de moins de 50 salariĂ©s Le prĂ©sent accord s'applique sans dispositions particuliĂšres aux entreprises de moins de 50 salariĂ©s. Date d'effet Le prĂ©sent accord prend effet Ă  la date de sa signature pour les entreprises adhĂ©rentes Ă  la FHP, au SYNERPA et au CNETH et Ă  la date d'extension pour les autres. Extension. DĂ©pĂŽt L'extension du prĂ©sent accord sera demandĂ©e par la partie la plus prĂ©sent accord sera dĂ©posĂ© en deux exemplaires, auprĂšs de la DGT, une version signĂ©e du prĂ©sent avenant sur support papier et une version sur support Ă©lectronique. Un exemplaire sera adressĂ© au greffe du conseil de prud'hommes de prĂ©sent accord est fait en nombre suffisant pour remise Ă  chacun des signataires, plus les exemplaires destinĂ©s au dĂ©pĂŽt lĂ©gal.

valeurdu point convention 51 2021christijan albers vermogen. Credit Solution Experts Incorporated offers quality business credit building services, which includes an easy step-by-step system designed for helping clients build their business credit effortlessly. Toggle navigation. peter kröner wikipĂ©dia ; nombre d'employĂ©s ikea dans le monde; gains euromillion 11 juin 2021; Les sages-femmes du secteur privĂ© Les sages-femmes exerçant au sein des Ă©tablissements de santĂ© privĂ©s, qu’ils soient Ă  but lucratif ou non, doivent pouvoir y exercer l’ensemble de leurs compĂ©tences, en toute indĂ©pendance. La FEHAP et la FHP ont chacune leur Convention Collective Nationale CNN, ce qui entraĂźne une grande disparitĂ© du statut des sages-femmes entre les Ă©tablissements privĂ©s. Les sages-femmes exerçant au sein des Ă©tablissements de santĂ© privĂ©s, qu’ils soient Ă  but lucratif ou non, doivent pouvoir y exercer l’ensemble de leurs compĂ©tences, en toute indĂ©pendance. L’exercice des sages-femmes est rĂ©gi par les rĂšgles du droit du travail. La Cour des comptes, les organisations et les syndicats de sages-femmes, ainsi que le Conseil National de l’Ordre des Sages-femmes, pointent depuis les annĂ©es 2000 les dĂ©crets de pĂ©rinatalitĂ© de 1998 ils ne sont plus adaptĂ©s, trĂšs rapidement devenus obsolĂštes du fait des restructurations des maternitĂ©s de mĂȘme que la circulaire DHOS/M/P n° 2002-308 du 3 mai 2002. Si dans les Ă©tablissements FEHAP, les sages-femmes sont employĂ©es comme cadre mĂ©dical comme les autres personnels mĂ©dicaux, dans les Ă©tablissements de la FHP, les sages-femmes sont employĂ©es comme agent de maĂźtrise dans la majoritĂ© des cas. Ni les grĂšves de 2001, ni celles de 2013/2014 n’ont permis de nĂ©gocier, sur le plan national, un statut mĂ©dical des sages-femmes dans les maternitĂ©s de la FHP. Dans certaines, grĂące Ă  des nĂ©gociations internes, les sages-femmes ont obtenu un statut de cadre ou d’affiliĂ© cadre, sans pour autant ĂȘtre dans la case des personnels mĂ©dicaux. Le statut de cadre permet juste de bĂ©nĂ©ficier d’une prime sage-femme. Pour autant, leur responsabilitĂ© est bien considĂ©rĂ©e comme mĂ©dicale sur le plan juridique. Les juges s’appuyant sur les textes de loi comme le code de la SantĂ© publique qui dĂ©finit bien les sages-femmes profession mĂ©dicale ! De mĂȘme, il est temps de changer le cadre d’emploi des sages-femmes et de revoir le salaire des sages-femmes du secteur privĂ© en les indexant sur le salaire des sages-femmes salariĂ©es du public. L’ONSSF milite pour que le rĂŽle, les missions et les salaires des sages-femmes au sein des cliniques privĂ©es soient revus. Parmi les Ă©tablissements privĂ©s de santĂ©, on distingue Les Ă©tablissements de santĂ© privĂ©s Ă  but non lucratif qui sont devenus des Ă©tablissements de santĂ© privĂ©s d’intĂ©rĂȘt collectif ESPIC avec la loi dite HĂŽpital, patients, santĂ© et territoires HPST de 2009. On y trouve principalement des structures gĂ©rĂ©es par des personnes morales de droit privĂ© associations, fondations, congrĂ©gations religieuses, mutuelles
. Ils sont adhĂ©rents Ă  la FEHAP FĂ©dĂ©ration des Ă©tablissements hospitaliers et d’Aide Ă  la Personne PrivĂ©s Non Lucratifs. Les Ă©tablissements Ă  but lucratif les cliniques privĂ©es qui sont juridiquement des sociĂ©tĂ©s commerciales, et au sein desquels les sages-femmes exercent majoritairement Ă  titre salariĂ© et les mĂ©decins majoritairement Ă  titre libĂ©ral. Ce secteur connaĂźt depuis plusieurs annĂ©es des restructurations importantes avec la constitution notamment de groupes de cliniques. Ils sont adhĂ©rents Ă  La FĂ©dĂ©ration de l’hospitalisation privĂ©e FHP. En 2016, l’ONSSF faisait une demande d’adhĂ©sion au prĂšs de la DGT Direction GĂ©nĂ©ral du Travail, pour devenir signataire de la Convention et enfin pouvoir la dĂ©noncer, afin d’entamer des nĂ©gociations. Notre demande a Ă©tĂ© accordĂ©e et l’adhĂ©sion de l’ONSSF Ă  la Convention est inscrite dans le texte. Cependant cela n’a pas suffit pour avoir du poids devant les organisations syndicales et patronales, puisqu’il faut ĂȘtre reprĂ©sentatif Ă  hauteur de 10 % au sein des Ă©tablissements de santĂ© privĂ©s pour peser dans les nĂ©gociations. Si nous voulons que la voix des sages-femmes soit entendue, il faut donc crĂ©er une dĂ©lĂ©gation ONSSF dans chaque clinique. Actuellement, il n’en existe aucune. C’est aux sages-femmes, sur le terrain, de s’approprier cette possibilitĂ©. La situation dans les maternitĂ©s des Ă©tablissements de la FHP La FHP-MCO est la branche MĂ©decine, Chirurgie et ObstĂ©trique de la FHP, elle compte 550 Ă©tablissements privĂ©s adhĂ©rents dont 120 maternitĂ©s. Les maternitĂ©s de la FHP emploient % des sages-femmes en 2017. Elles sont en majoritĂ© salariĂ©es, quelques unes en activitĂ© mixte c’est-Ă -dire salariĂ©e et libĂ©rale. Leur contrat de travail s’intĂšgre dans la Convention collective nationale de 2002 conclue entre les reprĂ©sentants des salariĂ©s et les reprĂ©sentants patronaux. Elle rĂšgle les rapports entre les employeurs et les salariĂ©s des Ă©tablissements privĂ©s, Ă  caractĂšre commercial, sur l’ensemble du territoire national, dĂ©partements d’outre-mer inclus. Elle vise Ă  spĂ©cifier les rĂšgles des contrats de travail. Elle Ă©tablit un second cadre lĂ©gislatif et permet d’ajuster les dispositions gĂ©nĂ©rales du Code du travail Ă  un environnement donnĂ©. De plus en plus de sages-femmes obtiennent des diplĂŽmes universitaire gynĂ©cologie, tabacologie, sexologie
 ou inter-universitaire Ă©chographie
. Ceci leur permet, parfois, de dĂ©velopper une activitĂ© libĂ©rale au sein de ces cliniques privĂ©es mais n’est pas reconnu dans l’activitĂ© salariĂ©e. De fait, l’activitĂ© des sages-femmes salariĂ©es est invisible; elles ne peuvent pas coter leurs actes, sauf les surveillances de grossesse avec monitoring de fin de grossesse. Sauf lorsque l’établissement y trouve un intĂ©rĂȘt financier et dĂ©tourne une cotation prĂ©vue dans l’exercice libĂ©rale de la profession en cotant la surveillance du travail en cas de cĂ©sarienne ou d’extraction instrumentale codage JQQP099 ! AprĂšs de multiples rĂ©unions avec la FHP, syndicat patronal de ces Ă©tablissements, qui n’ont menĂ© Ă  rien, l’ONSSF a, durant l’annĂ©e 2016, rencontrĂ© les plus grands groupes financiers dont ELSAN. L’objectif Ă©tait de promouvoir le rĂŽle de la sage-femme auprĂšs des managers des groupes afin de les inciter Ă  dĂ©ployer l’offre de soins sage-femme dans leur maternitĂ© Ă  but lucratif. Depuis peu, nous voyons l’offre de soins sage-femme se dĂ©velopper. Le monde Ă©volue, les cliniques n’appartiennent plus au cercle fermĂ© des mĂ©decins. L’organisation interne des maternitĂ©s est propre Ă  chaque Ă©tablissement. Il est temps de modifier la convention pour permettre aux sages-femmes d’ĂȘtre enfin reconnues comme dĂ©fini dans le Code de la SantĂ© Publique profession mĂ©dicale. Les grilles de salaires des sages-femmes dans la FHP, ont Ă©tĂ© revues au 1er septembre 2017. ‱‱‱ LES GRILLES DE SALAIRES Notons que la rĂ©forme du Code du travail par ordonnances, dont les 117 mesures sont toutes entrĂ©es en vigueur Ă  partir du 1er janvier 2018, vise Ă  donner plus de pouvoir aux accords d’entreprise. Ces derniers pourront dans certains cas prendre le dessus sur les Conventions collectives. Pour en savoir plus sur ce qui a Ă©tĂ© nĂ©gociĂ© dans votre Ă©tablissement, il faudra vous renseigner auprĂšs des organisations syndicales interprofessionnelles prĂ©sentes dans votre Ă©tablissement. La sage-femme salariĂ©e exerçant en clinique privĂ©e peut-elle coter les actes qu’elles pratiquent? Les sages-femmes, exclusivement salariĂ©es du privĂ© FHP ou FEHAP, peuvent uniquement coter au nom de l’établissement les examens de grossesse pathologique avec monitoring rĂ©alisĂ©s pendant la grossesse et l’examen de fin de grossesse avec un maximum de deux, au dernier mois sauf urgence comportant l’enregistrement du rythme cardiaque fƓtal et Ă©ventuellement une amnioscopie. dans le cadre de ce qui est dĂ©fini en NGAP et uniquement en consultations externes pas pendant l’hospitalisationUne dĂ©rogation en ce sens Ă  Ă©tĂ© accordĂ©e aux Ă©tablissements privĂ©s en 2009 et 2010. Dans ce cas, la CPAM rĂšgle directement la clinique. Attention les monitorings de surveillance du travail Surveillance du travail par un praticien diffĂ©rent de celui qui rĂ©alise l’extraction cotĂ© JQQP099 n’entre pas dans cette dĂ©rogation, de mĂȘme que l’examen de grossesse avec monitoring sans prescription du mĂ©decin cotĂ©e SF si grossesse simple ou SF si grossesse multiple créé par l’Avenant 4 Ă  la Convention Nationale des sages-femmes. Par contre, rien n’interdit aux sages-femmes salariĂ©es de consigner leur activitĂ© et de tracer leur acte mais ceux-ci ne donnent pas droit Ă  paiement par les Caisses d’assurance maladie. Il s’agit d’un simple relevĂ© d’actes Ă  usage interne, tout Ă  fait utile pour justifier de l’activitĂ© sage-femme au sein de l’établissement. en savoir plus sur les cotations NGAP
 Le point sur les maternitĂ©s des Ă©tablissements de la FEHAP Les ESPIC rĂ©pondent Ă  trois engagements vis-Ă -vis du public pas de limitation Ă  l’accĂšs aux soins ; pas de dĂ©passement d’honoraires ; continuitĂ© du service accueil 24h/24. Leur mode de financement est le mĂȘme que celui des hĂŽpitaux publics. On trouve parmi eux environ 700 Ă©tablissements de santĂ© privĂ©s gĂ©rĂ©s par des organismes sans but lucratif, ainsi que les 20 centres de lutte contre le cancer et des structures d’hospitalisation Ă  domicile ou de dialyse. Les maternitĂ©s FHP emploient % des sages-femmes en 2017. Selon la Convention de la FEHAP, les sages-femmes sont employĂ©es comme cadre mĂ©dical comme les autres personnels mĂ©dicaux. Leur contrat de travail s’intĂšgre dans la Convention collective nationale du 31 octobre 1951. Si leur situation est plus proche des sages-femmes hospitaliĂšres publiques, leurs grilles salariales restent diffĂ©rentes BloquĂ© depuis 2009, la valeur du point a Ă©tĂ© revalorisĂ©e le 1er juillet 2017 par l’avenant n° 2017-02 du 15 mars 2017 relatif Ă  la revalorisation de la valeur du point et aux classifications de la convention collective nationale CCN du 31 octobre 1951 arrĂȘtĂ© du 4 juin 2017, JO du 16 juin. Il modifie Ă©galement les coefficients des sages-femmes. Afin “d’étaler le coĂ»t liĂ© Ă  ces mesures”, une application Ă©chelonnĂ©e dans le temps est prĂ©vue. ‱‱‱ LES GRILLES DE SALAIRES Les sages femmes de la FHP, on en est oĂč? Mouvement des sages-femmes en 2022 Le 26 novembre 2021, une lettre des sages-femmes des maternitĂ©s de la FHP est envoyĂ©e au PrĂ©sident de la RĂ©publique, au prĂ©sident de la FHP, aux ministres et aux directeurs des cliniques Une lettre reprĂ©sentant les 2256 sages-femmes de la FHP qui met en exergue leur profession nĂ©gligĂ©e. Elle fait suite Ă  la transposition des augmentations du public au privĂ© qui reste insuffisante face Ă  l’écart de salaire de 25% entre une SF du privĂ© et du public. Dans cette lettre, elles exposent leurs revendications en termes de salaires, d’effectifs et de statut. PremiĂšrement en terme d’effectif. Elles demandent une rĂ©vision du dĂ©cret de pĂ©rinatalitĂ© datant de 1998 en se basant sur les recommandations du CNSF, du CNGOF, de la SFAR et de la SFN de 2018. Plus de 20 ans nous sĂ©parent entre l’écriture de ce dĂ©cret et aujourd’hui, pourtant aucune actualisation n’est en cours. Un dĂ©cret obsolĂšte qui n’est plus en adĂ©quation avec le travail de sage-femme actuel. Au fil des annĂ©es, les sages-femmes ont vu leur charge administrative augmenter ainsi que l’exigence des patientes. Comment aujourd’hui pratiquer un “ accouchement respectĂ© “ si vous ĂȘtes seules Ă  gĂ©rer 3 patientes ? Une ambivalence entre une sociĂ©tĂ© qui est en demande croissante d’accouchements plus respectueux de la physiologie et des hĂŽpitaux en sous-effectif qui s’essoufflent par manque de moyens. Certaines parlent mĂȘme de maltraitance pour la patiente mais aussi pour la sage-femme
 DeuxiĂšmement, les sages-femmes du privĂ© dĂ©crivent aussi une inĂ©galitĂ© en termes de salaire 25% d’écart en moyenne en moins pour la FHP selon une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en comparant les fiches de paie public/privĂ© fin 2021. Une inĂ©galitĂ© entre le privĂ©/public mais aussi au sein mĂȘme des Ă©tablissements du privĂ© certaines sont reconnues cadres alors que d’autres sont agents de maĂźtrise. Elles demandent une nouvelle grille de salaire Ă  la hauteur de leurs responsabilitĂ©s. Un travail colossal a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© afin de prouver ces diffĂ©rences et se trouve dans l’annexe 3 de cette premiĂšre lettre. TroisiĂšmement, elles rĂ©clament un meilleur statut avec la crĂ©ation d’un siĂšge permanent dans les CME des maternitĂ©s de la FPH. Suite Ă  cette lettre, la FPH et le gouvernement restent sourds. Une deuxiĂšme lettre, le 24 dĂ©cembre 2021, est lancĂ©e. Elle dĂ©nonce l’irresponsabilitĂ© de la FPH de ne pas contribuer Ă  l’augmentation des salaires du privĂ© contrairement Ă  l’Etat. Les sages-femmes appellent Ă  cesser l’hĂ©morragie
 Une grĂšve nationale du privĂ© se lance en janvier 2022. Pour rĂ©pondre Ă  cette grĂšve et au courrier du 24 dĂ©cembre 2021 , Lamine gharbi adresse le 6 janvier un courrier aux SF du privĂ©. Il assure que le diffĂ©rentiel de rĂ©munĂ©ration entre privĂ©/public Ă  deux ans d’anciennetĂ© serait de 2%. Il dit avoir avoir connaissance de l’hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© entre les SF des Ă©tablissements du privĂ© et ainsi engager un travail de classifications-rĂ©munĂ©rations Ă  ce propos. Il assure que la question du statut cadre des SF se posera cette annĂ©e
 Par ailleurs, il dĂ©clare que la rĂ©vision du dĂ©cret de pĂ©rinatalitĂ© n’est pas de son ressort mais de celui du gouvernement. Le rĂŽle de l’ONSSF Une rencontre a donc eu lieu entre l’ONSSF, des sages-femmes de cliniques privĂ©es et la FHP le 26 janvier 2022. Lien vers le propos liminaire L’ONSSF a insistĂ© sur la perte d’attractivitĂ© de la profession soulignant les conditions d’exercice difficiles en Ă©tablissements, compte tenu d’effectifs en nombre insuffisant et d’un diffĂ©rentiel salarial public-privĂ© au dĂ©triment de notre secteur. Le soutien de la FHP est demandĂ© pour augmenter l’écoute des directions d’établissements, Ă©viter la fermeture de maternitĂ©s privĂ©es, qui engendrerait une relocalisation vers le secteur public, augmenter la valorisation des compĂ©tences, instituer un management responsable et une tarification adĂ©quate, dans un objectif d’attractivitĂ©. Plusieurs dĂ©cisions ont Ă©tĂ© prises suite aux diffĂ©rentes problĂ©matiques des sages-femmes. La mise en place d’ un groupe de travail dĂ©diĂ© permettra de comparer les diffĂ©rentiels de rĂ©munĂ©rations public-privĂ© identifiĂ©s dont l’ONSSF en fera partie. Un autre groupe de travail de la FHP sur la classification des sages-femmes avec la reconnaissance du statut. Et enfin, un travail sur l’intĂ©gration des sages-femmes dans les CME. En conclusion, deux rĂ©unions seront organisĂ©es, l’une sur les comparaisons de rĂ©munĂ©rations public-privĂ© et l’autre sur les conditions d’exercice de la profession, deux rĂ©unions qui auront lieu en prĂ©sence de Madame FrĂ©dĂ©rique Gama, PrĂ©sidente de la FHP MCO.
Valeurdu point 2021, grille de salaire du personnel salariĂ© des cliniques vĂ©tĂ©rinaires, taux horaire Lors de la rĂ©union de la Commission Paritaire ( CPPNI du 15 dĂ©cembre 2020), les partenaires sociaux ont convenu d'augmenter la valeur du point qui passe de 15,50 € Ă  15,69 € (+ 1.22%), augmentation applicable au 1er janvier 2021.
RĂ©partition de la rĂ©serve spĂ©ciale de participation Plusieurs modes de rĂ©partition sont prĂ©vus par la entreprises de la branche choisissent d'appliquer l'une des modalitĂ©s proposĂ©es par le prĂ©sent accord figurant au point choix devra ĂȘtre portĂ© Ă  la connaissance du comitĂ© social et Ă©conomique, du personnel ainsi que, lors du dĂ©pĂŽt de la dĂ©cision unilatĂ©rale ou de l'accord Ă©voquĂ© Ă  l'article 3, auprĂšs de la dĂ©faut de choix, la rĂ©partition est effectuĂ©e selon les modalitĂ©s de l'option ModalitĂ©s de rĂ©partitionOption 1La RSP est rĂ©partie proportionnellement aux salaires perçus par chaque salaire Ă  prendre en considĂ©ration est Ă©gal au montant total des rĂ©munĂ©rations au sens de l'article L. 242-1 du code de la sĂ©curitĂ© sociale perçues par chaque bĂ©nĂ©ficiaire au cours de l'exercice montant ne peut ni ĂȘtre infĂ©rieur au montant du plafond de sĂ©curitĂ© sociale de l'annĂ©e considĂ©rĂ©e ni excĂ©der une somme Ă©gale Ă  deux fois le plafond annuel de la sĂ©curitĂ© bĂ©nĂ©ficiaire n'a pas accompli une annĂ©e entiĂšre dans l'entreprise, ces plafonds sont calculĂ©s au prorata de la durĂ©e de les pĂ©riodes d'absence liĂ©es au congĂ© de maternitĂ©, de paternitĂ© ou au congĂ© d'adoption et pour les pĂ©riodes de suspension du contrat de travail consĂ©cutives Ă  un accident du travail ou Ă  une maladie professionnelle, les salaires Ă  prendre en compte sont ceux qu'aurait perçus le bĂ©nĂ©ficiaire s'il avait Ă©tĂ© prĂ©sent. 1Option 2La RSP est rĂ©partie proportionnellement Ă  la durĂ©e de prĂ©sence dans l' durĂ©e de prĂ©sence dans l'entreprise au cours de l'exercice comprend les pĂ©riodes de travail effectif dans l'entreprise, auxquelles s'ajoutent les pĂ©riodes lĂ©galement assimilĂ©es Ă  du travail effectif et rĂ©munĂ©rĂ©es comme telles congĂ©s payĂ©s, exercice de mandats reprĂ©sentatifs, etc..Pour ce calcul, s'agissant des salariĂ©s en forfait jours ou des cadres dirigeants, chaque journĂ©e est considĂ©rĂ©e comme Ă©quivalente Ă  7 heures de temps de travail outre, les pĂ©riodes d'absences mentionnĂ©es aux articles L. 1225-17, L. 1235-37 congĂ© de maternitĂ© et d'adoption et L. 1226-7 du code du travail absences consĂ©cutives Ă  un accident du travail ou maladie professionnelle ainsi que le congĂ© paternitĂ©, sont assimilĂ©es Ă  des pĂ©riodes de prĂ©sence. 1Option 3La RSP est rĂ©partie, d'une part, pour 50 % proportionnellement aux salaires perçus par chaque bĂ©nĂ©ficiaire, dans la limite des plafonds et, d'autre part, pour 50 % en fonction de la durĂ©e de prĂ©sence dans l' la rĂ©partition proportionnelle aux salaires, le salaire Ă  prendre en considĂ©ration est Ă©gal au montant total des rĂ©munĂ©rations au sens de l'article L. 242-1 du code de la sĂ©curitĂ© sociale perçues par chaque bĂ©nĂ©ficiaire au cours de l'exercice montant ne peut ni ĂȘtre infĂ©rieur au montant du plafond de sĂ©curitĂ© sociale de l'annĂ©e considĂ©rĂ©e ni excĂ©der une somme Ă©gale Ă  deux fois le plafond annuel de la sĂ©curitĂ© bĂ©nĂ©ficiaire n'a pas accompli 1 annĂ©e entiĂšre dans l'entreprise, ces plafonds sont calculĂ©s au prorata de la durĂ©e de prĂ©sence. 1Pour les pĂ©riodes d'absence liĂ©es au congĂ© de maternitĂ©, de paternitĂ© ou au congĂ© d'adoption et pour les pĂ©riodes de suspension du contrat de travail consĂ©cutives Ă  un accident du travail ou Ă  une maladie professionnelle, les salaires Ă  prendre en compte sont ceux qu'aurait perçus le bĂ©nĂ©ficiaire s'il avait Ă©tĂ© la rĂ©partition proportionnelle Ă  la durĂ©e de prĂ©sence, la durĂ©e de prĂ©sence dans l'entreprise au cours de l'exercice comprend les pĂ©riodes de travail effectif dans l'entreprise, auxquelles s'ajoutent les pĂ©riodes lĂ©galement assimilĂ©es Ă  du travail effectif et rĂ©munĂ©rĂ©es comme telles congĂ©s payĂ©s, exercice de mandats reprĂ©sentatifs, etc..Pour ce calcul, s'agissant des salariĂ©s en forfait jours ou des cadres dirigeants, chaque journĂ©e est considĂ©rĂ©e comme Ă©quivalente Ă  7 heures de temps de travail effectif. 1En outre, les pĂ©riodes d'absences mentionnĂ©es aux articles L. 1225-17, L. 1235-37 congĂ© de maternitĂ© et d'adoption et L. 1226-7 du code du travail absences consĂ©cutives Ă  un accident du travail ou maladie professionnelle ainsi que le congĂ© paternitĂ©, sont assimilĂ©es Ă  des pĂ©riodes de Plafonnement des droits individuelsLe montant des droits susceptibles d'ĂȘtre attribuĂ©s Ă  un bĂ©nĂ©ficiaire ne peut, pour un mĂȘme exercice, excĂ©der une somme Ă©gale aux 3/4 du plafond annuel de la sĂ©curitĂ© bĂ©nĂ©ficiaire n'a pas accompli une annĂ©e entiĂšre dans l'entreprise, ce plafond est calculĂ© au prorata de la durĂ©e de Sort des droits excĂ©dentairesLes sommes non distribuĂ©es du fait de l'application des plafonds ci-dessus visĂ©s feront l'objet d'une rĂ©partition immĂ©diate, selon les mĂȘmes modalitĂ©s de rĂ©partition, entre tous les bĂ©nĂ©ficiaires/ salariĂ©s n'atteignant pas le plafond des droits plafond ne peut toutefois pas ĂȘtre dĂ©passĂ© du fait de cette rĂ©partition des sommes subsistent encore aprĂšs cette nouvelle rĂ©partition, il est procĂ©dĂ© Ă  une nouvelle rĂ©partition entre tous les salariĂ©s n'ayant pas atteint le plafond et ainsi de un reliquat subsiste alors que tous les salariĂ©s ont atteint le plafond individuel, il demeure dans la rĂ©serve spĂ©ciale de participation des bĂ©nĂ©ficiaires/ salariĂ©s pour ĂȘtre rĂ©parti au cours des exercices ultĂ©rieurs.1 A l'article l'alinĂ©a 5 de l'option 1, l'alinĂ©a 4 de l'option 2 et les alinĂ©as 4 et 7 de l'option 3 sont Ă©tendus sous rĂ©serve du respect des dispositions de l'article L. 3324-6 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 2 avril 2021 - art. 1
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ConventionCollective Cabinet Dentaire 2020 Les heures de travail faites au vues de le cadre i complĂ©ment d’heures deviennent payĂ©es au dĂ©pendance normal. Le nombre maximum d’avenants « complĂ©ment d’heures » pouvant ĂȘtre conclus est fixĂ© Ă  6 par an et par salariĂ© sauf en cas de remplacement d’un salariĂ© absent nommĂ©ment dĂ©signĂ©. TĂ©lĂ©charger. Le ticket modĂ©rateur et le forfait journalier d’une hospitalisation dans un hĂŽpital public ou une clinique privĂ© 10 mars 2013 Pas de commentaire Si un assurĂ© est hospitalisĂ© dans un Ă©tablissement hospitalier public ou une clinique privĂ©e conventionnĂ©e, l’Assurance Maladie rembourse les frais d’hospitalisation Ă  la hauteur de 80 %. Conforme 2021. Newsletter hebdo saisir un email. Email Mot de passe Mot de passe oubliĂ©. DatĂ© du 15 fĂ©vrier 2021, cet avenant porte la nouvelle valeur du point Ă  6,15 € contre 6,05 € depuis le 1er janvier 2020, pour tous les salariĂ©s de la branche, Ă  compter du 1 er juillet 2021. Valeur du point 2021, grille de salaire du personnel salariĂ© des cliniques vĂ©tĂ©rinaires, taux horaire Lors de la rĂ©union de la Commission Paritaire CPPNI du 15 dĂ©cembre 2020, les partenaires sociaux ont convenu d'augmenter la valeur du point qui passe de 15,50 € Ă  15,69 € + augmentation applicable au 1er janvier 2021. Avenant n° 09-18 Accord salarial Valeur du Point. Avec LĂ©giSocial, consulter gratuitement votre convention collective Hospitalisation privĂ©e nationale mise Ă  jour quotidiennement avec les textes officiels. Valeur brute du point d'indice depuis le 1er fĂ©vrier 2017 56,2323 € soit € brut par mois. Par exemple au 1er janvier 2014 la valeur du point Ă©tait fixĂ© Ă  4,403 euros. CCNT66; 22 janvier 2021; DĂ©claration FO pour le RESPECT DU CADRE LEGAL. Pour rappel, les salaires conventionnels 2021 doivent ĂȘtre supĂ©rieurs au SMIC du 1er janvier 2021. La convention collective de l'hospitalisation privĂ©e a Ă©tĂ© mise Ă  jour par l'intĂ©gration d'un nouveau texte en son sein. Pour les adhĂ©rents, retrouvez l'intĂ©gralitĂ© de l'avenant ici. Consultation gratuite de votre convention collective nationale mise Ă  jour avec les textes officiels DerniĂšre mise Ă  jour 21/05/2021. Taux de valeur du point - convention 66 [Résolu/Fermé] Signaler. Identifiant Mot de passe Avenant n°2 du 17 dĂ©cembre 2013 relatif Ă  la valeur du point au 1er avril 2014. Salaires, primes et indemnitĂ©s - BOCC 2021/26 Accord du 17 mai 2021 relatif aux taux effectifs garantis annuels et Ă  la valeur du point Ă  compter de l'annĂ©e 2021 Le 22/07/2021 PĂątisserie - 
 Article 4 dĂ©lai d’application Le prĂ©sent avenant s’appliquera dĂšs le 1er dĂ©cembre 2020 aux Ă©tablissements adhĂ©rents du SYNERPA. 0. Le DĂ©cret n° 2016-670 du 25 mai 2016 portant majoration de la rĂ©munĂ©ration des personnels civils et militaires de l’État, des personnels des collectivitĂ©s territoriales et des Ă©tablissements publics d’hospitalisation a prĂ©vu l’augmentation de la valeur du point d’indice de la fonction publique au 1er juillet 2016. Vereiste velden zijn gemarkeerd met * Reactie. DĂ©claration de la Commission ExĂ©cutive de l’UNSSP FO. qui est excellent. La valeur du point d’indice au 1er janvier 2021 sera 4,6860 €. Le texte modifie la classificaction pour le salaire mensuel conventionnel et revalorise la valeur du point conformĂ©ment Ă  l’article 73-2 bis de l’Annexe du 10 dĂ©cembre 2002. En multipliant la valeur du point au coefficient, soit 4,403 x 434, une infirmiĂšre en dĂ©but de carriĂšre peut gagner une rĂ©munĂ©ration mensuelle brute de 1911 euros. Hospitalisation privĂ©e Accord du 20 fĂ©vrier 2013 relatif Ă  la rĂ©partition de la contribution au FPSPP Hospitalisation privĂ©e Accord du 4 mars 2013 relatif aux salaires et Ă  la valeur du point au 1er juin 2013 Hospitalisation privĂ©e Avenant n° 17 du 4 mars 2013 Ă  
 Cette rĂ©union du CEHPP a permis d'analyser les donnĂ©es d'activitĂ©s 2020, et de mesurer l'incidence de la crise Ă©pidĂ©mique, sur l'activitĂ© 2020. CGT RAMSAY SANTE HEALTH CARE. DerniĂšre mise Ă  jour le 01/06/2021. Accord du 4 mars 2013 relatif aux salaires et Ă  la valeur du point 
 DerniĂšre mise Ă  jour 13/07/2021. Le rĂ©gime d’équivalence dans le secteur de l’hospitalisation privĂ©e Ă  but lucratif s’applique dans les Ă©tablissements pour enfants Ă  caractĂšre sanitaire et dans les Ă©tablissements psychiatriques, de soins, de suite et de rĂ©adaptation. Het e-mailadres wordt niet gepubliceerd. Il s'agit de l'avenant n°30 Ă©tendu du 1er octobre 2020 relatif Ă  l'intĂ©gration au sein du prĂ©ambule de la convention collective du paragraphe C "secteur du thermalisme". Un accord salarial a Ă©tĂ© conclu dans la convention collective de la mĂ©tallurgie du Valenciennois et du CambrĂ©sis . Convention collective nationale de l'hospitalisation privĂ©e du 18 avril 2002. C’est pourquoi cette pĂ©tition nationale est lancĂ©e aujourd’hui dans tous les Ă©tablissements du secteur de la SantĂ© PrivĂ©e Lucrative. C’est ce qu’il ne fait pas. La contribution des hĂŽpitaux et cliniques privĂ©s au DĂ©bat national Les hĂŽpitaux et cliniques privĂ©s sont des acteurs citoyens et responsables dont les idĂ©es de terrain, les perceptions et les ... La FHP reprĂ©sente les hĂŽpitaux et cliniques privĂ©s de France. droit judiciaire privĂ© est analysĂ© comme un droit mixte, c' est-Ă -dire un droit mĂ©langĂ© de droit public et de droit privĂ© Dans cet environnement procĂ©dural, on dĂ©finit le droit judiciaire privĂ© comme l'ensemble des rĂšgles relatives aux juridictions civiles et Ă  la procĂ©dure civile. Ainsi la valeur du point, qui est de 6,24 euros depuis le 1er janvier 2019, passera Ă  6,32 euros au 1er janvier 2020 soit une augmentation de 1,3% pour lĂą en-semble des salariĂ©s de la branche. Hospitalisation privĂ©e . En date du 22 juin 2021, on parle de prĂšs de 47 renouvĂšlements sans vote depuis le dĂ©but de l’urgence sanitaire! Cours, exercices et examen corrigĂ©s Ă  imprimer et modifier de la catĂ©gorie Grammaire - Français 6eme Primaire, fiches au format pdf, doc et rtf. Avenant n°2 du 17 dĂ©cembre 2013 relatif Ă  la valeur du point au 1er avril 2014 TĂ©lĂ©charger la pĂ©tition nationale commune CGT – FO sur le gel de la valeur du point de la FĂ©dĂ©ration de l’Hospitalisation PrivĂ©e FHP. La valeur du point de salaire. La valeur du point de la CCN est portĂ©e Ă  4,425 € au 1er juillet 2017 et Ă  4,447 € au 1er juillet 2018. Hospitalisation privĂ©e . LĂą avenant n°320, portant sur lĂą augmentation de la valeur du point, a Ă©tĂ© agréé par un arrĂȘtĂ© du 25 septembre 2009, paru au Journal Officiel le 2 octobre 2009. par Rado Andriamampionona; 24 septembre 2019; 1 minute de lecture; 0. Panier Mon compte. 
 Convention collective nationale de l'hospitalisation . Ajouter aux articles favoris. En multipliant la valeur du point au coefficient, soit 4,403 x 434, une infirmiĂšre en dĂ©but de carriĂšre peut gagner une rĂ©munĂ©ration mensuelle brute de 1911 euros. La convention collective nationale des Ă©tablissements privĂ©s d’hospitalisation, de soins, de cure et de garde Ă  but non lucratif du 31 octobre 1951. La valeur du point de salaire. PrĂ©voient une revalorisation de 238 
 Textes Salaires consultation gratuite. De dĂ©but. TĂ©lĂ©charger Gratuitement 195,91 Ko Français. Consultation gratuite de votre convention collective nationale mise Ă  jour avec les textes officiels DerniĂšre mise Ă  jour 01/07/2021. Aucun article 0,00€ HT. S'y rajoutent diverses primes prime spĂ©ciale 2010 120. La valeur mensuelle du point d'indice majorĂ© correspond aux montants suivants. Ces grilles indiciaires sont celles 
 Email Mot de passe Mot de passe oubliĂ©. Article Valeur du point â€ș Aucun article 0,00€ HT. La valeur du point de la FHP est maintenue Ă  7,05€, les coefficients 176 Ă  222 bĂ©nĂ©ficient d’un mode de calcul spĂ©cifique, afin de tenir compte du SMIC applicable. au 1er juillet 2019, elle est Ă  4,447€ Le travail effectuĂ© les dimanches et jours fĂ©riĂ©s est indemnisĂ© en point selon les rĂšgles suivantes 12,32 points pour une journĂ©e de travail entiĂšre de 8 heures. Salaires et valeur du point au 1er juin 2013. Avenant n° 2005-02 du 12 mai 2005 relatif Ă  la valeur du point au 1er juillet 2005 Patrons signataires FĂ©dĂ©ration des Ă©tablissements hospitaliers et d'assistance privĂ©s Ă  but non lucratif. Accueil Convention collective hotel. Identifiant Mot de passe Avenant n° 2 du 21 dĂ©cembre 2010 relatif Ă  la valeur du point. DĂ©claration de la Commission ExĂ©cutive de l’UNSSP FO. Classement IADE L'IADE est classĂ© dans la FILIÈRE SOIGNANTE ET CONCOURANTS AUX SOINS Groupe A en tant que TECHNICIEN HAUTEMENT QUALIFIE THQ du 
 The veteran broadcaster, who died Saturday at the age of 87, became a household name as the host of CNN’
 au 28 FĂ©vrier 2022. Partager. Conforme 2021. 19-07-2021 La FEHAP a participĂ© Ă  la rĂ©union du ComitĂ© Ă©conomique de l'hospitalisation publique et privĂ©e le 12 juillet dernier. PETITION Nationale commune CGT et FO sur le gel de la valeur du point de la FĂ©dĂ©ration de l’Hospitalisation PrivĂ©e FHP 1er septembre 2016 Lors de la Commission Mixte Paritaire du mercredi 11 mai 2016, se dĂ©roulait l’ultime sĂ©ance de nĂ©gociation sur les salaires au siĂšge de la FĂ©dĂ©ration de l’Hospitalisation PrivĂ©e. Par arrĂȘtĂ© du 5 fĂ©vrier 2021, l'avenant relatif Ă  la mise en place du 100% SantĂ© a Ă©tĂ© Ă©tendu Ă  toutes les structures dans le champ d'application de la CCN des organismes de formation. → Convention collective de l'hospitalisation privĂ©e du 18 avril 2002. Textes Salaires consultation gratuite. Par arrĂȘtĂ© du 5 fĂ©vrier 2021, l'avenant relatif Ă  la mise en place du 100% SantĂ© a Ă©tĂ© Ă©tendu Ă  toutes les structures dans le champ d'application de la CCN des organismes de formation. Convention collective nationale de l'hospitalisation privĂ©e du 18 avril 2002. De plus, la valeur du point mĂ©dical traditionnel est portĂ©e Ă  12,513 € au 1er juillet 2017 et Ă  12,576 € au 1er juillet 2018. La revalorisation de la valeur du point dans la fonction publique. The veteran broadcaster, who died Saturday at the age of 87, became a household name as the host of CNN’
 au 28 FĂ©vrier 2022. Valeur du point d'indice de la fonction publique hospitaliĂšre 4,686025 euros au 1er fĂ©vrier 2017 Pour avoir une idĂ©e de son salaire en tant qu'IADE dans la fonction publique hospitaliĂšre il suffit de multiplier la valeur du point ci dessus avec l'Indice Net MajorĂ© INM correspondant Ă  votre Ă©chelon voir grille ci dessous. HOSPITALISATION PRIVÉE AVENANT N° 29 DU 18 JUIN 2019 RELATIF AUX RÉMUNÉRATIONS ET À LA VALEUR DU POINT AU 1ER JUILLET 2019 NOR ASET1951101M IDCC 2264 Entre FHP, D une part, et FSS CFDT, D autre part, il a Ă©tĂ© convenu ce qui suit P RÉAMBULE Le prĂ©sent avenant constitue une mesure d augmentation. Consultez gratuitement tous les articles autour de la thĂ©matique 'valeur du point' de votre convention collective hospitalisation privee a but lucratif sur LĂ©giSocial . Valeur du point au 1er avril 2014 Hospitalisation privĂ©e... mot de passe oubliĂ© . En multipliant la valeur du point au coefficient, soit 4,403 x 434, une infirmiĂšre en dĂ©but de carriĂšre peut gagner une rĂ©munĂ©ration mensuelle brute de 1911 euros. Parce que ça permettrait aux dĂ©putĂ©s de voter contre. LA FNAS FO constate quĂą aujourdĂą hui, alors que devrait sĂą ouvrir une nĂ©gociation sur la classification dans le cadre lĂą instance paritaire, aucun projet Ă©crit ne nous est parvenu. Valeur du point au 1er juin 2016 Avenant Ă  l'annexe du 10 dĂ©cembre 2002 Avenant n° 2 du 2 mars 2016 Ă  l'annexe du 10 dĂ©cembre 2002 relatif Ă  la valeur du point au 1er juin 2016 Grilles salaires infirmiers Ă  l'hopital en 2019 7 octobre 2019 En bas d'article, le communiquĂ© de presse en rĂ©action Ă  la fakenews du Premier Ministre sur le salaire des infirmiĂšres Dans le secteur privĂ©, c'est une convention collective qui fixe la grille des salaires des infirmiĂšres et implique des rĂšglements diffĂ©rents. Grille des salaires minima 2021 hospitalisation privĂ©e Ă  but lucratif hors secteur mĂ©dico-social Salaire minimal. Convention collective nationale des Ă©tablissements privĂ©s d'hospitalisation, de soins, de cure et de garde Ă  but non lucratif du 31 octobre 1951. La rĂ©munĂ©ration d'un agent public se compose notamment d'un traitement indiciaire calculĂ© en fonction d'un indice majorĂ©. 2 paramĂštres sont Ă  prendre en compte le coefficient de la convention collective et la valeur du point.. La plupart des aides-soignantes salariĂ©es travaillent sous l’une de ses 3 conventions collectives Convention collective Hospitalisation privĂ©e 2021 Brochure 3307 + grille de Salaire 57 avis Votre convention collective Hospitalisation privĂ©e 2021 disponible en versions PDF et Livres accompagnĂ©es d'un guide de lecture rĂ©digĂ© par des juristes, d'un index clair et de 7 documents en droit du travail pour une lecture facile. SalariĂ©s de la SantĂ© PrivĂ©e participons au blocage de l'Ă©conomie . Il s'agit de la convention collective nationale des Ă©tablissements privĂ©s d'hospitalisation, de soins, de cure et de 
 0. 14/10/2019 at 0055 by L'Ă©quipe de la rĂ©daction Laisser un commentaire. The comprehensive rigging and animation tool set for After Effects. L'avenant Ă  la CCN de l'hospitalisation privĂ©e fixe notamment la valeur du point servant de base de calcul Ă  la rĂ©munĂ©ration minimale Ă  7,05 € au lieu de 7 €. Dans le secteur privĂ© lucratif et non lucratif, le salaire de l’aide-soignante dĂ©pend de la convention collective Ă  laquelle est rattachĂ©e l'employeur. Retour Ă  convention collective hospitalisation privĂ©e . Accord dĂ©rogatoire sur les entretiens professionnels dans la branche de l’Hospitalisation PrivĂ©e . Nexem a proposĂ© d'en mobiliser une partie dans le cadre de la politique salariale nationale, A Valeur du point dans la convention collective hospitalisation privee a but lucratif. Standard Luik RSS Dagelijks al het Standard Luik nieuws voor jou verzameld! TĂ©lĂ©chargement illimitĂ© de votre convention collective au format PDF pendant 1 an. Il s'agit de la version intĂ©grale et Ă  jour de la convention collective nationale de l'hospitalisation privĂ©e.. La valeur du point indiciaire est calculĂ©e suivant la mĂȘme mĂ©thodologie que celle applicable prĂšs de la Fonction Publique. Convention collective de l'hospitalisation privĂ©e Brochure 3307 IDCC 2264 La prĂ©sente convention a Ă©tĂ© signĂ©e par les organisations suivantes - Organisations patronales FĂ©dĂ©ration de l'hospitalisation privĂ©e FHP ; Syndicat national des Ă©tablissements et rĂ©sidences privĂ©s pour personnes ĂągĂ©es SYNERPA. Valeur du point. Dans la Convention, la rĂ©munĂ©ration du personnel consiste en un coefficient de rĂ©fĂ©rence 2, 
 Avenant n° 29 du 18 juin 2019 relatif aux rĂ©munĂ©rations et Ă  la valeur du point au 1er juillet 2019 Accord du 16 octobre 2020 relatif Ă  la revalorisation salariale dans le cadre du SĂ©gur de la santĂ© » La RAG RĂ©munĂ©ration Annuelle Garantie est maintenue, Ă©tant Ă©gale Ă  5,70% du salaire brut annuel conventionnel. CCN 51 FEHAP du 31 octobre 1951 4,447 € depuis le 1er juillet 2018 - Salaire minimum 1503 € - Pour les mĂ©decins, la valeur du point est passĂ©e Ă  12,576 € au 1er juillet 2018; CCN FHP lucratif du 18 avril 2002 7,05 € depuis le 1er mai 2019 - Salaire minimum 1536,43 € Alerte email et analyse comparative envoyĂ©e Ă  chaque mise Ă  jour de votre convention collective. 21 mai 2021. Le personnel de l’hĂŽpital privĂ© Ă  but lucratif MEDIPOLE de Lyon, appartenant au 1er groupe de santĂ© marchand a commencĂ© sa journĂ©e en grĂšve. Avec l’outil d’analyse exclusif LĂ©giSocial, Ă©valuer d’un coup d’oeil les modifications apportĂ©es entre deux versions de cette convention collective Hospitalisation privĂ©e . Retour Ă  convention collective hospitalisation privĂ©e . Il prend effet Ă  compter du 1 er juillet 2020. Vous bĂ©nĂ©ficierez d’une premiĂšre hausse de salaire de 90 euros Ă  partir du 1er septembre 2020, puis d’une deuxiĂšme hausse d’un montant identique Ă  partir du 1er mars 2021. postĂ© par FrĂ©dĂ©ric FISCHBACH le 20 octobre, 2020. Salaires IADE FĂ©dĂ©ration de l'Hospitalisation PrivĂ©e FHP Salaires IADE FĂ©dĂ©ration de l'Hospitalisation PrivĂ©e FHP C'est la >>convention collective du 18 avril 2002< Premier Assistant Mots FlĂ©chĂ©s, Mouvement Du Soleil Dans La Galaxie, UniversitĂ© De GenĂšve Inscription Pour Les Ă©trangers, Chanson Pour Une Nouvelle Vie, Directeur Financier Salaire Maroc,
Acompter du 1er janvier 2020, le salaire mensuel conventionnel correspondant au coefficient d’emploi 216 ne pourra ĂȘtre infĂ©rieur Ă  1 539,42 € brut pour un temps plein. Grille des salaires 2020 de l’hospitalisation privĂ©e.
Ce blog permet l’échange et la collaboration entre les salariĂ©s de diffĂ©rents Ă©tablissements ou sociĂ©tĂ©s. Si vous avez une question, ou une remarque, utilisez le formulaire dans la colonne de droite ou commentaire » en fin d’article. Et pour trouver le syndicat SUD prĂ©s de chez vous, cliquez lĂ  ANNEXE DU 10 dĂ©cembre 2002, pour la CCU du 18 avril 2002, concernant les Ă©tablissements privĂ©s accueillant des personnes ĂągĂ©es Modifie ou supprime, pour les structures concernĂ©es, certains articles de la Convention Collective du 18 avril 2002, en orange ci-dessous. Les textes ci-dessous inclus aussi les mises Ă  jour d’autres avenants appliquĂ©s. Entre les soussignĂ©s ‱ Le syndicat national des Ă©tablissements et rĂ©sidences privĂ©s pour personnes ĂągĂ©es SYNERPA, 164 boulevard du Montparnasse, 75014 PARIS et 40 promenade du grand large, 13008 MARSEILLE, Et ‱ Les organisations syndicales de salariĂ©s, reprĂ©sentatives au plan national, signataires du prĂ©sent accord Il a Ă©tĂ© convenu et dĂ©cidĂ© ce qui suit 1. Champ d’application La prĂ©sente annexe est spĂ©cifique aux Ă©tablissements accueillant des personnes ĂągĂ©es NAF 853 D. Elle entrera en vigueur le 1er jour du mois suivant sa signature. Les dispositions de la convention collective sont applicables aux entreprises relevant du secteur mĂ©dico-social privĂ© Ă  statut commercial, le 1er jour du mois suivant la signature de la prĂ©sente annexe, Ă  l’exclusion des articles relatifs – Articles 5-1, 5-3, 5-5 commission nationale de conciliation et d’interprĂ©tation – Article 52 repos hebdomadaire – Article 53-3 travail de nuit – contreparties – Article 59-3 autres jours fĂ©riĂ©s – Article 61 CongĂ© pour enfants malades – Articles 73, 74 et 82-2 du titre 7 rĂ©munĂ©rations – Articles 84-1, 84-3, 85-1, 85-2 et 85-3 du titre 8 prĂ©voyance – Titre 11 Classifications – Articles 94, 95,96, 97 et 101 du titre 12 Dispositions spĂ©cifiques aux cadres – Classification des emplois Pour les articles susvisĂ©s, sont applicables les dispositions ci-aprĂšs dĂ©finies. 2. Dispositions Article 5 – Commission paritaire nationale d’interprĂ©tation et de conciliation Article 5-1 bis – Composition La commission nationale de conciliation et d’interprĂ©tation est constituĂ©e, selon l’ordre du jour – d’un reprĂ©sentant de chacune des organisations syndicales des salariĂ©s signataires ou adhĂ©rentes de la convention collective unique du 18 avril 2002 et d’un nombre Ă©gal de reprĂ©sentants des organisations employeurs signataires ou adhĂ©rentes du texte conventionnel prĂ©citĂ© ou – d’un reprĂ©sentant de chacune des organisations syndicales des salariĂ©s signataires ou adhĂ©rentes de l’annexe spĂ©cifique aux Ă©tablissements accueillant des personnes ĂągĂ©es et d’un nombre Ă©gal de reprĂ©sentants des organisations employeurs signataires ou adhĂ©rentes du texte prĂ©citĂ©. Les membres de la commission nationale sont rĂ©vocables Ă  tout moment par leur propre organisation. Leur mandat est d’une durĂ©e d’un an renouvelable par tacite reconduction. Article 5-3 bis – ProcĂšs-verbal La commission Ă©tablit Ă  l’issue de chaque rĂ©union un procĂšs-verbal des dĂ©libĂ©rations, approuvĂ© par les reprĂ©sentants des organisations syndicales des salariĂ©s et employeurs signataires ou adhĂ©rentes de la convention collective du 18 avril 2002 ou de la prĂ©sente annexe, selon l’ordre du jour, des parties et prĂ©cisant la nature de la dĂ©libĂ©ration, conciliation ou interprĂ©tation. Article 5-5 bis – SiĂšge – PrĂ©sidence – SecrĂ©tariat Le lieu de rĂ©union et de secrĂ©tariat de la commission nationale d’interprĂ©tation et de conciliation est fixĂ© 81 rue de Monceau, 75008 PARIS, lorsqu’il s’agit de dossiers relatifs Ă  la convention collective du 18 avril 2002. Le lieu de rĂ©union et de secrĂ©tariat de la commission nationale d’interprĂ©tation et de conciliation est fixĂ© 164 boulevard de Montparnasse, lorsqu’il s’agit de dossiers relatifs Ă  la prĂ©sente annexe. Les services des organisations syndicales employeurs assureront les tĂąches administratives de secrĂ©tariat, l’enregistrement et la tenue des livres de dĂ©libĂ©ration de la commission, sous la responsabilitĂ© d’un prĂ©sident et d’un secrĂ©taire. La prĂ©sidence et le secrĂ©tariat dont la durĂ©e est fixĂ©e Ă  un an seront assurĂ©s alternativement par un dĂ©lĂ©guĂ© patronal et par un dĂ©lĂ©guĂ© salariĂ©, le prĂ©sident et le secrĂ©taire n’appartenant pas au mĂȘme collĂšge. Article 52 bis repos hebdomadaire Le repos hebdomadaire devra avoir une durĂ©e minimale de 35 heures consĂ©cutives, repos quotidien compris. Il devra ĂȘtre donnĂ© prioritairement le dimanche, Ă  l’exception des salariĂ©s affectĂ©s Ă  un cycle de travail au sein duquel le repos hebdomadaire est donnĂ© par roulement, dans la limite minimale d’un contingent annuel de 30% de dimanches non travaillĂ©s et au moins un dimanche par mois ; soit par roulement, 50% des repos hebdomadaires devant ĂȘtre donnĂ©s un dimanche au cours du cycle. L’organisation du travail mise en place permettra l’octroi de 4 jours de repos sur 2 semaines, dont 2 consĂ©cutifs et 1 dimanche garanti toutes les 3 semaines, cette derniĂšre disposition ne remettant pas en cause les modalitĂ©s d’organisations existantes concernant les dispositions pour les jours de repos et les dimanches, qui seraient plus favorables aux salariĂ©s. Article 53 bis travail de nuit Article 53-3 bis Contreparties modifiĂ© par avenant de l’annexe n°6 du 17 mai 2005 IndĂ©pendamment de l’indemnitĂ© de sujĂ©tion pour travail de nuit, telle que dĂ©finie par l’article de la convention collective, il sera accordĂ©, lorsque le travailleur de nuit au sens de l’article a au moins accompli trois heures de travail de nuit, par heure, un temps de repos Ă©quivalent Ă  2,5% de chacune de ces heures rĂ©alisĂ©es entre 21 h et 6 h. Ce temps de repos en compensation, assimilĂ© Ă  du temps de travail effectif, sera comptabilisĂ© sur le bulletin de salaire et pourra ĂȘtre pris par journĂ©e ou nuit lorsque le repos acquis reprĂ©sentera une journĂ©e correspondant Ă  la durĂ©e quotidienne de travail de l’intĂ©ressĂ©. Dans cette hypothĂšse, le salariĂ© en fera la demande moyennant le respect d’un dĂ©lai de prĂ©venance de 15 jours ouvrĂ©s, en prĂ©cisant la date et la durĂ©e du repos souhaitĂ©. Sauf nĂ©cessitĂ© du service, le repos sera accordĂ© Ă  la date souhaitĂ©e par le salariĂ©. En tout Ă©tat de cause, ce repos devra ĂȘtre pris dans un dĂ©lai de 12 mois. Article 59-3 bis 1er Mai et Autres jours fĂ©riĂ©s modifiĂ© par l’avenant n°13 du 11 avril 2008 Pour le 1er mai, s’il coĂŻncide avec un jour non travaillĂ©, quel qu’en soit la nature, le salariĂ© concernĂ© bĂ©nĂ©ficiera d’une journĂ©e de repos supplĂ©mentaire dĂ©terminĂ©e selon les modalitĂ©s suivantes la journĂ©e de repos prise en compensation sera dĂ©terminĂ©e dans le mois selon les modalitĂ©s de rĂ©cupĂ©ration des autres journĂ©es de compensation, et correspondra Ă  7 heures pour les salariĂ©s Ă  temps complet. La durĂ©e du repos sera calculĂ©e prorata temporis pour les salariĂ©s Ă  temps partiel. Toutefois, ce temps de repos pourra, en accord avec l’employeur ou son reprĂ©sentant, ĂȘtre bloquĂ© en une ou plusieurs fois au cours de l’annĂ©e, ou rĂ©munĂ©rĂ© sur la base de 1/24 du salaire mensuel brut. En outre, la prise de ce repos de compensation sur un autre jour fĂ©riĂ© ne pourra pas ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme faisant partie des quatre jours fĂ©riĂ©s chĂŽmĂ©s garantis. Les autres jours fĂ©riĂ©s, chaque fois que le service le permettra, seront chĂŽmĂ©s, ce chĂŽmage n’entraĂźnant pas de rĂ©duction de salaire. En tout Ă©tat de cause, l’horaire de travail sera organisĂ© de maniĂšre Ă  garantir le chĂŽmage d’au moins 4 jours fĂ©riĂ©s en sus du 1er mai sans perte de rĂ©munĂ©ration. Si le jour fĂ©riĂ© est travaillĂ© par le salariĂ©, celui-ci bĂ©nĂ©ficiera soit d’un temps de repos correspondant au nombre d’heures travaillĂ©es, soit de l’indemnitĂ© correspondante au nombre d’heures travaillĂ©es. ConformĂ©ment Ă  l’article 82-4 de la CCU, les indemnitĂ©s pour travail les dimanches et les jours fĂ©riĂ©s se cumuleront lorsqu’un dimanche fĂ©riĂ© sera travaillĂ©. Article 61 bis CongĂ© pour enfants malades modifiĂ© par avenant de l’annexe n°6 du 17 mai 2005 Tout salariĂ© ayant un ou plusieurs enfants Ă  charge ĂągĂ©s de moins de 16 ans, bĂ©nĂ©ficiera pour ceux-ci, en cas de maladie ou d’accident constatĂ© par certificat mĂ©dical, d’un congĂ© de 12 jours ouvrables par annĂ©e civile et par salariĂ©, dont les 3 premiers jours sont rĂ©munĂ©rĂ©s comme temps de travail. Ces jours pour enfants malades sont considĂ©rĂ©s pour leur totalitĂ© comme temps de travail effectif pour le calcul des congĂ©s payĂ©s. TITRE 7 REMUNERATIONS Article 73-1 bis RĂ©munĂ©ration minimum conventionnelle modifiĂ© par les avenants de l’annexe n°6 du 17 mai 2005 et n°8 du 21 dĂ©cembre 2005, Ă©tendu par arrĂȘtĂ© du 7 dĂ©cembre 2006 JORF 19 dĂ©cembre 2006 Le salaire minimum conventionnel affĂ©rent Ă  chaque emploi est fixĂ© par les grilles figurant au titre “classification”. Il est calculĂ© sur la base de la valeur du point dĂ©finie pour les Ă©tablissements accueillant des personnes ĂągĂ©es appliquĂ©e aux coefficients des grilles de classifications, le tout majorĂ©, le cas Ă©chĂ©ant, de l’anciennetĂ©. Le pourcentage d’anciennetĂ© qui vient majorer le salaire minimum conventionnel Ă©volue d’1% par an jusqu’à 30% pour 30 ans et plus. SMCB = valeur du point X coefficient + % d’anciennetĂ© La rĂ©munĂ©ration du salariĂ© majorĂ©e, le cas Ă©chĂ©ant, de l’anciennetĂ© et Ă  l’exclusion des Ă©lĂ©ments citĂ©s Ă  l’article 75-3 de la CCU, ne pourra ĂȘtre infĂ©rieure au salaire minimum conventionnel de base ci-dessus dĂ©fini. Toutefois, le salaire de rĂ©fĂ©rence est, pour la comparaison avec le SMIC, celui du coefficient d’emploi valeur du point x coefficient. Lorsque le salaire du coefficient d’emploi est infĂ©rieur au SMIC, la majoration d’anciennetĂ© calculĂ©e sur le salaire du coefficient d’emploi s’ajoute au SMIC. Le salaire conventionnel correspond Ă  un horaire de 35 heures hebdomadaires de travail effectif. Le salaire conventionnel correspond Ă  un horaire de 35 heures hebdomadaires de travail effectif pour les entreprises de plus de 20 salariĂ©s et Ă  39 heures pour les autres. Pour ces derniĂšres toutefois, dans un dĂ©lai de deux ans Ă  compter de la date d’effet de la convention collective unique, le salaire conventionnel de 39 heures correspondra Ă  un salaire pour 35 heures hebdomadaires. Ce salaire conventionnel comprend le complĂ©ment de rĂ©duction du temps de travail prĂ©vu par l’accord de branche du 27 janvier 2000 et par l’annexe spĂ©cifique au secteur mĂ©dico-social, qui disparaĂźtra selon les modalitĂ©s prĂ©vues par cet accord et son annexe. Article 73-2 bis Evolution de la valeur du point Chaque annĂ©e, une nĂ©gociation s’engage entre les organisations reprĂ©sentatives au plan national des syndicats de salariĂ©s et d’employeurs des Ă©tablissements accueillant des personnes ĂągĂ©es pour dĂ©finir la valeur du point conventionnelle applicable Ă  ce secteur. Article 74 bis RĂ©munĂ©ration annuelle garantie Les dispositions de l’article 74 et de l’article 75-2 ne s’appliquent pas aux Ă©tablissements accueillant des personnes ĂągĂ©es. Article 82 bis IndemnitĂ©s pour sujĂ©tions spĂ©ciales Article 82-2 bis – IndemnitĂ© pour travail effectuĂ© les dimanches et jours fĂ©riĂ©s modifiĂ© par l’avenant de l’annexe n°6 du 17 mai 2005 Les salariĂ©s qui assurent un travail effectif un dimanche ou un jour fĂ©riĂ© percevront une indemnitĂ© Ă©gale Ă  0,40 point calculĂ©e sur la valeur du point applicable au secteur par heure ou fraction d’heure. TITRE 8 PREVOYANCE Article 84-1 bis incapacitĂ© temporaire totale de travail – maladie de longue durĂ©e modifiĂ© par l’avenant de l’annexe n°6 du 17 mai 2005 En cas d’absence au travail des salariĂ©s cadres et non-cadres justifiĂ©e par l’incapacitĂ© rĂ©sultant de maladie ou d’accident non professionnel dĂ»ment constatĂ© par certificat mĂ©dical et, le cas Ă©chĂ©ant, contre-visite mĂ©dicale patronale dans des conditions conformes aux dispositions lĂ©gales, rĂ©glementaires et jurisprudentielles, ils bĂ©nĂ©ficieront, pendant toute la durĂ©e de l’absence, des garanties complĂ©mentaires ci-aprĂšs sous conditions d’avoir justifiĂ© dans les 48 heures de cette incapacitĂ© d’ĂȘtre pris en charge par la sĂ©curitĂ© sociale au titre des indemnitĂ©s journaliĂšres d’ĂȘtre soignĂ© sur le territoire français ou dans l’un des autres pays de la communautĂ© europĂ©enne ou dans un pays bĂ©nĂ©ficiant d’une convention de rĂ©ciprocitĂ©. Montant et durĂ©e des garanties complĂ©mentaires Chaque arrĂȘt de travail sera indemnisĂ© Ă  l’issue du dĂ©lai de carence, ci-aprĂšs prĂ©cisĂ©, pour les salariĂ©s non cadres, sans dĂ©lai de carence pour les cadres en cas de maladie, et immĂ©diatement pour l’ensemble des salariĂ©s, en cas de maladie professionnelle, accident du travail ou de trajet Le dĂ©lai de carence appliquĂ© en cas d’incapacitĂ© temporaire totale de travail rĂ©sultant de maladie ou d’accident non professionnel dĂ»ment constatĂ© par certificat mĂ©dical, est de 3 jours calendaires pour le personnel non cadre, cette disposition ne remettant pas en cause les dispositions existantes lorsqu’elles sont plus favorables. En cas d’arrĂȘt de travail, les salariĂ©s non cadres et cadres percevront Pendant 90 jours consĂ©cutifs ou non par annĂ©e civile 100 % de la rĂ©munĂ©ration nette qu’aurait perçue le salariĂ© s’il avait travaillĂ© pendant la pĂ©riode d’incapacitĂ© de travail. au-delĂ  de 90 jours, maintien en net de 80 % de la rĂ©munĂ©ration brute sur la base de la moyenne des rĂ©munĂ©rations des six derniers mois prĂ©cĂ©dant la pĂ©riode indemnisĂ©e et ce durant l’incapacitĂ© temporaire indemnisĂ©e par la sĂ©curitĂ© sociale. De cette garantie complĂ©mentaire seront dĂ©duites les indemnitĂ©s journaliĂšres nettes versĂ©es par la sĂ©curitĂ© sociale. En tout Ă©tat de cause, les garanties susvisĂ©es ne doivent pas conduire le bĂ©nĂ©ficiaire, compte tenu des sommes versĂ©es de toute provenance, Ă  percevoir pour la pĂ©riode indemnisĂ©e Ă  l’occasion d’une maladie ou d’un accident une somme supĂ©rieure Ă  la rĂ©munĂ©ration nette qu’il aurait effectivement perçue s’il avait continuĂ© Ă  travailler. Les indemnitĂ©s journaliĂšres complĂ©mentaires sont versĂ©es, au plus tard jusqu’au 65Ăšme anniversaire du bĂ©nĂ©ficiaire. Les Ă©tablissements s’engagent Ă  examiner lors de la nĂ©gociation annuelle obligatoire les possibilitĂ©s de mise en place de la subrogation. Article 84-3 bis DĂ©cĂšs – Rente d’éducation En cas de dĂ©cĂšs d’un salariĂ© avant l’ñge de 65 ans, ou par anticipation en cas d’invaliditĂ© absolue et dĂ©finitive IAD, survenue avant 60 ans et entraĂźnant la reconnaissance par la SĂ©curitĂ© Sociale d’une invaliditĂ© de troisiĂšme catĂ©gorie, l’organisme de prĂ©voyance versera aux ayants droit ou Ă  l’assurĂ© lui-mĂȘme en cas d’IAD un capital fixĂ© Ă  170% du salaire annuel brut de rĂ©fĂ©rence, quelle que soit la situation de famille de l’assurĂ© ; En cas de dĂ©cĂšs accidentel, le capital dĂ©cĂšs versĂ© aux ayants-droit est doublĂ©. En cas de dĂ©cĂšs concomitant ou postĂ©rieur du conjoint du salariĂ© dĂ©cĂ©dĂ©, un capital dĂ©cĂšs Ă©gal Ă  celui versĂ© au dĂ©cĂšs du salariĂ© est versĂ©, si le conjoint avait encore des enfants Ă  charge. une rente Ă©ducation, pour chaque enfant Ă  charge, Ă©gale Ă  enfant de moins de 12 ans 10% du salaire annuel brut de rĂ©fĂ©rence par enfant ; enfant de 12 Ă  16 ans 15% du salaire annuel brut de rĂ©fĂ©rence par enfant ; enfant de 16 Ă  25 ans 20% du salaire annuel brut de rĂ©fĂ©rence par enfant si Ă©tudiant, apprenti ou titulaire d’un contrat de qualification. Cette rente sera versĂ©e jusqu’à 18 ans, ou jusqu’à 25 ans si l’enfant poursuit des Ă©tudes ou est en apprentissage ou titulaire d’un contrat de qualification. Par enfant Ă  charge, on entend les enfants du participant ou de son conjoint, concubin ou partenaire liĂ© par un pacte civil de solidaritĂ©, qu’ils soient lĂ©gitimes, naturels, adoptifs, reconnus. Par assimilation, sont Ă©galement considĂ©rĂ©s Ă  charge, les enfants recueillis, c’est-Ă -dire de l’ex-conjoint Ă©ventuel, du conjoint ou du de la concubine ou du partenaire liĂ© par un pacte civil de solidaritĂ© du participant dĂ©cĂ©dĂ© qui ont vĂ©cu au foyer jusqu’au moment du dĂ©cĂšs et si leur autre parent n’est pas tenu au versement d’une pension alimentaire. En cas de dĂ©cĂšs postĂ©rieur Ă  celui du participant de son conjoint ou concubin ou partenaire liĂ© par un pacte civil de solidaritĂ©, le montant de chaque rente Ă©ducation versĂ©e est doublĂ©. Si, au moment du dĂ©cĂšs, le participant n’avait pas d’enfant Ă  charge au sens prĂ©cĂ©demment dĂ©crit, il est versĂ© Ă  son conjoint, concubin ou partenaire liĂ© par un pacte civil de solidaritĂ©, une rente viagĂšre temporaire versĂ©e jusqu’au 55Ăšme anniversaire Ă©gale Ă  10% du salaire de rĂ©fĂ©rence. Le salaire de rĂ©fĂ©rence Ă  prendre en considĂ©ration, pour la dĂ©termination des garanties ci-dessus, sera le salaire brut moyen des 12 mois prĂ©cĂ©dant l’arrĂȘt de travail, revalorisĂ© en fonction de l’évolution de la valeur du point du secteur entre la date d’arrĂȘt de travail et la date du dĂ©cĂšs ou de l’IAD. Le paiement au titre de l’InvaliditĂ© Absolue et DĂ©finie du capital dĂ©cĂšs met fin Ă  la garantie. Article 85-1 bis Organisme gestionnaire Les parties Ă  la prĂ©sente convention entendront recommander pour la couverture des garanties de prĂ©voyance telles que dĂ©finies au prĂ©sent titre ou des organismes suivants – PREMALLIANCE, – VAUBAN, – UNPMF Union Nationale pour la PrĂ©voyance de la MutualitĂ© Française, – OCIRP pour la rente Ă©ducation et la rente de conjoint qui seront mises en Ɠuvre par les organismes prĂ©citĂ©s. Si un taux supĂ©rieur Ă©tait pratiquĂ© par un autre organisme, ce supplĂ©ment de taux serait intĂ©gralement Ă  la charge de l’employeur. Article 85-2 bis Cotisations non cadres modifiĂ© par l’avenant de l’annexe n°6 du 17 mai 2005 Les cotisations aux rĂ©gimes de prĂ©voyance prĂ©vues au prĂ©sent Titre sont rĂ©parties globalement Ă  raison de 60 % Ă  la charge de l’employeur et 40 % Ă  la charge du salariĂ©, sans que la cotisation salariale ne puisse dĂ©passer 0,912% sur la Tranche A et Tranche B pour un total de cotisation de 2,28% sur la Tranche A et Tranche B, dont 0,15% sur les tranches A et B pour la rente Ă©ducation et la rente conjoint. Article 85-3 bis Cotisations cadres Les cotisations aux rĂ©gimes de prĂ©voyance prĂ©vues au prĂ©sent Titre sont rĂ©parties globalement Ă  raison de 60 % Ă  la charge de l’employeur et 40 % Ă  la charge du salariĂ©, sans que la cotisation salariale ne puisse dĂ©passer 1,104 % sur la Tranche A et 1,96% sur la Tranche B pour un total de cotisations de 2,76 % sur la Tranche A et 4,90% sur la Tranche B, dont 0,15% sur les tranches A et B pour la rente Ă©ducation et la rente de conjoint. La rĂ©partition des cotisations des cadres devra respecter en ce qui concerne la tranche A des salaires, les dispositions de la convention collective du 14 mars 1947. TITRE 11 bis CLASSIFICATIONS Article 90 bis Principes Le nouveau systĂšme de classification se substitue aux anciennes classifications des conventions collectives Ă©numĂ©rĂ©es Ă  l’article 4 Conventions antĂ©rieures ». Il adopte une mĂ©thode de classement se fondant sur les caractĂ©ristiques et les exigences requises par l’emploi rĂ©ellement occupĂ©. Un protocole de transposition dĂ©finira la mĂ©thode Ă  retenir pour l’attribution des coefficients rĂ©sultant de la nouvelle grille de classification aux salariĂ©s relevant d’entreprises appliquant l’une des CCN du secteur visĂ©e Ă  l’article 4. Article 90-1 bis – Les filiĂšres professionnelles Trois filiĂšres de personnel doivent ĂȘtre identifiĂ©es pour prendre en compte la spĂ©cificitĂ© des Ă©tablissements hĂ©bergeant des personnes ĂągĂ©es dĂ©pendantes. Ces Ă©tablissements sociaux et mĂ©dico-sociaux assurent essentiellement et prioritairement une mission d’hĂ©bergement des personnes ĂągĂ©es. Ils sont amenĂ©s Ă  dĂ©velopper une mission de soins qui varie en fonction de l’état de dĂ©pendance et des soins que requiĂšrent la personne accueillie. Ces missions nĂ©cessitent des personnels et des compĂ©tences spĂ©cifiques. Pour assurer ces missions, trois filiĂšres sont créées – administrative et des services techniques, – concourant Ă  l’hĂ©bergement et Ă  la vie sociale – soins. 1. La filiĂšre du personnel administratif et des services techniques. Cette filiĂšre rassemble les personnes qui organisent et participent Ă  la rĂ©alisation des prestations d’administration gĂ©nĂ©rale et de fonctionnement de l’établissement. Dans le cadre de leurs fonctions, ces personnes doivent ĂȘtre formĂ©es Ă  la spĂ©cificitĂ© du secteur, en participant et organisant mieux l’encadrement et le bon dĂ©roulement de la vie des rĂ©sidents. 2. La filiĂšre personnel de soins Cette filiĂšre rĂ©pond Ă  l’intervention croissante d’équipes de soins au sein des Ă©tablissements accueillant des personnes ĂągĂ©es et Ă  la coordination qui doit en rĂ©sulter. Elle regroupe donc les personnels mĂ©dicaux et paramĂ©dicaux participant Ă  la prise en charge des affections somatiques et psychiques des personnes hĂ©bergĂ©es et Ă  leur coordination. 3. La filiĂšre personnel concourant Ă  l’hĂ©bergement et Ă  la vie sociale Cette filiĂšre regroupe les personnels participant Ă  la rĂ©alisation des prestations d’accueil hĂŽtelier, de restauration, d’animation de la vie sociale, d’aide et de surveillance nĂ©cessaire Ă  l’accomplissement des actes essentiels de la vie. L’importance et la nature de leur mission varient en fonction du degrĂ© de dĂ©pendance des personnes hĂ©bergĂ©es et de la prise en charge qui doit en rĂ©sulter. Article 90 – 2 bis – Les positions Les emplois sont rĂ©partis au sein de trois positions professionnelles Position I EmployĂ©s Position II Techniciens – Agents de MaĂźtrise Position III Cadres Article 90 – 3 bis – Les niveaux 1 – critĂšres Chaque position comprend 3 niveaux. Le niveau nature de la qualification repose sur 4 critĂšres dĂ©terminants et communs Ă  l’ensemble du personnel et un critĂšre spĂ©cifique au personnel du secteur. La formation initiale ou continue dans le mĂ©tier ou l’expĂ©rience professionnelle requise par le poste et acquise par la personne, l’expĂ©rience professionnelle acquise en EHPAD ou auprĂšs de personnes ĂągĂ©es qui confirme l’aptitude Ă  l’accompagnement et Ă  la prise en charge des personnes ĂągĂ©es Ce critĂšre est essentiel pour le secteur et a pour objet de mesurer l’aptitude du salariĂ© dans l’accompagnement, l’écoute et les contacts avec la personne ĂągĂ©e, la communication avec les familles et les relations avec les diffĂ©rents intervenants concourrant Ă  la prise en charge de la personne ĂągĂ©e dans l’établissement. – Le type d’activitĂ©, pouvant ĂȘtre dĂ©fini comme l’objet du travail, son contenu, l’étendue des compĂ©tences, la complexitĂ© et/ou la difficultĂ© du travail Ă  accomplir. – Le degrĂ© d’autonomie le degrĂ© d’indĂ©pendance et le degrĂ© d’initiative laissĂ©s au titulaire du poste dans l’exercice de sa fonction. – Les responsabilitĂ©s gĂ©nĂ©rales l’importance du poste dans la distribution, l’organisation et le contrĂŽle du travail des salariĂ©s subordonnĂ©s, ainsi qu’éventuellement de leur emploi diffĂ©rent en vue d’une amĂ©lioration du service. 2 – tutorat La valorisation du tutorat s’entend par une formation spĂ©cifique minimum de 40 heures. Article 90-4 bis – Reprise d’anciennetĂ© Lors du recrutement, pour la dĂ©termination du salaire minimum conventionnel, l’anciennetĂ© acquise antĂ©rieurement sera prise en compte de la maniĂšre suivante Article 90-4-1 bis Pour l’ensemble du personnel Ă  l’exception de ceux visĂ©s Ă  l’article 90-4-2 bis Lorsqu’un salariĂ© sera nouvellement recrutĂ©, il conservera 50% de l’anciennetĂ© qu’il aura acquise dans les emplois occupĂ©s dans les Ă©tablissements d’hospitalisation ou accueillant des personnes ĂągĂ©es, privĂ©s dont PSPH ou publics. Article 90-4-2 bis Pour les personnels soignants ci aprĂšs L’anciennetĂ© effectivement acquise dans l’emploi en qualitĂ© d’infirmiere, aide-soignante diplĂŽmĂ©e, aide mĂ©dico-psychologique, au sein d’autres Ă©tablissements d’hospitalisation ou accueillant des personnes ĂągĂ©es, privĂ©s dont PSPH ou publics, antĂ©rieurement Ă  leur recrutement, ou dans le cadre d’une activitĂ© libĂ©rale, est reprise Ă  100 %. Cette reprise d’anciennetĂ© Ă  100% est exclusive de toute reprise d’anciennetĂ© au titre d’un autre emploi. Article 91 bis – Grille de classifications des emplois Article 91-1 bis – FiliĂšres administratives et services techniques et hĂ©bergement et vie sociale Article 91-1-1 bis Position I EmployĂ©s Article 91-1-1-1 bis DĂ©finition des niveaux – Niveau 1 EmployĂ© Emploi ne nĂ©cessitant pas de qualification particuliĂšre et consistant, dans le cadre d’instructions prĂ©cises, en l’exĂ©cution de tĂąches simples rĂ©pĂ©titives ou analogues, rĂ©pondant Ă  des exigences qualitatives et quantitatives prĂ©dĂ©terminĂ©es. Les connaissances mises en Ɠuvre correspondent Ă  celles qui sont acquises au cours de la scolaritĂ© obligatoire. – Niveau 2 EmployĂ© qualifiĂ© Emploi consistant dans l’exĂ©cution et/ou la conduite d’opĂ©rations et/ou d’actes qualifiĂ©s, exigeant une formation dans le mĂ©tier ou une expĂ©rience dĂ©veloppĂ©e dans des Ă©tablissements accueillant des personnes ĂągĂ©es, et impliquant le respect de directives prĂ©cises. Les connaissances requises correspondent au BEP ou CAP ou Ă  un niveau Ă©quivalent acquis par une formation non diplĂŽmante ou expĂ©rience professionnelle. Il est placĂ© sous le contrĂŽle direct d’un agent de niveau III employĂ© hautement qualifiĂ© ou de position II technicien, agent de maĂźtrise ou sous le contrĂŽle direct ou indirect d’un cadre. – Niveau 3 EmployĂ© hautement qualifiĂ© Emploi requĂ©rant soit la mise en Ɠuvre de connaissances complĂ©mentaires acquises par une formation spĂ©cifique ou sanctionnĂ©e par un diplĂŽme, soit l’exercice effectif et simultanĂ© de connaissances professionnelles sanctionnĂ©es par plusieurs CAP ou un Brevet professionnel, niveau IV Education Nationale ou niveau Ă©quivalent acquis par une expĂ©rience professionnelle, soit la mise en Ɠuvre de connaissances intellectuelles et pratiques suffisantes permettant le contrĂŽle et la coordination de tĂąches rĂ©alisĂ©es par un personnel relevant des niveau I et II. Il est placĂ© sous le contrĂŽle direct d’un agent de position II technicien, agent de maĂźtrise ou sous le contrĂŽle direct ou indirect d’un cadre. Article 91-1-1-2 bis Grille de classement des emplois au sein des diffĂ©rents niveaux Article 91-1-2 bis – Position II Techniciens – Agents de MaĂźtrise Article 91-1-2-1 bis – DĂ©finition des niveaux Niveau 1 technicien Emploi consistant, sous contrĂŽle de l’employeur ou d’un personnel hiĂ©rarchiquement supĂ©rieur agent de maĂźtrise ou cadre, Ă  exĂ©cuter et/ou Ă©laborer une ou plusieurs opĂ©rations ou tĂąches devant rĂ©pondre Ă  des exigences de technicitĂ© et de conformitĂ© impliquant une formation sanctionnĂ©e par un diplĂŽme correspondant au niveau III de l’Education Nationale ou une expĂ©rience professionnelle Ă©quivalente d’au moins trois ans dans la spĂ©cialitĂ©. Niveau 2 technicien hautement qualifiĂ© Outre les conditions requises par le niveau prĂ©cĂ©dent, le titulaire du poste peut ĂȘtre amenĂ©, tout en participant de maniĂšre active aux tĂąches de son service, Ă  coordonner le travail de salariĂ© relevant du niveau employĂ©. Outre la maĂźtrise parfaite du mĂ©tier, l’emploi exige une plus grande technicitĂ© sanctionnĂ©e par un diplĂŽme ou une formation complĂ©mentaire, ou lorsque la personne concourt aux soins, un diplĂŽme reconnu rĂ©glementairement. Niveau Ă©gal ou supĂ©rieur au niveau III Education Nationale. Niveau 3 agent de maĂźtrise Outre les conditions requises par le niveau prĂ©cĂ©dent, l’emploi est caractĂ©risĂ© par une trĂšs grande autonomie et de larges possibilitĂ©s d’initiative et/ou l’exercice de plusieurs spĂ©cialitĂ©s. Le titulaire du poste peut ĂȘtre amenĂ© Ă  exercer de façon permanente, sous contrĂŽle de l’employeur ou d’un personnel hiĂ©rarchiquement supĂ©rieur relevant de la position III, l’encadrement et l’animation d’un service administratif ou technique/hĂ©bergement et vie sociale, comprenant des salariĂ©s relevant de la position I et des niveaux 1 et 2 de la position II, tant au niveau technique que du commandement. Article 91-1-2-2 bis Grille de classement des emplois au sein des diffĂ©rents niveaux Article 91-2 bis – FiliĂšre soins Article 91-2-1 bis – Position I EmployĂ©s Article 91-2-1- 1 bis DĂ©finition des niveaux Niveau 1 EmployĂ© Emploi ne nĂ©cessitant pas de qualification particuliĂšre et consistant, dans le cadre d’instructions prĂ©cises, en l’exĂ©cution de tĂąches simples rĂ©pĂ©titives ou analogues, rĂ©pondant Ă  des exigences qualitatives et quantitatives prĂ©dĂ©terminĂ©es. Les connaissances mises en Ɠuvre correspondent Ă  celles qui sont acquises au cours de la scolaritĂ© obligatoire. Il est placĂ© sous le contrĂŽle direct d’un agent de niveau III employĂ© hautement qualifiĂ© ou de position II technicien, agent de maĂźtrise ou sous le contrĂŽle direct ou indirect d’un cadre. Niveau 2 EmployĂ© qualifiĂ© Emploi consistant dans l’exĂ©cution et/ou la conduite d’opĂ©rations et/ou d’actes qualifiĂ©s, exigeant une formation dans le mĂ©tier et impliquant le respect de directives prĂ©cises. Les connaissances requises sont sanctionnĂ©es par un diplĂŽme d’Etat reconnu en matiĂšre normative DPAS, 
 ou lorsque le poste ne l’exige pas, correspondant au BEP ou CAP ou Ă  un niveau Ă©quivalent acquis par une formation non diplĂŽmante ou expĂ©rience professionnelle. Le titulaire du poste doit ĂȘtre capable de transmettre des informations simples au niveau du service. Il est placĂ© sous le contrĂŽle direct d’un agent de niveau III employĂ© hautement qualifiĂ© ou de position II technicien, agent de maĂźtrise ou sous le contrĂŽle direct ou indirect d’un cadre. Niveau 3 EmployĂ© hautement qualifiĂ© Emploi requĂ©rant la mise en Ɠuvre soit de connaissances complĂ©mentaires acquises par une formation non diplĂŽmante ou sanctionnĂ©e par un diplĂŽme. Il est placĂ© sous le contrĂŽle direct d’un agent de position II technicien, agent de maĂźtrise ou sous le contrĂŽle direct ou indirect d’un cadre. Article 91-2-1-2 bis Grille de classement des emplois au sein des diffĂ©rents niveaux Article 91-2-2 bis – Position II Technicien et agent de MaĂźtrise Article 91-2-2-1 bis DĂ©finition des niveaux Niveau 1 technicien Emploi consistant sous contrĂŽle de l’employeur ou d’un personnel hiĂ©rarchiquement supĂ©rieur agent de maĂźtrise ou cadre Ă  exĂ©cuter et/ou Ă©laborer une ou plusieurs opĂ©rations ou tĂąches devant rĂ©pondre Ă  des exigences de technicitĂ© et de conformitĂ© impliquant une formation sanctionnĂ©e par un diplĂŽme correspondant au niveau III de l’Education Nationale ou une expĂ©rience professionnelle Ă©quivalente d’au moins trois ans dans la spĂ©cialitĂ©. Le titulaire du poste, sous le contrĂŽle de l’autoritĂ© mĂ©dicale, est amenĂ© Ă  exĂ©cuter des prescriptions mĂ©dicales et des soins ou Ă  participer , en raison de ses compĂ©tences et sur le plan technique, uniquement Ă  la rĂ©alisation d’examen ou de traitements mĂ©dicaux. Niveau 2 technicien hautement qualifiĂ© Outre les conditions requises par le niveau prĂ©cĂ©dent, l’emploi exige la mise en Ɠuvre d’une technique ou spĂ©cialitĂ© complĂ©mentaire sanctionnĂ©e par un diplĂŽme reconnu rĂ©glementairement. Niveau Ă©gal ou supĂ©rieur au niveau III Education Nationale. L’exercice d’un tutorat est valorisĂ©. Niveau 3 Agent de MaĂźtrise Outre les conditions requises par le niveau prĂ©cĂ©dent, l’emploi est caractĂ©risĂ© ‑ soit sur le plan mĂ©dical ou paramĂ©dical, par une trĂšs grande autonomie et de larges possibilitĂ©s d’initiative et/ou l’exercice de plusieurs spĂ©cialitĂ©s, – soit sur le plan fonctionnel, par l’encadrement de façon permanente et sous le contrĂŽle de l’employeur ou d’un cadre et l’animation d’un service comprenant des agents relevant de la Position I et des niveaux 1 et 2 de la Position II tant au niveau technique que du commandement. AprĂšs reclassement, la nomination Ă  ces fonctions pourra ĂȘtre accompagnĂ©e d’une formation d’adaptation Ă  l’animation des Ă©quipes. Article 91-2-2-2 bis Grille de classement d’emplois au sein des diffĂ©rents niveaux Article 92 bis – Conditions de mise en place des classifications au niveau des entreprises Article 92-1 bis – Classement du poste au sein des niveaux C’est le poste tenu qui dĂ©termine le niveau d’accueil, Ă©tant prĂ©cisĂ© que certains postes nĂ©cessitent, sur le plan rĂ©glementaire, la mise en Ɠuvre d’un diplĂŽme. Ainsi, le classement dĂ©finitif des salariĂ©s dans la nouvelle grille de classification nĂ©cessite, prĂ©alablement, la rĂ©alisation des opĂ©rations suivantes au niveau de l’entreprise a recensement des postes par filiĂšres, par positions, par niveaux. b positionnement des postes dans la grille de classification conventionnelle selon les modalitĂ©s dĂ©finies dans le tableau de transposition annexĂ© Ă  la Convention collective. c valider le classement selon les modalitĂ©s dĂ©finies ci-aprĂšs. Article 92-2 bis – DĂ©lai et conditions de mise en place Article 92-2-1 bis – Information et consultation des reprĂ©sentants syndicaux et institutions reprĂ©sentatives La nouvelle classification dĂ©terminĂ©e ci-avant devra ĂȘtre mise en place au sein des Ă©tablissements concernĂ©s dans les 6 mois suivant la date d’effet de la prĂ©sente convention selon une mĂ©thodologie dĂ©terminĂ©e aprĂšs concertation avec les dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux s’ils existent. A la suite de cette concertation et avant la mise en place dĂ©finitive de la grille de classification, le comitĂ© d’entreprise ou Ă  dĂ©faut les dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel sera consultĂ©. PrĂ©alablement Ă  cette consultation, la Direction lui remettra, par Ă©crit, une rĂ©partition non nominative de l’ensemble du personnel au sein des diffĂ©rentes positions et niveaux et groupes. Article 92-2-2 bis – Information individuelle Chaque salariĂ© se verra ensuite notifier par Ă©crit, outre l’appellation de son emploi, la filiĂšre, le niveau ainsi que le coefficient final rĂ©sultant de l’application des dĂ©finitions ci-dessus. A partir de cette notification, le salariĂ© disposera d’un dĂ©lai maximum de trois mois pour faire valoir tout dĂ©saccord Ă©ventuel auprĂšs de la direction sur son nouveau classement. Durant ce dĂ©lai, il pourra demander Ă  ĂȘtre reçu par la Direction de l’établissement et ĂȘtre assistĂ©, lors de cet entretien, par un reprĂ©sentant du personnel Ă©lu ou dĂ©signĂ© ou Ă©ventuellement par une personne de son choix appartenant au personnel de l’entreprise. En cas de difficultĂ© persistante, la commission paritaire nationale d’interprĂ©tation et de conciliation prĂ©vue Ă  l’article 5 de la prĂ©sente convention, pourra ĂȘtre saisie. La mise en Ɠuvre de la nouvelle classification ne pourra entraĂźner, en aucun cas, une diminution des rĂ©munĂ©rations mensuelle et/ou annuelle effectives. Au plus tard 1 annĂ©e aprĂšs la date d’entrĂ©e en vigueur de ces derniĂšres, il sera procĂ©dĂ©, au niveau national, Ă  un constat aux fins de vĂ©rifier les conditions dans lesquelles leur mise en place a Ă©tĂ© opĂ©rĂ©e au sein des Ă©tablissements. TITRE 12 DISPOSITIONS SPECIFIQUES AUX CADRES Article 94 bis – Classification des cadres La classification des cadres comporte cinq catĂ©gories permettant de prendre en compte au niveau de l’établissement – La nature du diplĂŽme ainsi que le niveau de formation requis par le poste et l’expĂ©rience professionnelle acquise par le salariĂ©. Le salariĂ© mettant en oeuvre dans le cadre de sa fonction un diplĂŽme relevant du niveau I de l’Education Nationale relĂšve de la catĂ©gorie des cadres ; – L’importance et la diversitĂ© des tĂąches ; – Le degrĂ© de responsabilitĂ©, d’autonomie et d’initiative, – La nature, l’importance et la structure de l’établissement. CADRE A coefficient de 330 Ă  409 Cette catĂ©gorie concerne les cadres soignants, des services techniques ou administratifs, dĂ©butants ainsi que les cadres autodidactes exerçant ou ayant exercĂ© des fonctions d’encadrement dans la position AM. CADRE B coefficient de 410 Ă  454 Cette catĂ©gorie concerne les cadres pouvant avoir une dĂ©lĂ©gation de pouvoir Ă©crite limitĂ©e Ă  leur domaine de compĂ©tence, et exerçant leur autoritĂ© sur un nombre limitĂ© de cadres et/ou agents de maĂźtrise. Elle concerne Ă©galement les cadres A ayant 12 ans d’anciennetĂ© en qualitĂ© de cadre. CADRE C coefficient de 455 Ă  554 Cette catĂ©gorie concerne les cadres qui remplissent les conditions des cadres B, et qui exercent leur autoritĂ© sur plusieurs services. CADRE SUPERIEUR coefficient Ă  partir de 555 Cette catĂ©gorie concerne les cadres exerçant leur fonction avec une dĂ©lĂ©gation Ă©crite acceptĂ©e de pouvoir qui engage leur responsabilitĂ© dans leur domaine de compĂ©tence, et qui coordonnent plusieurs services ou Ă©tablissements, notamment par l’autoritĂ© qu’ils peuvent exercer sur des cadres de catĂ©gorie A, B ou C, et sur nombre important d’agents. La catĂ©gorie cadre supĂ©rieur » ne pourra s’envisager que dans les entreprises ou les Ă©tablissements dont la capacitĂ© d’accueil est d’au moins 100 lits. CADRE DIRIGEANT Les cadres dirigeants ne sont pas soumis aux dispositions du titre 1er et aux chapitres prĂ©liminaires, 1er et II du Titre II du Livre II du code du travail. Sont considĂ©rĂ©s comme ayant la qualitĂ© de cadre dirigeant, les cadres auxquels sont confiĂ©es des responsabilitĂ©s dont l’importance implique une grande indĂ©pendance dans l’organisation de leur emploi du temps, qui sont habilitĂ©s Ă  prendre des dĂ©cisions de façon largement autonome, et qui perçoivent une rĂ©munĂ©ration se situant dans les niveaux les plus Ă©levĂ©s des systĂšmes de rĂ©munĂ©ration pratiquĂ©s dans l’entreprise ou leur Ă©tablissement. La dĂ©lĂ©gation de pouvoir suppose compĂ©tence et moyens permettant de l’assumer. Article 95 bis – DĂ©roulement de carriĂšre professionnelle cf avis de la commission d’interprĂ©tation du 29 octobre 2002 Afin de maintenir l’écart de rĂ©munĂ©ration entre les agents de maĂźtrise et les cadres A, ceux-ci accĂšderont Ă  la catĂ©gorie de cadre B au bout de 12 ans d’anciennetĂ© en qualitĂ© de cadre. Leur nouveau coefficient devra ĂȘtre au moins immĂ©diatement supĂ©rieur Ă  celui qu’ils dĂ©tenaient prĂ©cĂ©demment en application de la prĂ©sente convention. Le classement du cadre nouvellement recrutĂ© dans la grille de classification se fera par application des modalitĂ©s de reprise d’anciennetĂ© dĂ©finies aux articles 90-4 bis et suivants de la convention collective. Seule l’anciennetĂ© acquise en qualitĂ© de cadre sera reprise. Article 96 bis – RĂ©munĂ©ration annuelle garantie Les dispositions de l’article 96 de la convention collective unique du 18 avril 2002 ne s’appliquent pas aux Ă©tablissements accueillant des personnes ĂągĂ©es. Article 97 bis – VĂ©rification Les dispositions de l’article 96 de la convention collective unique du 18 avril 2002 ne s’appliquent pas aux Ă©tablissements accueillant des personnes ĂągĂ©es. Article 101 bis – Dispositions particuliĂšres Ă  certaines professions de santĂ© mĂ©decins et pharmaciens L’exercice de l’activitĂ© des professions prĂ©vues au prĂ©sent article se fera dans le respect des rĂšgles dĂ©ontologiques inhĂ©rentes Ă  chaque profession, et garanties par les Conseils de l’Ordre compĂ©tents. Une grille spĂ©cifique s’applique pour les mĂ©decins et les pharmaciens salariĂ©s qui sont classĂ©s dans la filiĂšre soins. CLASSIFICATION DES EMPLOIS DES ETABLISSEMENTS ACCUEILLANT DES PERSONNES AGEES FILIÈRE PERSONNEL DE SOINS Personnel mĂ©dical ou paramĂ©dical dispensant et coordonnant les soins en EHPAD nĂ©cessaire Ă  la prise en charge des affections somatiques et psychiques des personnes hĂ©bergĂ©es » FILIÈRE PERSONNEL CONCOURANT A L’HEBERGEMENT ET A LA VIE SOCIALE Personnels participant Ă  la rĂ©alisation des prestations d’accueil hĂŽtelier, de restauration, d’animation de la vie sociale, d’aide et de surveillance nĂ©cessaire Ă  l’accomplissement des actes essentiels de la vie » FILIÈRE PERSONNEL ADMINISTRATIF ET DES SERVICES TECHNIQUES Personnels participant Ă  la rĂ©alisation des prestations d’administration gĂ©nĂ©rale et de fonctionnement de l’établissement » Article 102 grilles de classifications Les grilles de salaire sont annexĂ©es ci-joint. Fait Ă  Paris, le 10 dĂ©cembre 2002 en autant d’exemplaires que de parties signataires, plus les exemplaires destinĂ©s au dĂ©pĂŽt lĂ©gal. Pour le syndicat national des Ă©tablissements et rĂ©sidences privĂ©s pour personnes ĂągĂ©es SYNERPA, le PrĂ©sident, Guy LAMARQUE ; le PrĂ©sident de la commission sociale, Jean-François PARIS ; le dĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral, ThĂ©odore AMARANTINIS, Pour la FĂ©dĂ©ration santĂ© et sociaux CFTC Le dĂ©lĂ©guĂ© – Denis LAVAT Pour la FĂ©dĂ©ration des services de santĂ© et des services sociaux CFDT, La dĂ©lĂ©guĂ©e – Dominique DROUET Pour la FĂ©dĂ©ration des services publics et de santĂ© FO La dĂ©lĂ©guĂ©e – Martine PAULIN Lien d’accĂ©s Ă  la Grille de classification des salaires avril2014
\n \nconvention collective hospitalisation privée grille salaire 2020
AccueilConvention collective 2264 Textes AttachĂ©s : Grilles de salaires - FiliĂšres administrative et gĂ©nĂ©rale Retour Ă  convention collective hospitalisation privĂ©e Textes AttachĂ©s consultation gratuite Grilles de salaires - FiliĂšres administrative et gĂ©nĂ©rale FiliĂšres administrative et gĂ©nĂ©rale - DĂ©roulement de carriĂšre. En vigueur Ă©tendu Le principe de la prime d’anciennetĂ© Une prime d’anciennetĂ© indexĂ©e sur le salaire de base est versĂ©e mensuellement. Le calcul de l’anciennetĂ© est fonction de la durĂ©e de travail effectif calculĂ©e en annĂ©e et Ă  compter de la date d’entrĂ©e dans l’entreprise. Le travail effectif comprend notamment Les pĂ©riodes d’arrĂȘt de travail pendant lesquelles le salaire est maintenu en totalitĂ© ou en partie par exemple les pĂ©riodes de maladie pendant lesquelles le salaire est maintenu en tout ou en partie – Cour d’appel de Nancy, 26 mars 2010. Les arrĂȘts de travail consĂ©cutifs Ă  un accident de travail. Les absences de courte durĂ©e autorisĂ©es. Ce calcul d’anciennetĂ© est applicable aux salariĂ©s Ă  temps partiel comme s’ils travaillaient Ă  temps complet. Le calcul d’anciennetĂ© s’applique aux Ă©lĂ©ments de salaire suivants Le salaire de base, le complĂ©ment technicitĂ©, l’indemnitĂ© permettant de garantir le salaire minimum conventionnel, l’indemnitĂ© de promotion. Son taux 2 ans3 ans4 ans5 ans6 ans7 ans8 ans9 ans10 ans11 ans12 ans 1%2%3%4%5%6%7%8%9%10%11% 13-14 ans15-16 ans17-18 ans19-20 ans21-22 ans23-24 ans25-26 ans27-28 ans 12%14%16%18%20%22%24%26% 29-30 ans31-32 ans33-34 ans35 ans et plus 28 %30%32%34% Reprise d’anciennetĂ© Ă  l’embauche article Lors de l’embauche d’un salariĂ©, la reprise d’anciennetĂ© s’effectue sur la base minimum de 30 % de la durĂ©e d’exercice dans l’emploi considĂ©rĂ©. Exemple une infirmiĂšre embauchĂ©e ayant exercĂ© son mĂ©tier durant 12 ans bĂ©nĂ©ficiera d’une reprise d’anciennetĂ© de 4 ans soit un taux de 3 % du salaire de base. Cette rĂšgle et ce taux 30 % sont Ă©galement applicables pour le calcul du taux de technicitĂ© des cadres article sous rĂ©serve que le salariĂ© recrutĂ© ait accompli une durĂ©e des services dans des fonctions de mĂȘme nature, en qualitĂ© de cadre. Grillesde salaires - FiliĂšres administrative et gĂ©nĂ©rale : Hospitalisation privĂ©e Accord de licence officielle. Convention collective commerce-de-gros gratuite. DerniĂšre mise Ă  jour le 06/08/2022. Panier Mon compte. Accueil Convention collective IDCC 2264. Textes AttachĂ©s : Grilles de salaires - FiliĂšres administrative et gĂ©nĂ©rale. Retour Ă  convention VĂ©rifiĂ© le 01 aoĂ»t 2022 - Direction de l'information lĂ©gale et administrative Premier ministreLa paye du salariĂ© employĂ© Ă  domicile par un particulier employeur est composĂ©e d'un salaire de base et d'Ă©lĂ©ments accessoires heures supplĂ©mentaires.... L'utilisation du Cesu permet dans certains cas d'intĂ©grer l'indemnitĂ© de congĂ©s payĂ©s au salaire versĂ© tous les mois. L'indemnisation des jours fĂ©riĂ©s obĂ©it Ă  des rĂšgles salaire horaire brut ne peut pas ĂȘtre infĂ©rieur aux montants suivants Salaire horaire minimum prĂ©vu par la convention collectiveSmic titleContent horaire, soit 11,07 €C'est le montant le plus avantageux qui s' calcul du salaire mensuel brut varie selon que le salariĂ© a une durĂ©e de travail rĂ©guliĂšre ou durĂ©e du travail est rĂ©guliĂšre lorsque le contrat de travail prĂ©voit une durĂ©e de travail hebdomadaire fixeou des pĂ©riodes de travail qui se rĂ©pĂštent les autres cas, la durĂ©e du travail est dite "irrĂ©guliĂšre".DurĂ©e du travail rĂ©guliĂšreLe salaire est mensualisĂ©. Il est calculĂ© de la maniĂšre suivante Salaire mensuel brut = salaire horaire brut x nombre d'heures de travail effectif hebdomadaires x 52 / 12DurĂ©e du travail irrĂ©guliĂšreLe salaire mensuel brut est calculĂ© en fonction du nombres d'heures de travail effectif dĂ©comptĂ©es dans le mois Salaire mensuel brut = Salaire horaire brut x nombre d'heures de travail effectif dans le moisÀ noter ces rĂšgles s'appliquent si le contrat de travail ne prĂ©voit pas une durĂ©e de travail hebdomadaire fixe ou des pĂ©riodes de travail qui se rĂ©pĂštent pour conduite de vĂ©hicule pendant le temps de travailEn plus de son salaire, le salariĂ© perçoit un supplĂ©ment de rĂ©munĂ©ration. Ce supplĂ©ment peut ĂȘtre une prime forfaitaire ou une majoration de salaire. Son montant est fixĂ© d'un commun accord entre l'employeur et le salariĂ©. Il est prĂ©vu au contrat de kilomĂ©triquesSi le salariĂ© utilise son vĂ©hicule personnel, l'employeur doit lui verser des indemnitĂ©s kilomĂ©triques. Ce montant est fixĂ© par l'employeur et le salariĂ© dans le contrat de montant ne peut pas ĂȘtre infĂ©rieur au barĂšme de l' des indemnitĂ©s kilomĂ©triques pour une automobileType de vĂ©hiculeJusqu'Ă  2 000 kmDe 2 001 Ă  10 000 kmPlus de 10 000 km5 CV et moins0,32 €0,40 €0,23 €6 CV et 7 CV0,41 €0,51 €0,30 €8 CV et plus0,45 €0,55 €0,32 €Il ne peut pas ĂȘtre supĂ©rieur au barĂšme calculer le montant de vos indemnitĂ©s kilomĂ©triques, vous pouvez utiliser un simulateur Frais rĂ©els calculez vos frais kilomĂ©triquesHeures de prĂ©sence responsable de jourLes heures de prĂ©sence responsable de jour titleContent sont celles durant lesquelles le salariĂ© dispose de son temps pour lui-mĂȘme tout en restant vigilant pour intervenir sieste d'un enfant par exemple.1 heure de prĂ©sence responsable de jour Ă©quivaut aux 2/3 d'1 heure de travail noter si le salariĂ© est amenĂ© Ă  intervenir de maniĂšre rĂ©currente, les heures de prĂ©sence responsable de jour sont rĂ©munĂ©rĂ©es en heures de travail de nuitLe salariĂ© qui occupe un emploi de baby-sitter, de garde d'enfant ou d'assistant de vie peut intervenir la nuit. Dans ce cas, il perçoit les indemnitĂ©s pour prĂ©sence de nuitElle indemnise la prestation de nuit. Suivant le nombre d'interventions par nuit, l'indemnitĂ© est salariĂ© intervient 1 fois certaines nuitsLe salariĂ© perçoit alors une indemnitĂ© forfaitaire. Son montant ne peut pas ĂȘtre infĂ©rieur Ă  1/4 du salaire horaire contractuel pour une durĂ©e de travail effectif salariĂ© intervient 2 ou 3 fois certaines nuitsLe salariĂ© perçoit alors une indemnitĂ© forfaitaire. Son montant ne peut pas ĂȘtre infĂ©rieur Ă  1/3 du salaire horaire contractuel pour une durĂ©e de travail effectif salariĂ© intervient 4 fois et plus certaines nuitsLe salariĂ© est rĂ©munĂ©rĂ© normalement pour les temps d'intervention. Il perçoit, pour le temps restant, une indemnitĂ© forfaitaire. Son montant ne peut pas ĂȘtre infĂ©rieur Ă  1/3 du salaire horaire contractuel pour une durĂ©e de travail effectif noter si toutes les nuits, le salariĂ© intervient au moins 4 fois, toutes les heures de prĂ©sence de nuit sont rĂ©munĂ©rĂ©es en heures de travail pour les fonctions de garde malade de nuitLes heures de garde malade de nuit sont des heures de travail effectif. Elles sont rĂ©munĂ©rĂ©es sur la base du salaire horaire brut prĂ©vu au contrat de en nature logement et nourritureLe particulier employeur doit prendre en compte les avantages en nature fournis pour dĂ©terminer le salaire Ă  verser repas, logement.Il doit dĂ©duire du salaire net les sommes suivantes 4,70 € par repas,71 € par mois pour le logement. Si l'importance du logement le justifie, une Ă©valuation supĂ©rieure peut ĂȘtre prĂ©vue au aucune somme n'est dĂ©duite pour le logement si le salariĂ© est tenu de dormir sur noter les avantages en nature dont le salariĂ© cesse de bĂ©nĂ©ficier pendant les congĂ©s ne sont pas dĂ©duits du montant de sa frais de transport correspondent Ă  des dĂ©penses engagĂ©es par le salariĂ© pour se rendre sur son lieu de travail. Le salariĂ© utilise les transports publics de personnes ou les services publics de location de ce titre, il bĂ©nĂ©ficie d'une prise en charge par le particulier employeur, Ă  hauteur de 50 % du prix de son titre d' durĂ©e du travail est rĂ©guliĂšre lorsque le contrat de travail prĂ©voit une durĂ©e de travail hebdomadaire fixeou des pĂ©riodes de travail qui se rĂ©pĂštent l'absence des ces indications, la durĂ©e du travail est du travail rĂ©guliĂšreLa majoration pour heure supplĂ©mentaire s'applique lorsque le nombre d'heures de travail effectif dĂ©passe 40 heures par heures supplĂ©mentaires sont rĂ©munĂ©rĂ©es chaque mois ou rĂ©cupĂ©rĂ©es titleContent dans les 12 mois dans les conditions prĂ©vues au contrat de majoration pour heure supplĂ©mentaire est fixĂ© Ă  25 % pour les 8 premiĂšres heures et Ă  50 % pour les heures du travail irrĂ©guliĂšreLa majoration pour heure supplĂ©mentaire s'applique lorsque le nombre d'heures de travail effectif dĂ©passe une moyenne de 40 heures par semaine calculĂ©e sur 8 semaines heures supplĂ©mentaires sont rĂ©munĂ©rĂ©es chaque mois ou rĂ©cupĂ©rĂ©es titleContent dans les 12 mois dans les conditions prĂ©vues au contrat de majoration pour heure supplĂ©mentaire est fixĂ© Ă  25 % pour les 8 premiĂšres heures et Ă  50 % pour les heures partagĂ©eLa majoration pour heure supplĂ©mentaire s'applique lorsque le nombre total d'heures de travail effectif dĂ©passe 40 heures par heures supplĂ©mentaires sont rĂ©munĂ©rĂ©es chaque mois ou rĂ©cupĂ©rĂ©es titleContent dans les 12 mois dans les conditions prĂ©vues au contrat de majoration pour heure supplĂ©mentaire est fixĂ© Ă  25 % pour les 8 premiĂšres heures et Ă  50 % pour les heures montant le plus avantageux pour le salariĂ© est versĂ© par l'employeur selon les 2 mĂ©thodes de calcul suivantes 10 % de la rĂ©munĂ©ration totale brute perçue durant la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence du 1er juin de l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente au 31 mai de l'annĂ©e en coursMaintien du salaire qui serait du pour un temps de travail Ă©gal aux congĂ©sVersementL'indemnisation des congĂ©s payĂ©s diffĂšre si l'employeur dĂ©clare son salariĂ© par le Cesu ou effectuĂ©e par CesuDurĂ©e du travail infĂ©rieure Ă  32 heures par moisLa rĂ©munĂ©ration inclut l'indemnitĂ© de congĂ©s du travail Ă©gale ou supĂ©rieure Ă  32 heures par moisL'indemnitĂ© de congĂ©s payĂ©s est versĂ©e lors de la prise des le salariĂ© est d'accord, l'employeur peut l'intĂ©grer dans la rĂ©munĂ©ration modes de dĂ©clarationL'indemnitĂ© de congĂ©s payĂ©s est versĂ©e lors de la prise des gĂ©nĂ©ralJour fĂ©riĂ© travaillĂ©Un jour fĂ©riĂ© travaillĂ© est majorĂ© de 10 %.Jour fĂ©riĂ© chĂŽmĂ©L'employeur peut dĂ©cider que le salariĂ© ne travaille pas un jour fĂ©riĂ© tombant un jour habituellement le jour fĂ©riĂ© tombe sur un jour qui est habituellement travaillĂ©, la rĂ©munĂ©ration du salariĂ© est salariĂ© qui a Ă©tĂ© prĂ©sent le jour de travail avant le jour fĂ©riĂ© et le jour de travail aprĂšs le jour fĂ©riĂ© bĂ©nĂ©ficie de ce salariĂ© bĂ©nĂ©ficie Ă©galement de ce maintien si une autorisation d'absence a Ă©tĂ© prĂ©alablement accordĂ©e par l'employeur congĂ©s payĂ©s par exemple.Cas particulier du 1er maiLe 1er mai est un jour fĂ©riĂ© chĂŽmĂ© qui ne fait pas travailler son salariĂ© le 1er mai devra le rĂ©munĂ©rer normalement si ce jour fĂ©riĂ© tombe un jour habituellement travaillĂ©, sans condition d' noter si la nature de l'activitĂ© le justifie aide aux personnes dĂ©pendantes, par exemple, le salariĂ© Ă  domicile qui travaille le 1er mai bĂ©nĂ©ficie du doublement de sa paiement du salaire se fait Ă  date fixe et au plus tard le dernier jour du particulier employeur peut utiliser les moyens de paiement suivants virement, chĂšque, titres Cesu prĂ©financĂ© ou doit remettre au salariĂ© un bulletin de paie sauf s'il utilise le Cesu ou peut m'aider ?Trouvez les acteurs qui peuvent rĂ©pondre Ă  vos questions dans votre rĂ©gionRenseignement administratif par tĂ©lĂ©phone - Allo Service PublicLe service Allo Service Public est actuellement perturbĂ©. Nous vous prions de nous en informateurs qui vous rĂ©pondent appartiennent au ministĂšre chargĂ© du service gratuitAttention le service ne rĂ©pond pas aux questions portant sur l'indemnisation du chĂŽmage et les dĂ©marches auprĂšs de PĂŽle Emploi, les fonctionnaires ou contractuels de la fonction publique, le montant ou le versement des cotisations sociales, salariales ou service est accessible aux horaires suivants Être rappelĂ©eCode du travail article L7221-2Dispositions du code du travail applicables au salariĂ© employĂ© par un particulier liste non limitativeArrĂȘtĂ© du 3 juillet 2006 fixant les taux des indemnitĂ©s kilomĂ©triquesConvention collective nationale des particuliers employeurs et de l'emploi Ă  domicile du 15 mars 2021PrĂ©sence de nuit article 149, heures supplĂ©mentaires article 147, congĂ©s payĂ©s article 140, jours fĂ©riĂ©s article 139, salaire article 146Code du travail articles L1271-1 Ă  L1271-8Indemnisation des congĂ©s payĂ©s dans le cadre du Cesu principeCode du travail articles D1271-1 Ă  D1271-5-1Indemnisation des congĂ©s payĂ©s dans le cadre du Cesu seuil de 32 heuresQuestions ? RĂ©ponses ! Comment faire si ? Cette page vous a-t-elle Ă©tĂ© utile ?

Lesalaire mensuel conventionnel b. Rémunération annuelle minimale garantie (RAG) hors secteur médico-social (ne concerna pas les établissements accueillant les personnes ùgées) i. Valeur du point ii. Grilles des rémunérations minimales mensuelles puis annuelles c. Indemnisation des remplacements provisoires d. Indemnités pour sujétions spéciales

Accueil La rĂ©munĂ©ration de l’accompagnant Ă©ducatif et social Le salaire d’un AES, en dĂ©but de carriĂšre, tourne autour du SMIC, qu’il soit fonctionnaire ou salariĂ©. Avec l’anciennetĂ© et les horaires atypiques, l’AES peut toucher un salaire plus Ă©levĂ©. Il peut travailler dans le secteur public sanitaire et medico social. Dans ce cas, il a un statut de fonctionnaire. Il est soumis aux grilles indiciaires de la fonction publique dont il dĂ©pend. L’AES peut Ă©galement exercer dans le secteur social privĂ© au sein d’une association, d’un organisme de maintien Ă  domicile, une clinique, un EHPAD privé  Il est alors salariĂ© et sa rĂ©munĂ©ration dĂ©pend de la valeur du point et de la convention collective Ă  laquelle il se rattache. Si le salaire est lĂ©gĂšrement plus Ă©levĂ© dans le secteur privĂ©, l’AES fonctionnaire bĂ©nĂ©ficie de la sĂ©curitĂ© de l’emploi. Le traitement dans la fonction publique hospitaliĂšre ou territoriale La rĂ©munĂ©ration de la fonction publique est rĂ©gie selon un systĂšme de grilles indiciaires, pour son calcul. Le salaire est calculĂ© en fonction du grade et de l’échelon. En dĂ©but de carriĂšre, il commence au 1er Ă©chelon du 1er grade de la classe Ă  laquelle il appartient. L’AES n’a pas encore Ă©tĂ© intĂ©grĂ© dans la classification de la fonction publique. Toutefois, pour avoir une idĂ©e, il est possible de rĂ©fĂ©rer Ă  des mĂ©tiers voisins de catĂ©gorie C. Dans la fonction publique hospitaliĂšre, l’appellation d’AES remplace Aide mĂ©dico psychologique AMP, dans la filiĂšre Services de soins, de rééducation et mĂ©dico-technique, qui comporte pour l’instant 2 grades Aide mĂ©dico-psychologique principal et Aide mĂ©dico-psychologique. Dans la fonction publique territoriale, l’AES est un travailleur social de la filiĂšre mĂ©dico-sociale. L’auxiliaire de vie sociale, titulaire d’un DEAVS, occupait ce type de fonction auparavant. De catĂ©gorie C, il peut avoir la fonction d’agent social territorial AST, avec 3 grades agent social / agent social principal de 1Ăšre classe / agent social principal de 2Ăšme classe. Le mĂ©tier d’ATSEM Agent territorial spĂ©cialisĂ© des Ă©coles maternelles est accessible par la voie du 3Ăšme concours. PossĂ©der le CAP petite enfance n’est pas obligatoire. Avec le DEAES spĂ©cialitĂ© Accompagnement Ă  l’éducation inclusive et Ă  la vie ordinaire, l’AES peut se prĂ©senter au 3Ăšme concours, Ă  condition de justifier de 4 ans d’expĂ©rience auprĂšs des enfants. L’ATSEM peut avoir 3 grades ATSEM, ATSEM principal de 2Ăšme ou 1Ăšre classe. Dans la fonction publique d’Etat, l’AES va pouvoir occuper des postes en lien avec la culture, les loisirs et la jeunesse. De catĂ©gorie C, il pourra prĂ©tendre au poste d’adjoint administratif du MinistĂšre de la ville, de la jeunesse et des sports, principal de 1Ăšre classe et 2Ăšme classe. Comme tout fonctionnaire, l’AES va gravir des Ă©chelons selon son Ă©valuation annuelle et son anciennetĂ©. La rĂ©munĂ©ration des fonctionnaires est basĂ©e sur le traitement indiciaire brut. Comment se calcule-t-il ? Il suffit de multiplier la valeur du point de la fonction publique par l’indice de traitement de l’agent. Les primes et les indemnitĂ©s s’ajoutent Ă  la rĂ©munĂ©ration. Les diffĂ©rentes conventions collectives L’AES peut ĂȘtre rattachĂ© Ă  3 conventions collectives nationales CCN principales La convention collective nationale du travail des Ă©tablissements et services pour personnes inadaptĂ©es et handicapĂ©es du 15 mars 1966. Pour l’instant, sous l’appellation d’AMP, le coefficient de dĂ©part est de 396 et de 406 avec des sujĂ©tions d’internat, pour un salaire de 1404 euros. AprĂšs 28 ans de carriĂšre, il peut atteindre un coefficient de 544. La convention collective nationale des Ă©tablissements privĂ©s d’hospitalisation, de soins, de cure et de garde Ă  but non lucratif du 31 octobre 1951. Avec un coefficient de 376, le professionnel peut donc toucher jusqu’à 1594 euros brut. La convention collective nationale de l’hospitalisation privĂ©e du 18 avril 2002. L’AES peut espĂ©rer un salaire brut de 1380 euros, en dĂ©but de carriĂšre. Pourquoi y a-t-il des diffĂ©rences de salaire entre les CCN ? Tout dĂ©pend la valeur du point et le coefficient. Par exemple, la CCN 66 propose un salaire plus faible en dĂ©but de carriĂšre que la CCN 51, mais le salaire augmente plus davantage au cours de la carriĂšre. Les droits et devoirs de l’AES Dans la fonction publique, chaque fonctionnaire est soumis au statut gĂ©nĂ©ral des fonctionnaires, avec des droits Ă©noncĂ©s droit syndical ou de grĂšve par exemple et des obligations comme le respect de la hiĂ©rarchie. Dans le secteur privĂ©, c’est le Code du Travail qui protĂšge les salariĂ©s. Si une mesure est plus favorable dans la convention collective, elle s’applique automatiquement. L’AES peut ĂȘtre Ă©lu dĂ©lĂ©guĂ© du personnel aux Ă©lections professionnelles ou syndiquĂ©. La participation aux nĂ©gociations collectives est un droit, tout comme la vie syndicale de la structure. Il peut ĂȘtre un reprĂ©sentant au ComitĂ© d’entreprise CE ou du ComitĂ© d'hygiĂšne, de sĂ©curitĂ© et des conditions de travail CHSCT. Les contraintes du mĂ©tier d'accompagnant social et Ă©ducatif sont importantes. Les horaires sont un point important avant de se lancer dans la formation d’AES et le choix de la spĂ©cialitĂ©. Dans le secteur hospitalier ou mĂ©dico-social, les AES peuvent avoir des horaires de nuit ou terminer leur journĂ©e entre 21 et 22 heures, dans les structures d’hĂ©bergement. Pour les AES travaillant dans les Ă©coles, les journĂ©es sont rythmĂ©es par des horaires de bureau.

Leurcontrat de travail s’intĂšgre dans la Convention collective nationale de 2002 conclue entre les reprĂ©sentants des salariĂ©s et Les grilles de salaires des sages-femmes dans la FHP, ont Ă©tĂ© revues au 1er septembre 2017. ‱‱‱ LES GRILLES DE SALAIRES. Notons que la rĂ©forme du Code du travail par ordonnances, dont les 117 mesures sont toutes entrĂ©es en vigueur Ă  partir du 1er Combien gagne une infirmiĂšre est une question que vous vous posez sans doute si vous voulez faire ce mĂ©tier ou vous lancer en tant qu’infirmiĂšre libĂ©rale. Dans ce dernier cas, il est difficile de rĂ©pondre Ă  cette question car le salaire d’une infirmiĂšre libĂ©rale dĂ©pend de beaucoup de facteurs. Mais nous allons vous donner tous les chiffres, montants et coĂ»ts Ă  prendre en compte ! Voici donc en dĂ©tail les rĂ©ponses Ă  cette question trĂšs souvent posĂ©e par les futures infirmiĂšres ! InfirmiĂšre je veux ĂȘtre accompagnĂ©e pour dĂ©velopper mon activitĂ© Quel est le salaire d’une infirmiĂšre dans le secteur public ? Il existe deux catĂ©gories d’infirmiers en soins gĂ©nĂ©raux, la A et la B. Selon la catĂ©gorie, le salaire sera diffĂ©rent. Nous allons donc vous les dĂ©tailler La catĂ©gorie A Elle est composĂ©e de deux grades. Le premier grade indice majorĂ© de 388 Ă  591 comporte 10 Ă©chelons. Puis, le second grade indice majorĂ© de 416 Ă  617 est Ă©galement composĂ© de 10 Ă©chelons. Niveau salaire, une infirmiĂšre de catĂ©gorie A au premier grade perçoit 1 800 euros brut la premiĂšre annĂ©e. Puis, avec de l’anciennetĂ©, elle peut prĂ©tendre Ă  un salaire mensuel d’un montant de 2 700 euros brut. Concernant le second grade, une infirmiĂšre dĂ©bute avec un salaire d’environ 1 900 euros brut pouvant atteindre jusqu’à 2 900 euros brut en fin de carriĂšre. Il est possible de passer du premier au second grade dĂšs que l'infirmiĂšre atteint l’échelon 5 du grade 1 et exerce son activitĂ© dans cet Ă©chelon depuis plus d’un an. Également, elle doit avoir une anciennetĂ© de 10 ans dans la mĂȘme fonction. De plus, le nombre de personnes qui peuvent accĂ©der au second grade est limitĂ©. Sont Ă©galement prĂ©sents dans la catĂ©gorie A, les infirmiĂšres spĂ©cialisĂ©es blocs opĂ©ratoires, puĂ©ricultures, anesthĂ©sie, dialyse
. Celles-ci appartiennent aux grades 3 et 4. Ces grades sont composĂ©s de 7 Ă©chelons chacun. Les infirmiĂšres spĂ©cialisĂ©es perçoivent en moyenne un salaire entre 2000 et 2 500 euros brut pour la premiĂšre annĂ©e et pouvant aller de 2 700 Ă  3000 euros brut lorsque l’échelon 7 est atteint. La catĂ©gorie B Elle est composĂ©e de deux classes. La classe normale indice majorĂ© de 356 Ă  534 et la classe supĂ©rieure indice majorĂ© de 445 Ă  587. Toutes deux sont divisĂ©es en 8 Ă©chelons. CĂŽtĂ© salaire, une infirmiĂšre de catĂ©gorie B de classe normale perçoit un salaire brut mensuel allant de 1 600 euros en dĂ©but de carriĂšre Ă  2 500 euros brut mensuel aprĂšs plusieurs annĂ©es d’exercices. Pour une infirmiĂšre de catĂ©gorie B de classe supĂ©rieure, elle peut prĂ©tendre Ă  un salaire brut mensuel d’un montant de 2000 euros Ă  ses dĂ©buts, puis atteindre un salaire d’environ 2 700 euros brut en fin de carriĂšre. Dans les deux catĂ©gories, il ne faut pas oublier d’ajouter au salaire les primes week-end, nuit, contagion
 et les indemnitĂ©s GIPA, IFTD, IR, SFT, IHTN.... De plus, une prime mensuelle spĂ©ciale est distribuĂ©e aux infirmiĂšres spĂ©cialisĂ©es. Nous l’appelons la Nouvelle Bonification Indiciaire » NBI. C’est une compensation pour les infirmiers qui ont une responsabilitĂ© particuliĂšre et qui utilisent une technicitĂ© spĂ©cifique pour effectuer leurs exercices. Pour information Depuis dĂ©cembre 2020, les accords du SĂ©gur de la santĂ© ont Ă©tĂ© signĂ©s. Un complĂ©ment de traitement indiciaire CTI d'un montant de 183 euros net mensuel est ajoutĂ© Ă  la rĂ©munĂ©ration de toutes les personnes travaillant dans les hĂŽpitaux publics, militaires ou en EHPAD. Au 1er janvier 2022, il est prĂ©vu que les soignants paramĂ©dicaux et les salariĂ©s du secteur privĂ© puissent Ă©galement en bĂ©nĂ©ficier. Enfin, le personnel soignant de la catĂ©gorie A se verra verser en plus du CTI de 183 euros, un montant de 107 euros net mensuel au titre de la revalorisation des grilles de la catĂ©gorie A. Soit un total de 290 euros net au bout d’un an. Puis, au bout de 5 ans, le montant de ce versement passe Ă  152 euros net mensuel soit 335 euros net en plus par mois. Quel est le salaire d’une infirmiĂšre dans le secteur privĂ© ? Le salaire d’une infirmiĂšre dans le secteur privĂ© dĂ©pend de la convention collective nationale de l’hospitalisation privĂ©e. Il varie aussi en fonction des annĂ©es d’expĂ©rience. Le montant est fixĂ© Ă  environ 1 400 euros net par mois pour une infirmiĂšre dĂ©butante. Puis s’élĂšve Ă  environ 1 800 euros net pour une infirmiĂšre entre 4 Ă  9 ans d’expĂ©rience et atteint approximativement 2 700 euros lorsque l’expĂ©rience est supĂ©rieure Ă  20 ans. En moyenne, une infirmiĂšre dans le secteur privĂ© perçoit 1 900 euros net. Combien gagne une infirmiĂšre libĂ©rale ? Toutes les infirmiĂšres libĂ©rales ne gagnent pas le mĂȘme salaire. Celui-ci dĂ©pend en effet de nombreux facteurs. Voici quelques explications pour comprendre le revenu et le salaire moyen d’une infirmiĂšre libĂ©rale. Plusieurs facteurs sont Ă  prendre en compte - Les honoraires Le salaire d’une infirmiĂšre libĂ©rale est calculĂ© sur la base des honoraires. Les honoraires reprĂ©sentent le montant brut de la rĂ©munĂ©ration que va percevoir l’infirmiĂšre libĂ©rale en Ă©change de ses services. Elles sont versĂ©es par la SĂ©curitĂ© Sociale et la mutuelle via des Feuilles de Soins Électroniques FSE. Suivant le nombre de soins effectuĂ©s et leur type, le montant des honoraires sera diffĂ©rent et donc votre salaire aussi. - La zone de l’exercice En effet, cela dĂ©pend s’il y a une forte demande suivant le profil des personnes prĂ©sentent sur la zone d’installation de l’activitĂ©. Au-delĂ  de la demande, si le secteur est trĂšs concurrentiel cela peut avoir des consĂ©quences sur l’activitĂ© et donc le salaire. De plus, cela dĂ©pend Ă©galement de la zone gĂ©ographique oĂč se trouve l’activitĂ©. En effet, les tarifs des soins ne sont pas les mĂȘmes dans toute la France. - La patientĂšle Le nombre de patients est un critĂšre qui peut faire varier le salaire. - Les absences En libĂ©ral, il est possible de s’absenter dĂšs que nous le souhaitons. Pour partir sans stress, il est fortement conseillĂ© de trouver un remplaçant. Cela permettra de payer les charges fixes, grĂące Ă  la rĂ©trocession et Ă©galement, de pouvoir continuer les soins des patients. - Les arrĂȘts maladies Nous vous conseillons Ă©galement de prendre en compte le coĂ»t d’ une prĂ©voyance privĂ©e. Sans celle-ci, le droit aux indemnisations ne sera accordĂ© qu’au 91Ăšme jour d’arrĂȘt. - Les charges 2 types Les charges sociales Ă  verser Ă  l’URSSAF et la CARPIMKO. Elles sont calculĂ©es suivant les bĂ©nĂ©fices rĂ©alisĂ©s. Les charges fixes liĂ©es Ă  l’activitĂ© comme l’essence, le matĂ©riel, le loyer si prĂ©sence d’un cabinet, les dĂ©chets de soin, l’adhĂ©sion au conseil de l’Ordre des Infirmiers, la RCP, les logiciels de tĂ©lĂ©transmission, l’achat potentiel de patientĂšle... En moyenne, les charges reprĂ©sentent entre 40 et 50% du Chiffre d’Affaires. C’est pourquoi, il est conseillĂ© de constituer une trĂ©sorerie avant mĂȘme de commencer l’activitĂ© afin d’allĂ©ger ces charges qui peuvent ĂȘtre assez lourdes les premiers mois. Des aides peuvent ĂȘtre obtenues de la part de l’Assurance Maladie ou encore de la municipalitĂ© si vous exercez dans une zone dĂ©crite comme sous-cotĂ©e ». Il est Ă©galement possible d’obtenir une exonĂ©ration des impĂŽts. Salaire moyen d’une infirmiĂšre libĂ©rale Comme nous avons pu le voir, de nombreux facteurs rentrent en compte pour calculer le salaire d’une infirmiĂšre libĂ©rale. Celui-ci Ă©tant trĂšs variable, il est donc difficile de donner un chiffre prĂ©cis. Cependant, selon des Ă©tudes, le salaire moyen d’une infirmiĂšre libĂ©rale se situe environ Ă  88 000 euros brut annuel. Il ne faut pas oublier de dĂ©duire les charges Ă  hauteur de 40-50 %. Les infirmiĂšres libĂ©rales remplaçantes se situent autour de 53 600 euros bruts par an et environ 72 000 euros brut par an pour les infirmiĂšres libĂ©rales sous contrat de collaboration. Le mot de la fin Plus d'informations sur Plus d'informations sur comment dĂ©velopper sa patientĂšle Comment s'installer en libĂ©ral ? Le matĂ©riel dont une infirmiĂšre a besoin Vous avez maintenant toutes les informations qu’il vous faut pour savoir combien gagne une infirmiĂšre. Mais nous vous le rappelons, il y a de nombreux frais et coĂ»ts qui entrent en jeu pour le salaire d’une infirmiĂšre libĂ©rale. À votre calculatrice donc !

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Mise oeuvre de la modification FiliÚre soins »Grille spécifique aux pharmaciens - médecins - l'échelle de coefficients du pharmacien, comprise entre 426 et 530 est remplacée par l'échelle de coefficients comprise entre 441 et 545 ; - l'échelle de coefficients du médecin généraliste ou médecin coordonnateur non qualifié, comprise entre 456 et 555, devient l'échelle de coefficients comprise entre 471 et 570 ; - l'échelle de coefficients du médecin spécialiste, du médecin coordonnateur et du médecin généraliste dans les conditions de l'avenant n° 15 à l'annexe, comprise entre 556 et 621, devient l'échelle de coefficients comprise entre 571 et 636 ; - l'échelle de coefficients du médecin responsable de service, comprise entre 745 et 795, devient l'échelle de coefficients comprise entre 760 et 810.
Lesalaire minimum CESU augmente au 1er Octobre 2020. Les partenaires sociaux ont signé un nouvel avenant Salaires (S42) à la Convention collective des salariés du particulier employeur en Février 2020. Il a été rendu applicable au 1er Octobre 2020 suite à
Les salaires minima des conventions collectives font l’objet de mises Ă  jour rĂ©guliĂšres. Pour tĂ©lĂ©charger le livre ou le PDF d'une version Ă  jour de votre convention collective, rendez-vous sur le site web de notre partenaire Pour rappel, les salaires conventionnels doivent ĂȘtre supĂ©rieurs aux derniĂšres valeurs du SMIC aoĂ»t 2022. En application de l’avenant 15 fĂ©vrier 2021 BOCC 2021-14 TRA Ă  l’annexe du 10 dĂ©cembre 2002 relative aux salaires, ci-dessous les modifications apportĂ©es Ă  la grille des salaires minima au 1er janvier 2021 de la convention collective nationale de l’hospitalisation privĂ©e du 18 avril 2002 IDCC 2264 – Brochure JO N° 3307. Article 1er salaires minima 2021 Compte tenu de la revalorisation du Smic applicable depuis le 1er janvier 2021, en application de l’article bis de l’annexe du 10 dĂ©cembre 2002 A compter du 1er janvier 2021, le salaire mensuel conventionnel correspondant au coefficient d’emploi 216 ne pourra ĂȘtre infĂ©rieur Ă  1 554,58 € brut pour un temps plein, A compter du 1er janvier 2021, le salaire mensuel conventionnel correspondant au coefficient d’emploi 217 ne pourra ĂȘtre infĂ©rieur Ă  1 554,58 € brut pour un temps plein. Grille des salaires 2021 de l’hospitalisation privĂ©e Article 2 grille de classifications en 2021 En application de la grille de classification de l’annexe du 10 dĂ©cembre 2002, Ă  compter du 1er mars 2021 Le coefficient 216 est supprimĂ© et remplacĂ© par le coefficient 217, Le coefficient 217 est supprimĂ© et remplacĂ© par le coefficient 218, Le coefficient intermĂ©diaire 218 est supprimĂ© et remplacĂ© par le coefficient 219, Le coefficient 219 est supprimĂ© et remplacĂ© par le coefficient 220, Le coefficient intermĂ©diaire 220 est supprimĂ© et remplacĂ© par le coefficient 221. Article 3 dĂ©lai d’application L’avenant s’appliquera dĂšs le 1er mars 2021 aux Ă©tablissements adhĂ©rents du SYNERPA. Il s’appliquera au premier jour du mois qui suit la publication de l’arrĂȘtĂ© d’extension pour les autres Ă©tablissements. Pour acheter la convention collective nationale de l’hospitalisation privĂ©e du 18 avril 2002 IDCC 2264 – Brochure JO N° 3307 et ses mises Ă  jour, dans un format papier ou un fichier PDF tĂ©lĂ©chargeable immĂ©diatement, vous pouvez vous rendre sur le site web de notre partenaire Attention, cette grille de salaires n’est plus en vigueur aujourd’hui. Elle a Ă©tĂ© remplacĂ©e par la nouvelle grille des salaires de l’hospitalisation privĂ©e en 2022. À propos Articles rĂ©cents La rĂ©daction du site web Juristique rassemble des spĂ©cialistes du droit, des ressources humaines et de la fiscalitĂ©. Nous publions rĂ©guliĂšrement des modĂšles d'attestations, de lettres, des contrats et les grilles salariales conventionnelles afin de rĂ©pondre aux besoins des entreprises. Nous publions aussi des articles sur l'actualitĂ© juridique et les indices bancaires comme les codes SWIFT et les codes CNAPS pour les virements internationaux. Notre site utilise des cookies pour amĂ©liorer la navigation, vous proposer du contenu et des publicitĂ©s ciblĂ©es. En restant sur notre site vous acceptez leurs utilisationD'accord Rejeter Traitement des donnĂ©es personnelles RGPD. ï»żPourexternaliser la paie, contactez-nous. La convention collective nationale des bureaux d’études techniques, des cabinets d’ingĂ©nieurs-conseils et des sociĂ©tĂ©s de conseils (dite Convention collective Syntec – Cinov, brochure 3018) impose des salaires minima supĂ©rieurs au SMIC.L’extension de l’avenant n° 45 du 31 octobre 2019 (ETAM, ingĂ©nieurs et cadres) dĂ©finit la
RĂ©munĂ©ration minimale conventionnelle La grille des rĂ©munĂ©rations minimales conventionnelles correspondant Ă  chaque niveau d'emploi est modifiĂ©e ainsi qu'il suit Ă  compter du 1er janvier 2011 En euros.EmploiÉcartconventionnelminimumgarantiSalairemensuelminimumRĂ©munĂ©rationannuelle garantieAgent d'exĂ©cution 11 3440Agent d'exĂ©cution 2101 354200Agent qualifiĂ©101 364200Agent hautement qualifiĂ©701 434210Technicien301 464215Technicien qualifiĂ©701 580235Technicien hautement qualifiĂ©701 706255Cadre 12 400360Cadre 22 773415Cadre sup.
dansquel quartier de dubaĂŻ habite jazz; augmentation salaire soignant privĂ© 2022. Posted on June 1, 2022 by June 1, 2022 by SignatairesAdhĂ©sion UNSA, par lettre du 23 novembre 2021 BO n°2021-49Afficher les "non en vigueur" Simulation des salaires avec le premier salaire Ă  3 % au-dessus de la rĂ©munĂ©ration mensuelle garantie et la RAG = 12 x salaire mensuel + 5 % au 26 mars 2002. Valeur du point = 6,41 Euros. 0 - 1 AN 1 - 2 ANS Coef. SALAIRE RAG Coef. SALAIRE RAG mensuel mensuel E-a 176 1 128,16 14 214,82 178 1 140,98 14 376,35 E-b 181 1 160,21 14 618,65 183 1 173,03 14 780,18 EQ-a 190 1 217,90 15 345,54 192 1 230,72 15 507,07 EQ-b 195 1 249,95 15 749,37 197 1 262,77 15 910,90EHQ-a 205 1 314,05 16 557,03 207 1 326,87 16 718,56EHQ-b 210 1 346,10 16 960,86 212 1 358,92 17 122,39 T-a 246 1 576,86 19 868,44 248 1 589,68 20 029,97 T-b 254 1 628,14 20 514,56 257 1 647,37 20 756,86THQ-a 267 1 711,47 21 564,52 270 1 730,70 21 806,82THQ-b 275 1 762,75 22 210,65 278 1 781,98 22 452,95AM-a 283 1 814,03 22 856,78 286 1 833,26 23 099,08AM-b 293 1 878,13 23 664,44 296 1 867,36 23 906,74 2 - 3 ANS 3 - 4 ANS Coef. SALAIRE RAG Coef. SALAIRE RAG mensuel mensuel E-a 180 1 153,80 14 537,88 181 1 160,21 14 618,65 E-b 185 1 185,85 14 941,71 186 1 192,26 15 022,48 EQ-a 194 1 243,54 15 668,60 196 1 256,36 15 830,14 EQ-b 199 1 275,59 15 072,43 201 1 288,41 16 233,97EHQ-a 209 1 339,69 16 880,09 211 1 352,51 17 041,63EHQ-b 214 1 371,74 17 283,92 216 1 384,56 17 445,46 T-a 251 1 608,91 20 272,27 253 1 621,73 20 433,80 T-b 259 1 660,19 20 918,39 262 1 679,42 21 160,69THQ-a 272 1 743,52 21 968,35 275 1 762,75 22 210,65THQ-b 281 1 801,21 22 695,25 283 1 814,03 22 856,78AM-a 289 1 852,49 23 341,37 292 1 871,72 23 583,67AM-b 299 1 916,59 24 149,03 302 1 935,82 24 391,33 4 - 5 ANS Coef. SALAIRE RAG mensuel E-a 183 1 173,03 14 780,18 E-b 188 1 205,08 15 184,01 EQ-a 198 1 269,18 15 991,67 EQ-b 203 1 301,23 16 395,50 EHQ-a 213 1 365,33 17 203,16 EHQ-b 219 1 403,79 17 687,75 T-a 256 1 640,96 20 676,10 T-b 264 1 692,24 21 322,22 THQ-a 278 1 781,98 22 452,95 THQ-b 286 1 833,26 23 099,08 AM-a 294 1 884,54 23 745,20 AM-b 305 1 955,05 24 633,63 5 - 6 ANS 6 - 7 ANS Coef. SALAIRE RAG Coef. SALAIRE RAG mensuel mensuel E-a 185 1 185,85 14 941,71 187 1 198,67 15 103,24 E-b 190 1 217,90 15 345,54 192 1 230,72 15 507,07 EQ-a 200 1 282,00 16 153,20 202 1 294,82 16 314,73 EQ-b 205 1 314,05 16 557,03 207 1 326,87 16 718,56EHQ-a 215 1 378,15 17 364,69 218 1 397,38 17 606,99EHQ-b 221 1 416,61 17 849,29 223 1 429,43 18 010,82 T-a 259 1 660,19 20 918,39 261 1 673,01 21 079,93 T-b 267 1 711,47 21 564,52 270 1 730,70 21 806,82THQ-a 281 1 801,21 22 695,25 283 1 814,03 22 856,78THQ-b 289 1 852,49 22 341,37 292 1 871,72 23 583,67AM-a 297 1 903,77 22 987,50 300 1 923,00 24 229,80AM-b 308 1 974,28 24 875,93 311 1 993,51 25 118,23 7 - 8 ANS 8 - 9 ANS Coef. SALAIRE RAG Coef. SALAIRE RAG mensuel mensuel E-a 189 1 211,49 15 264,77 191 1 224,31 15 426,31 E-b 194 1 243,54 15 668,60 196 1 256,36 15 830,14 EQ-a 204 1 307,64 16 476,26 206 1 320,46 16 637,80 EQ-b 209 1 339,69 16 880,09 211 1 352,51 17 041,63EHQ-a 220 1 410,20 17 768,52 222 1 423,02 17 930,05EHQ-b 225 1 442,25 18 172,35 227 1 455,07 18 333,88 T-a 264 1 692,24 21 322,22 266 1 705,06 21 483,76 T-b 272 1 743,52 21 968,35 275 1 762,75 22 210,65THQ-a 286 1 833,26 23 099,08 289 1 852,49 23 341,37THQ-b 295 1 890,95 23 825,97 298 1 910,18 24 068,27AM-a 303 1 942,23 24 472,10 306 1 961,46 24 714,40AM-b 314 2 012,74 25 360,52 317 2 031,97 25 602,82 9 - 10 ANS Coef. SALAIRE RAG mensuel E-a 192 1 230,72 15 507,07 E-b 198 1 269,18 15 991,67 EQ-a 208 1 333,28 16 799,33 EQ-b 213 1 365,33 17 203,16 EHQ-a 224 1 435,84 18 091,58 EHQ-b 230 1 474,30 18 576,18 T-a 269 1 724,29 21 726,05 T-b 278 1 781,98 22 452,95 THQ-a 292 1 871,72 23 583,67 THQ-b 301 1 929,41 24 310,57 AM-a 301 1 987,10 25 037,46 AM-b 320 2 051,20 25 845,12 10 - 11 ANS 11 - 12 ANS Coef. SALAIRE RAG Coef. SALAIRE RAG mensuel mensuel E-a 194 1 243,54 15 668,60 196 1 256,36 15 830,14 E-b 200 1 282,00 16 153,20 202 1 294,82 16 314,73 EQ-a 210 1 346,10 16 960,86 212 1 358,92 17 122,39 EQ-b 215 1 378,15 17 364,69 218 1 397,38 17 606,99 EHQ-a 226 1 448,66 18 253,12 229 1 467,89 18 495,41 EHQ-b 232 1 487,12 18 737,71 234 1 499,94 18 899,24 T-a 272 1 743,52 21 968,35 274 1 756,34 22 129,88 T-b 281 1 801,21 22 695,25 283 1 814,03 22 856,76 THQ-a 295 1 890,95 23 825,97 298 1 910,18 24 068,27 THQ-b 304 1 948,64 24 552,86 307 1 967,87 24 795,16 AM-a 313 2 006,33 25 279,76 316 2 025,56 25 522,06 AM-b 324 2 076,84 26 168,18 327 2 096,07 26 410,48+ 12 - 13 ANS 13 - 14 ANS Coef. SALAIRE RAG Coef. SALAIRE RAG mensuel mensuel E-a 198 1 269,18 15 991,67 198 1 269,18 15 991,67 E-b 204 1 307,64 16 476,26 204 1 307,64 16 476,26 EQ-a 214 1 371,74 17 283,92 216 1 384,56 17 445,46 EQ-b 220 1 410,20 17 768,52 222 1 423,02 17 930,05EHQ-a 231 1 480,71 18 656,95 233 1 493,53 18 818,48EHQ-b 237 1 519,17 19 141,54 239 1 531,99 19 303,07 T-a 277 1 775,57 22 372,18 280 1 794,80 22 614,48 T-b 286 1 833,26 23 099,08 289 1 852,49 23 341,37THQ-a 301 1 929,41 24 310,57 304 1 948,64 24 552,86THQ-b 310 1 987,10 25 037,46 313 2 006,33 25 279,76AM-a 319 2 044,79 25 764,35 322 2 064,02 26 006,65AM-b 330 2 115,30 26 652,78+ 333 2 134,53 26 895,08 14 - 15 ANS Coef. SALAIRE RAG mensuel E-a 200 1 282,00 16 153,20 E-b 206 1 320,46 16 637,80 EQ-a 218 1 397,38 17 606,99 EQ-b 224 1 435,84 18 091,58 EHQ-a 236 1 512,76 19 060,78 EHQ-b 241 1 544,81 19 464,61 T-a 283 1 814,03 22 856,78 T-b 292 1 871,72 23 583,67 THQ-a 307 1 967,87 24 797,16 THQ-b 316 2 025,56 25 522,06 AM-a 325 2 083,25 26 248,95 AM-b 337 2 160,17 27 218,14 15 - 16 ANS 16 - 17 ANS Coef. SALAIRE RAG Coef. SALAIRE RAG mensuel mensuel E-a 200 1 282,00 16 153,20 202 1 294,82 16 314,73 E-b 206 1 320,46 16 637,80 208 1 333,28 16 799,33 EQ-a 221 1 416,61 17 849,29 223 1 429,43 18 010,82 EQ-b 226 1 448,66 18 253,12 229 1 467,89 18 495,41 EHQ-a 238 1 525,58 19 222,31 240 1 538,40 19 383,84 EHQ-b 244 1 564,04 19 706,90 246 1 576,86 19 868,44 T-a 286 1 833,26 23 099,08 288 1 846,08 23 260,61 T-b 295 1 890,95 23 825,97 298 1 910,18 24 068,27 THQ-a 310 1 987,10 25 037,46 313 2 006,33 25 279,76 THQ-b 319 2 044,79 25 764,35 322 2 064,02 26 006,65 AM-a 329 2 108,89 26 572,01 332 2 128,12 26 814,31 AM-b 340 2 179,40 27 460,44 344 2 205,04 27 783,50 17 - 18 ANS 18 - 19 ANS Coef. SALAIRE RAG Coef. SALAIRE RAG mensuel mensuel E-a 202 1 294,82 16 314,73 202 1 294,82 16 314,73 E-b 208 1 333,28 16 799,33 208 1 333,28 16 799,33 EQ-a 225 1 442,25 18 172,35 227 1 455,07 18 333,88 EQ-b 231 1 480,71 18 656,95 233 1 493,53 18 818,48EHQ-a 243 1 557,63 19 626,14 245 1 570,45 19 787,67EHQ-b 249 1 596,09 20 110,73 251 1 608,91 20 272,27 T-a 291 1 865,31 23 502,91 294 1 884,54 23 745,20 T-b 301 1 929,41 24 310,57 304 1 948,64 24 552,86THQ-a 316 2 025,56 25 522,06 319 2 044,79 25 764,35THQ-b 326 2 089,66 26 329,72 329 2 108,89 26 572,01AM-a 335 2 147,35 27 056,61 339 2 172,99 27 379,67AM-b 347 2 224,27 28 025,80 350 2 243,50 28 268,10 19 - 20 ANS Coef. SALAIRE RAG mensuel E-a 204 1 307,64 16 476,26 E-b 210 1 346,10 16 960,86 EQ-a 230 1 474,30 18 576,18 EQ-b 236 1 512,76 19 060,78 EHQ-a 248 1 589,68 20 029,97 EHQ-b 254 1 628,14 20 514,56 T-a 297 1 903,77 23 987,50 T-b 307 1 967,87 24 795,16 THQ-a 323 2 070,43 26 087,42 THQ-b 332 2 128,12 26 814,31 AM-a 342 2 192,22 27 621,97 AM-b 354 2 269,14 28 591,16 20 - 21 ANS 21 - 22 ANS Coef. SALAIRE RAG Coef. SALAIRE RAG mensuel mensuel E-a 204 1 307,64 16 476,26 204 1 307,64 16 476,26 E-b 210 1 346,10 16 950,86 210 1 346,10 16 960,86 EQ-a 232 1 487,12 18 737,71 234 1 499,94 18 899,24 EQ-b 238 1 525,58 19 222,31 240 1 538,40 19 383,84 EHQ-a 250 1 602,50 20 191,50 253 1 621,73 20 433,80 EHQ-b 256 1 640,96 20 676,10 259 1 660,19 20 918,39 T-a 300 1 923,00 24 229,80 303 1 942,23 24 472,10 T-b 310 1 987,10 25 037,46 313 2 006,33 25 279,76 THQ-a 326 2 089,66 26 329,72 329 2 108,89 26 572,01 THQ-b 336 2 153,76 27 137,38 339 2 172,99 27 379,67 AM-a 345 2 211,45 27 864,27 349 2 237,09 28 187,33 AM-b 358 2 294,78 28 914,23 361 2 314,01 29 156,53 22 - 23 ANS 23 - 24 ANS Coef. SALAIRE RAG Coef. SALAIRE RAG mensuel mensuel E-a 206 1 320,46 16 637,80 206 1 320,46 16 637,80 E-b 212 1 358,92 17 122,39 212 1 358,92 17 122,39 EQ-a 236 1 512,76 19 060,78 239 1 531,99 19 303,07 EQ-b 243 1 557,63 19 626,14 245 1 570,45 19 787,67EHQ-a 255 1 634,55 20 595,33 258 1 653,78 20 837,63EHQ-b 261 1 673,01 21 079,93 264 1 692,24 21 322,22 T-a 306 1 961,46 24 714,40 309 1 980,69 24 956,69 T-b 316 2 025,56 25 522,06 319 2 044,79 25 764,35THQ-a 332 2 128,12 26 814,31 336 2 153,76 27 137,38THQ-b 342 2 192,22 27 621,97 346 2 217,86 27 945,04AM-a 352 2 256,32 28 429,63 356 2 281,96 28 752,70AM-b 365 2 339,65 29 479,59 368 2 358,88 29 721,89 24 - 25 ANS Coef. SALAIRE RAG mensuel E-a 206 1 320,46 16 637,80 E-b 212 1 358,92 17 122,39 EQ-a 241 1 544,81 19 464,61 EQ-b 248 1 589,68 20 029,97 EHQ-a 260 1 666,60 20 999,16 EHQ-b 267 1 711,47 21 564,52 T-a 312 1 999,92 25 198,99 T-b 323 2 070,43 26 087,42 THQ-a 339 2 172,99 27 379,67 THQ-b 349 2 237,09 28 187,33 AM-a 359 2 301,19 28 994,99 AM-b 372 2 384,52 30 044,95 25 - 26 ANS 26 - 27 ANS Coef. SALAIRE RAG Coef. SALAIRE RAG mensuel mensuel E-a 206 1 320,46 16 637,80 208 1 333,28 16 799,33 E-b 212 1 358,92 17 122,39 214 1 371,74 17 283,92 EQ-a 244 1 564,04 19 706,90 246 1 576,86 19 868,44 EQ-b 250 1 602,50 20 191,50 253 1 621,73 20 433,80EHQ-a 263 1 685,83 21 241,46 266 1 705,06 21 483,76EHQ-b 269 1 724,29 21 726,05 272 1 743,52 21 968,35 T-a 315 2 019,15 25 441,29 319 2 044,79 25 764,35 T-b 326 2 089,66 26 329,72 329 2 108,89 26 572,01THQ-a 342 2 192,22 27 621,97 346 2 217,86 27 945,04THQ-b 353 2 262,73 28 510,40 356 2 281,96 28 752,70AM-a 363 2 326,83 29 318,06 367 2 352,47 29 641,12AM-b 376 2 410,16 30 368,02 380 2 435,80 30 691,08 27 - 28 ANS Coef. SALAIRE RAG mensuel E-a 208 1 333,28 16 799,33 E-b 214 1 371,74 17 283,92 EQ-a 249 1 596,09 20 110,73 EQ-b 255 1 634,55 20 595,33 EHQ-a 268 1 717,88 21 645,29 EHQ-b 275 1 762,75 22 210,65 T-a 322 2 064,02 26 006,65 T-b 332 2 128,12 26 814,31 THQ-a 349 2 237,09 28 187,33 THQ-b 360 2 307,60 29 075,76 AM-a 370 2 371,70 29 883,42 AM-b 383 2 455,03 30 933,38 28 - 29 ANS 29 - 30 ANS Coef. SALAIRE RAG Coef. SALAIRE RAG mensuel mensuel E-a 208 1 333,28 16 799,33 208 1 333,28 16 799,33 E-b 214 1 371,74 17 283,92 214 1 371,74 17 283,92 EQ-a 251 1 608,91 20 272,27 254 1 628,14 20 514,56 EQ-b 258 1 653,78 20 837,63 260 1 666,60 20 999,16EHQ-a 271 1 737,11 21 887,59 274 1 756,34 22 129,88EHQ-b 277 1 775,57 22 372,18 280 1 794,80 22 614,48 T-a 325 2 083,25 26 248,95 328 2 102,48 26 491,25 T-b 336 2 153,76 27 137,38 339 2 172,99 27 379,67THQ-a 353 2 262,73 28 510,40 356 2 281,96 28 752,70THQ-b 363 2 326,83 29 318,06 367 2 352,47 29 641,12AM-a 374 2 397,34 30 206,48 378 2 422,98 30 529,55AM-b 387 2 480,67 31 256,44 391 2 506,31 31 579,51 superieur Ă  30 ans Coef. SALAIRE RAG mensuel E-a 211 1 352,51 17 041,626 E-b 217 1 390,07 17 526,222 EQ-a 256 1 640,96 20 676,096 EQ-b 263 1 685,83 21 241,458EHQ-a 276 1 769,16 22 291,416EHQ-b 283 1 814,03 22 856,778 T-a 332 2 128,12 26 814,312 T-b 342 2 192,22 27 621,972THQ-a 360 2 307,60 29 075,760THQ-b 371 2 378,11 29 964,186AM-a 381 2 442,21 30 771,846AM-b 395 2 531,95 31 902,570 Retourner en haut de la page LesĂ©lĂ©ments de la rĂ©munĂ©ration en vertu de convention collective nationale de l’hospitalisation privĂ©e du 18 avril 2002 et de tous autres accords applicables antĂ©rieurement au sein du FAM de Charnay les Macon disparaissent Ă  la date de transfert des salariĂ©s au sein de l’UGECAM BFC et Ă  la date d’application du prĂ©sent accord de substitution. Il en est ainsi, entre New7 17 JANVIER 2019 ENTRE LES PARTIES SIGNATAIRES CI-DESSOUS - Les reprĂ©sentants du patronat du secteur de la sĂ©curitĂ© privĂ©e au sein du Conseil national du patronat et de la ConfĂ©dĂ©ration nationale des Employeurs du SĂ©nĂ©gal, d’une part, - Et les organisations syndicales reprĂ©sentants des travailleurs du secteur de la sĂ©curitĂ© privĂ©e, d’autre part, IL A ETE CONVENU CE QUI SUIT TITRE I DISPOSITIONS GENERALES Article premier OBJET ET CHAMP D’APPLICATION La prĂ©sente convention collective, ses annexes et ses avenants rĂšglent les relations de travail sur l’ensemble du territoire national entre les employeurs et les salariĂ©s des entreprises, au sens de l’article du Code du travail, exerçant, sous une forme quelconque, une activitĂ© principale qui consiste Ă  fournir, aux personnes physiques et morales, des services ayant pour objet l’exercice d’activitĂ©s de surveillance, gardiennage ou d’escorte de biens privĂ©s. Pour toutes les questions non rĂ©glĂ©es par la prĂ©sente convention collective, les parties se rĂ©fĂšrent au Code du travail et Ă  la Convention collective nationale interprofessionnelle. Article 2 PRISE D’EFFET ET ADHESION La prĂ©sente convention prend effet un 1 jour aprĂšs son dĂ©pĂŽt au SecrĂ©tariat du Tribunal du Travail de Dakar par la partie la plus diligente. Elle s’applique de plein droit aux contrats de travail en cours d’exĂ©cution, Ă  compter de sa date d’entrĂ©e en vigueur. Tout syndicat professionnel de travailleurs ou tout employeur ou toute organisation syndicale ou groupement d’employeurs relevant des activitĂ©s professionnelles dĂ©finies Ă  l’article premier peut adhĂ©rer Ă  la prĂ©sente convention, en notifiant cette adhĂ©sion par lettre recommandĂ©e aux parties signataires et au secrĂ©tariat du Tribunal du Travail de Dakar. Article 3 AVANTAGES ACQUIS La prĂ©sente convention ne peut en aucun cas entraĂźner la remise en cause des avantages de toute nature, individuels ou collectifs, acquis par le personnel antĂ©rieurement Ă  sa signature. Le maintien de ces avantages ne concerne que le personnel en service Ă  la date de sa prise d’effet. Les avantages consentis par la prĂ©sente convention ne peuvent se cumuler aux avantages dĂ©jĂ  accordĂ©s pour le mĂȘme objet en vertu des dispositions rĂ©glementaires, d’usages ou d’accords individuels. Article 4 DUREE - REVISION - DENONCIATION La prĂ©sente convention est conclue pour une durĂ©e indĂ©terminĂ©e. Elle peut ĂȘtre rĂ©visĂ©e, dĂ©noncĂ©e en tout ou partie Ă  tout moment par l’une des parties signataires sous rĂ©serve d’un prĂ©avis d’un 1 mois adressĂ© Ă  l’autre partie par Ă©crit avec ampliation au Ministre chargĂ© du Travail. La partie qui prend l’initiative de la dĂ©nonciation ou de la rĂ©vision devra accompagner sa lettre d’un projet sur les points en cause afin que les nĂ©gociations puissent s’engager dans un dĂ©lai qui n’excĂ©dera pas un 1 mois aprĂšs rĂ©ception de la lettre. Les parties signataires s’engagent formellement Ă  ne recourir ni Ă  la grĂšve ni au lock-out Ă  propos des points mis en cause pendant le prĂ©avis de dĂ©nonciation ou de rĂ©vision. Toutefois, en cas de dĂ©nonciation par l’une des parties, la prĂ©sente convention collective restera en vigueur jusqu’à l’application de la nouvelle convention signĂ©e. Les demandes de rĂ©vision des salaires ne sont pas soumises aux dispositions ci-dessus relatives au prĂ©avis. TITRE II EXERCICE DU DROIT SYNDICAL-DELEGUES DU PERSONNEL Article 5 LIBRE EXERCICE DU DROIT SYNDICAL ET LIBERTE D’OPINION Les parties signataires s’engagent Ă  se conformer aux dispositions lĂ©gales et rĂšglementaires prĂ©vues en matiĂšre de libertĂ© syndicale et de libertĂ© d’opinion. Article 6 ABSENCES POUR ACTIVITES SYNDICALES En vue de participer aux assemblĂ©es statutaires de leurs organisations syndicales, des autorisations d’absences seront accordĂ©es aux travailleurs sur prĂ©sentation, trois 3 jours au moins avant la rĂ©union prĂ©vue, d’une convocation Ă©crite et nominative Ă©manant de l’organisation intĂ©ressĂ©e, sauf cas de force majeure ou d’accord des parties. Les absences pour activitĂ©s syndicales seront payĂ©es en fonction de l’horaire de travail en vigueur. Elles ne viendront pas en dĂ©duction du congĂ© et ne pourront ĂȘtre rĂ©cupĂ©rĂ©es non plus. Il en est de mĂȘme lorsque les travailleurs sont appelĂ©s Ă  participer aux organes consultatifs paritaires rĂ©glementaires ou Ă  siĂ©ger comme assesseurs au Tribunal du Travail. Les travailleurs sont tenus d'informer prĂ©alablement leur employeur de leur participation Ă  ces commissions au moins quarante-huit heures avant, sauf cas de force majeure. Les parties signataires s’emploieront Ă  ce que ces absences apportent le moins de gĂȘne possible Ă  la marche normale des entreprises. Article 7 PANNEAUX D’AFFICHAGE Des panneaux d’affichage, en nombre suffisant, rĂ©servĂ©s Ă  la communication exclusivement professionnelle et syndicale, sont mis dans chaque Ă©tablissement Ă  la disposition des dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel et des reprĂ©sentants des organisations syndicales de travailleurs. Les clĂ©s de ces panneaux sont dĂ©tenues exclusivement par la direction de l’entreprise. Les informations affichĂ©es par les soins d’un dĂ©lĂ©guĂ© du personnel ou d’un reprĂ©sentant du syndicat, devront au prĂ©alable faire l’objet d’une communication Ă  l’employeur. Article 8 COTISATION SYNDICALE Le recouvrement des cotisations syndicales s’effectue Ă  la source sur les salaires des travailleurs dans les conditions fixĂ©es par la rĂ©glementation en vigueur. Article 9 DELEGUES DU PERSONNEL Dans chaque Ă©tablissement regroupant au moins onze 11 travailleurs, des dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel titulaires et des supplĂ©ants sont obligatoirement Ă©lus dans les conditions fixĂ©es par les dispositions lĂ©gales et rĂ©glementaires en vigueur. Lorsque plusieurs Ă©tablissements situĂ©s dans une mĂȘme localitĂ© et dans un rayon de dix 10 kilomĂštres ne comportent pas, pris sĂ©parĂ©ment, plus de dix 10 travailleurs, les effectifs de ces Ă©tablissements seront regroupĂ©s en vue de constituer un collĂšge Ă©lectoral qui Ă©lira son ou ses dĂ©lĂ©guĂ©s. Les conditions requises pour ĂȘtre Ă©lecteur ou Ă©ligible sont dĂ©terminĂ©es par les dispositions rĂ©glementaires en vigueur fixant les conditions et les modalitĂ©s de dĂ©signation des dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel dans les entreprises et dĂ©finissant leur mission. L’exercice des fonctions de dĂ©lĂ©guĂ© du personnel ne saurait constituer pour ce dernier une entrave Ă  l’amĂ©lioration de sa rĂ©munĂ©ration ou de sa situation administrative. Les fonctions de dĂ©lĂ©guĂ© du personnel ne peuvent non plus confĂ©rer Ă  son titulaire un traitement de faveur. Le dĂ©lĂ©guĂ© du personnel ne peut ĂȘtre mutĂ© dans un autre Ă©tablissement contre son grĂ© pendant la durĂ©e de son mandat, sauf apprĂ©ciation de l’Inspecteur du Travail du ressort. L’horaire de travail du dĂ©lĂ©guĂ© du personnel est l’horaire normal de l’établissement. Ses heures rĂ©glementaires de libertĂ© sont imputĂ©es sur cet horaire, soit vingt 20 heures par mois. Les mesures spĂ©ciales de protection prĂ©vues en cas de licenciement d’un dĂ©lĂ©guĂ© du personnel sont Ă©tendues aux candidats aux fonctions de dĂ©lĂ©guĂ©s pendant la pĂ©riode comprise entre le dĂ©pĂŽt des candidatures et la date des Ă©lections. Ces mesures sont en outre maintenues en faveur des dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel non réélus, pendant une durĂ©e de trois 3 mois. Compte tenu du caractĂšre assez spĂ©cifique du service de gardiennage et de la sĂ©curitĂ© privĂ©e, le vote peut ĂȘtre Ă©talĂ© sur deux jours au plus et des urnes fixes et mobiles sont mises en place, selon des modalitĂ©s fixĂ©es d’accord parties, pour faire voter les travailleurs postĂ©s. En cas de dĂ©saccord, l’Inspecteur du Travail et de la SĂ©curitĂ© sociale compĂ©tent sera saisi pour statuer en premier et dernier ressort. TITRE III CONTRAT DE TRAVAIL Chapitre premier FORMATION - EXECUTION Article 10 EMBAUCHE Tout candidat Ă  un emploi doit satisfaire notamment aux conditions prĂ©alables ci-aprĂšs -avoir l’ñge minimal requis pour occuper un emploi ; -jouir de ses droits civiques et ĂȘtre de bonne moralitĂ© ; -avoir passĂ© avec succĂšs les visites mĂ©dicales d’aptitude. Article 11 CLASSIFICATION PROFESSIONNELLE Les travailleurs sont classĂ©s dans les catĂ©gories et Ă©chelons dĂ©finis par les classifications professionnelles figurant dans les annexes Ă  la prĂ©sente convention. Le classement du travailleur est fonction de l'emploi qu'il occupe au sein de l'entreprise. Le travailleur, habituellement affectĂ© Ă  des travaux relevant de catĂ©gories diffĂ©rentes, aura la garantie du salaire minimum de la catĂ©gorie correspondant Ă  la qualification la plus Ă©levĂ©e. Lorsqu’il est appelĂ© Ă  effectuer plusieurs travaux relevant d’une mĂȘme catĂ©gorie mais dans des professions diffĂ©rentes, il est classĂ© Ă  la catĂ©gorie immĂ©diatement supĂ©rieure. Les salaires minima de chaque catĂ©gorie sont fixĂ©s et modifiĂ©s par une commission mixte composĂ©e en nombre Ă©gal d’employeurs et de travailleurs relevant des organisations syndicales signataires. Article 12 LIEU D’EMPLOI - AFFECTATION Tout travailleur embauchĂ© peut ĂȘtre appelĂ© Ă  servir partout oĂč l’employeur exerce ses activitĂ©s sur le territoire national. Au moment de sa prise de service, tout travailleur reçoit une affectation correspondant au poste et Ă  l’emploi pour lequel il a Ă©tĂ© recrutĂ©. Article 13 PERIODE D’ESSAI L’engagement dĂ©finitif du travailleur peut ĂȘtre prĂ©cĂ©dĂ© d’une pĂ©riode d’essai stipulĂ©e obligatoirement par Ă©crit et dont les durĂ©es maximales sont fixĂ©es comme suit -travailleurs payĂ©s Ă  l’heure ou Ă  la journĂ©e ou au mois un 1 mois ; -agents de maĂźtrise, techniciens et assimilĂ©s deux 2 mois ; -cadres, ingĂ©nieurs et assimilĂ©s trois 3 mois. Ces pĂ©riodes ne sont renouvelables qu’une seule fois. Pendant la pĂ©riode d’essai, le travailleur aura droit au salaire correspondant Ă  la catĂ©gorie professionnelle de l’emploi occupĂ©. Chaque partie a la facultĂ©, pendant la pĂ©riode d’essai, de rompre le contrat sans indemnitĂ©, ni prĂ©avis. La prolongation des services aprĂšs expiration du contrat d’engagement Ă  l’essai, sans qu’il y ait Ă©tablissement d’un nouveau contrat, Ă©quivaut Ă  la conclusion d’un contrat de travail Ă  durĂ©e indĂ©terminĂ©e prenant effet Ă  la date du dĂ©but de l’essai. Article 14 OBLIGATIONS DU TRAVAILLEUR Le travailleur doit toute son activitĂ© professionnelle Ă  l’employeur. Il est tenu Ă  l’obligation de discrĂ©tion professionnelle pour tout ce qui concerne les documents, faits et informations dont il a eu connaissance pendant l’exercice de ses fonctions. Il lui est interdit, mĂȘme en dehors de ses heures de travail, d’exercer une activitĂ© susceptible de concurrencer l’employeur ou de nuire Ă  la bonne exĂ©cution des services convenus. Le travailleur ne peut avoir, soit personnellement, soit par personne interposĂ©e, et dans quelque entreprise que ce soit, des intĂ©rĂȘts de nature Ă  compromettre son indĂ©pendance professionnelle. Il lui est Ă©galement interdit de solliciter ou d’accepter, dans le cadre de l’exĂ©cution de ses fonctions, des avantages ou des services de nature Ă  compromettre son indĂ©pendance professionnelle. Le travailleur est tenu de respecter les dispositions du rĂšglement intĂ©rieur, le cas Ă©chĂ©ant, qui fixe les rĂšgles relatives Ă  l’organisation technique du travail, Ă  la discipline, Ă  l’hygiĂšne et Ă  la sĂ©curitĂ©, nĂ©cessaires Ă  la bonne marche de l’établissement. Article 15 FORMATION DES TRAVAILLEURS Tout travailleur peut bĂ©nĂ©ficier d’une formation continue ou d’un stage de perfectionnement en vue d’amĂ©liorer sa qualification professionnelle. Le chef d’établissement, en rapport avec les dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel, peut Ă©tablir, en cas de besoin, un plan de formation et de suivi. Au terme de sa formation, le travailleur peut bĂ©nĂ©ficier d’une amĂ©lioration de sa situation professionnelle. Dans tous les cas, le chef d’établissement a le pouvoir discrĂ©tionnaire de mettre en Ɠuvre le plan de formation. Article 16 PROMOTION - AVANCEMENT Dans chaque entreprise, l’employeur pourra mettre en place des dispositifs internes favorisant la mise en Ɠuvre de plans de carriĂšres, de conditions motivantes d’avancement et de promotion interne pour les travailleurs, en vue de valoriser les ressources humaines et les compĂ©tences, de reconnaĂźtre et de rĂ©compenser les mĂ©rites et les rĂ©sultats des travailleurs. Toute promotion interne des travailleurs devra tenir compte d’un certain nombre de critĂšres objectifs tels que le mĂ©rite, l’anciennetĂ©, l’élargissement des responsabilitĂ©s, l’assiduitĂ©, la ponctualitĂ© et la tenue correcte. Une commission paritaire composĂ©e de reprĂ©sentants de la direction de l’entreprise et des dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel, sous la prĂ©sidence de l’employeur ou de son reprĂ©sentant qui a une voix prĂ©pondĂ©rante, pourra ĂȘtre instituĂ©e Ă  cet effet pour statuer, le cas Ă©chĂ©ant, sur les propositions d’avancement qui doivent obligatoirement tenir compte des critĂšres dĂ©finis Ă  l’alinĂ©a prĂ©cĂ©dent. En tout Ă©tat de cause, l’avancement qui est commandĂ© par l’intĂ©rĂȘt de l’entreprise, consiste Ă  promouvoir le travailleur Ă  une catĂ©gorie, un Ă©chelon ou une classe supĂ©rieure et entraĂźne au minimum une amĂ©lioration de sa situation, Ă  hauteur de la diffĂ©rence existant entre les salaires de base des catĂ©gories, Ă©chelons ou des classes considĂ©rĂ©es. A l’exception de la premiĂšre catĂ©gorie, chaque catĂ©gorie professionnelle compte trois Ă©chelons A, B et C. Sauf dĂ©rogation expresse, l’avancement d’échelon d’un travailleur au sein d’une mĂȘme catĂ©gorie professionnelle est automatique tous les cinq 5 ans sans tenir compte des critĂšres dĂ©finis ci-dessus. Les modalitĂ©s pratiques de mise en Ɠuvre de ces dispositifs pourront rĂ©sulter de la nĂ©gociation collective menĂ©e entre l’employeur et les travailleurs ou ĂȘtre matĂ©rialisĂ©es dans le cadre d’accords d’établissements librement consentis. En cas de vacance ou de crĂ©ation de poste, l’employeur fera appel, aprĂšs consultation des dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel, en premier, aux travailleurs en service dans l’entreprise et aptes Ă  occuper le poste. En cas de promotion, l’intĂ©ressĂ© pourra ĂȘtre soumis Ă  la pĂ©riode d’essai prĂ©vue pour l’emploi qu’il est appelĂ© Ă  occuper. Au cas oĂč l’essai ne serait pas concluant, le travailleur sera rĂ©intĂ©grĂ© dans son ancien poste. Cette rĂ©intĂ©gration ne saurait ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme une rĂ©trogradation, par rapport au poste qu’il occupait avant l’essai. Article 17 MODIFICATION DU CONTRAT DE TRAVAIL Toute modification apportĂ©e Ă  l’un des Ă©lĂ©ments du contrat de travail doit, au prĂ©alable, faire l’objet d’une notification Ă©crite adressĂ©e au travailleur. Pour des raisons tenant Ă  l’incapacitĂ© physique du travailleur attestĂ©e par un certificat mĂ©dical, Ă  la situation Ă©conomique ou Ă  la rĂ©organisation de l’entreprise, l’employeur pourra proposer au travailleur la modification de son contrat. En cas d’acceptation de cette proposition par le travailleur, la modification ne pourra prendre effet qu’à l’issue d’une pĂ©riode au moins Ă©quivalente Ă  la pĂ©riode de prĂ©avis. Lorsque la modification doit entraĂźner pour le travailleur, une diminution des avantages dont il bĂ©nĂ©ficie et qu’elle n’est pas acceptĂ©e par ce dernier, la rupture du contrat qui en rĂ©sulte est rĂ©putĂ©e ĂȘtre le fait de l’employeur. Article 18 MUTATION DANS UN EMPLOI RELEVANT D’UNE CATEGORIE INFERIEURE En cas de nĂ©cessitĂ© de service, l’employeur pourra affecter momentanĂ©ment un travailleur Ă  un emploi relevant d’une catĂ©gorie infĂ©rieure Ă  son classement habituel. Dans ce cas, son salaire et son classement antĂ©rieurs seront maintenus pendant la pĂ©riode de mutation qui n’excĂ©dera pas six 6 mois. PassĂ© ce dĂ©lai, l’employeur devra dĂ©finitivement rĂ©gler la situation de l’intĂ©ressĂ© en le ramenant dans ses anciennes fonctions. Article 19 INTERIM DANS UN EMPLOI RELEVANT D’UNE CATEGORIE SUPERIEURE Le fait pour le travailleur d’assurer l’intĂ©rim dans un emploi comportant un classement supĂ©rieur dans la hiĂ©rarchie professionnelle ne lui confĂšre pas automatiquement, durant cette pĂ©riode, le droit aux avantages pĂ©cuniaires ou autres attachĂ©s audit emploi conformĂ©ment aux dispositions de la CCNI. Sauf dans les cas de maladie, accident survenu au titulaire de l’emploi, ou remplacement de ce dernier pour la durĂ©e de son congĂ©, la durĂ©e de l’intĂ©rim ne peut excĂ©der -trois 3 mois pour les cadres et assimilĂ©s ; -un 1 mois pour les autres catĂ©gories. PassĂ© ce dĂ©lai et sauf dans les cas visĂ©s ci-dessus, le travailleur doit ĂȘtre reclassĂ© dans la catĂ©gorie correspondant au nouvel emploi occupĂ©. Nonobstant les dispositions ci-dessus, l’employeur peut accorder une indemnitĂ© provisoire durant la pĂ©riode d’intĂ©rim. En cas de maladie, accident ou congĂ© du titulaire, l’intĂ©rimaire perçoit, aprĂšs la pĂ©riode prĂ©cisĂ©e ci-haut, une indemnitĂ© Ă©gale Ă  la diffĂ©rence entre son salaire et le salaire minimum de la catĂ©gorie correspondant au nouvel emploi qu’il occupe. Article 20 DISCIPLINE Les sanctions disciplinaires applicables aux travailleurs sont les suivantes - la rĂ©primande ; - l’avertissement verbal ou Ă©crit ; - la mise Ă  pied d’un Ă  trois jours ; - la mise Ă  pied de quatre Ă  huit jours ; - le licenciement. L’avertissement et la mise Ă  pied d’un Ă  trois jours ne sauraient ĂȘtre invoquĂ©es Ă  l’encontre du travailleur si, Ă  l’expiration d’un dĂ©lai de six mois suivant l’intervention de l’une de ces sanctions, aucune autre sanction n’a Ă©tĂ© prononcĂ©e. Il en est de mĂȘme Ă  l’expiration d’un dĂ©lai d’un an en ce qui concerne la mise Ă  pied de quatre Ă  huit jours. Article 21 PROCEDURE DE SANCTION PrĂ©alablement Ă  toute sanction, le chef d’établissement ou son reprĂ©sentant doit adresser au travailleur une demande d’explication Ă©crite prĂ©cisant les faits qui lui sont reprochĂ©s et le dĂ©lai qui lui est imparti pour apporter sa rĂ©ponse. Dans tous les cas, le dĂ©lai ne peut pas ĂȘtre infĂ©rieur Ă  quarante-huit 48 heures Ă  compter de la rĂ©ception de la demande d’explication par l’intĂ©ressĂ©. Ces sanctions sont prises par le chef d’établissement ou son reprĂ©sentant aprĂšs que l’intĂ©ressĂ©, assistĂ© sur sa demande d’un dĂ©lĂ©guĂ© du personnel, aura fourni des explications Ă©crites ou verbales. Le travailleur est tenu de fournir sa rĂ©ponse dans les dĂ©lais fixĂ©s dans la demande d’explications. La dĂ©cision de sanction devra, dans tous les cas, ĂȘtre motivĂ©e et signifiĂ©e par Ă©crit au travailleur, avec ampliation Ă  l’Inspecteur du Travail du ressort. La retenue de salaire pour absence non justifiĂ©e ne fait pas obstacle Ă  l’application des sanctions disciplinaires. Article 22 TRAVAILLEUR PHYSIQUEMENT DIMINUE En cas d’incapacitĂ© physique d’un travailleur Ă  occuper son emploi par suite de maladie d’origine non professionnelle mĂ©dicalement constatĂ©e, l’employeur doit proposer au travailleur un poste adaptĂ© Ă  son Ă©tat, s’il en existe. A dĂ©faut, l’employeur pourra procĂ©der Ă  son licenciement en respectant la procĂ©dure de rupture du contrat de travail. Chapitre 2 SUSPENSION DU CONTRAT DE TRAVAIL Article 23 ABSENCES EXCEPTIONNELLES Les absences de courte durĂ©e justifiĂ©es par un Ă©vĂ©nement grave et fortuit, dĂ»ment constatĂ©, intĂ©ressant directement le foyer du travailleur tels qu’incendie de l’habitat, dĂ©mĂ©nagement involontaire, accident ou maladie grave du conjoint, d’un ascendant ou descendant, n’entraĂźnent pas la rupture du contrat de travail mais simplement sa suspension pourvu que le chef d’établissement ait Ă©tĂ© informĂ© au plus tard dans les quatre 4 jours qui suivent l’évĂšnement et que la durĂ©e de l’absence soit en rapport avec l’évĂ©nement. Article 24 PERMISSIONS EXCEPTIONNELLES POUR EVENEMENTS FAMILIAUX Dans la limite de quinze 15 jours ouvrables par an, non dĂ©ductibles du congĂ© rĂ©glementaire et n’entraĂźnant aucune retenue de salaire, des permissions d’absence seront accordĂ©es au travailleur ayant six mois au moins d'anciennetĂ© dans l'entreprise, Ă  l’occasion des Ă©vĂ©nements familiaux ci-dessous - mariage du travailleur 3 jours - mariage d’un de ses enfants, d’un frĂšre ou d’une sƓur 1 jour - dĂ©cĂšs d’un conjoint ou d’un descendant en ligne directe 4 jours - dĂ©cĂšs d’un ascendant en ligne directe, d’un frĂšre ou d’une sƓur 2 jours - dĂ©cĂšs d’un beau-pĂšre ou d’une belle-mĂšre 2 jours - naissance d’un enfant 1 jour - baptĂȘme d’un enfant 1 jour - premiĂšre communion 1 jour - hospitalisation d’un conjoint ou d’un enfant du travailleur 1 jour Toute permission de cette nature doit faire l’objet d’une autorisation Ă©crite prĂ©alable du chef d’établissement, sauf cas de force majeure. Dans cette derniĂšre Ă©ventualitĂ©, le travailleur doit aviser son employeur dĂšs la reprise du travail. Le document attestant de l’évĂ©nement doit ĂȘtre prĂ©sentĂ© Ă  l’employeur dans le plus bref dĂ©lai et, au plus tard dix jours aprĂšs l’évĂ©nement. Si l’évĂ©nement se produit hors du lieu d’emploi et nĂ©cessite le dĂ©placement du travailleur, les dĂ©lais ci-dessus pourront ĂȘtre prolongĂ©s d’accord parties. Cette prolongation ne sera pas rĂ©munĂ©rĂ©e. Article 25 ABSENCE POUR MALADIE ET ACCIDENT NON PROFESSIONNELS du contrat Les absences justifiĂ©es par l’incapacitĂ© rĂ©sultant de maladie ou accident non professionnels, sont suspensives du contrat de travail dans la limite de six 6 mois par an. Ce dĂ©lai peut ĂȘtre prolongĂ© jusqu’au remplacement du travailleur. Pendant ce dĂ©lai, au cas oĂč le remplacement du travailleur s’imposerait, le remplaçant devra ĂȘtre informĂ© par Ă©crit du caractĂšre provisoire de son emploi Lorsque la maladie du travailleur nĂ©cessite un traitement de longue durĂ©e, le dĂ©lai prĂ©vu au premier alinĂ©a du prĂ©sent article sera portĂ© - Ă  huit 8 mois si le travailleur compte sept 7 Ă  quinze 15 ans d’anciennetĂ© ; -Ă  dix 10 mois si le travailleur compte plus de quinze 15 ans d’anciennetĂ©. Ă  accomplir Si le travailleur malade fait constater son Ă©tat par le service mĂ©dical de l’entreprise dans un dĂ©lai de quarante-huit 48 heures, il n’aura pas d’autres formalitĂ©s Ă  remplir. Dans la nĂ©gative, il doit, sauf cas de force majeure, avertir son employeur du motif de son absence dans un dĂ©lai de six 6 jours suivant la date de l’accident ou de la maladie. Cet avis est confirmĂ© par un certificat mĂ©dical, Ă  produire dans un dĂ©lai d’une semaine Ă  compter du jour de l’accident ou de la survenance de la maladie, sauf cas de force majeure. L'employeur pourra faire procĂ©der Ă  une contre-visite du travailleur malade par le mĂ©decin de son choix. Si le travailleur, gravement malade, ne peut se dĂ©placer, il avise l’employeur de cette impossibilitĂ©. Ce dernier informe alors l'IPM dont relĂšve le travailleur ou lui envoie, Ă  ses frais, un infirmier ou, Ă©ventuellement, tout mĂ©decin de son choix. Article 26 INDEMNISATION DU TRAVAILLEUR MALADE Le travailleur dont le contrat se trouve suspendu pour cause de maladie ou d’accident non professionnel reçoit de l’employeur une allocation dont le montant est dĂ©terminĂ© comme suit AnciennetĂ© dans l’entreprise Montant et durĂ©e de l’indemnisation Moins d’un 1 an de prĂ©sence - Plein salaire pendant un 1 mois - Demi-salaire pendant trois 3 mois D’un 1 Ă  cinq 5 ans de prĂ©sence - Plein salaire pendant un 1 mois - Demi-salaire pendant quatre 4 mois Plus de cinq 5 ans de prĂ©sence - Plein salaire pendant deux 2 mois - Demi-salaire pendant cinq 5 mois Sous rĂ©serve des dispositions de l’article du Code du travail, le total des indemnisations prĂ©vues ci-dessus, reprĂ©sente le maximum des sommes auxquelles pourra prĂ©tendre le travailleur pendant une annĂ©e civile quels que soient le nombre et la nature de ses absences pour maladie au cours de ladite annĂ©e. Article 27 ABSENCE POUR ACCIDENTS DU TRAVAIL ET MALADIES PROFESSIONNELLES Le contrat du travailleur victime d’un accident du travail ou atteint d’une maladie professionnelle est suspendu jusqu’à consolidation de la blessure ou guĂ©rison. Si aprĂšs consolidation de la blessure ou guĂ©rison, le travailleur est atteint d’une incapacitĂ© le rendant inapte Ă  reprendre son ancien emploi, l’employeur recherchera avec les dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel la possibilitĂ© de reclasser l’intĂ©ressĂ© dans un autre emploi. Durant la pĂ©riode prĂ©vue pour l’indemnisation du travailleur malade, le travailleur reçoit une allocation calculĂ©e de maniĂšre Ă  lui assurer son ancien salaire sur la base de l’horaire normal de l’entreprise, dĂ©duction faite de la somme qui lui est due en vertu de la rĂ©glementation sur les accidents du travail pour cette mĂȘme pĂ©riode. Article 28 MISE EN DISPONIBILITE La mise en disponibilitĂ© est la position du travailleur qui, pour convenances personnelles et aprĂšs y avoir Ă©tĂ© autorisĂ©, cesse momentanĂ©ment son service chez l'employeur pour faire face Ă  certaines obligations Ă  caractĂšre personnel. Les conditions de cette mise en disponibilitĂ© Ă©ventuelle sont discutĂ©es librement entre l’employeur et le travailleur, sans prĂ©judice de l’observation des dispositions prĂ©vues par la lĂ©gislation en vigueur. Pendant cette pĂ©riode, le travailleur ne bĂ©nĂ©ficie pas de son salaire et de ses accessoires, ni de ses droits Ă  l'avancement, Ă  l'anciennetĂ©, Ă  la retraite et, d'une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, des dispositions de la lĂ©gislation en vigueur. Un mois au moins avant la fin de la pĂ©riode de mise en disponibilitĂ©, le travailleur doit adresser Ă  l’employeur une demande Ă©crite de rĂ©intĂ©gration. CHAPITRE 3 RUPTURE DU CONTRAT DE TRAVAIL Article 29 PREAVIS DE RUPTURE Le contrat de travail peut toujours cesser par la volontĂ© des parties. La partie qui prend l’initiative de la rupture du contrat, doit notifier sa dĂ©cision par Ă©crit Ă  l’autre partie. Cette notification doit ĂȘtre faite, soit par l’envoi d’une lettre recommandĂ©e avec accusĂ© de rĂ©ception, soit par la remise directe de la lettre de prĂ©avis au destinataire contre dĂ©charge ou reçu signĂ© par le travailleur ou devant tĂ©moins. Il appartient Ă  la partie qui prend l’initiative de la rupture du contrat d’apporter la preuve que cette rupture a Ă©tĂ© notifiĂ©e par Ă©crit. Au sens du prĂ©sent article, la date de la notification est celle oĂč la lettre a Ă©tĂ© remise au destinataire. Dans le cas oĂč la notification aurait Ă©tĂ© rendue impossible par le fait du travailleur, le prĂ©avis sera valablement notifiĂ© Ă  un dĂ©lĂ©guĂ© du personnel de l'entreprise avec copie Ă  l'inspecteur du Travail. Le motif de la rupture du contrat doit figurer dans la lettre de prĂ©avis. Toutefois, la rupture du contrat du travail peut intervenir sans prĂ©avis en cas de faute lourde, sous rĂ©serve de l’apprĂ©ciation par la juridiction compĂ©tente. Article 30 DUREE ET DEROULEMENT DU PREAVIS La durĂ©e du prĂ©avis est fixĂ©e comme suit -un 1 mois pour les ouvriers et employĂ©s ; -deux 2 mois pour les agents de maĂźtrise, techniciens et assimilĂ©s ; -trois 3 mois pour les cadres, ingĂ©nieurs et assimilĂ©s. Durant la pĂ©riode de prĂ©avis, le travailleur est autorisĂ© Ă  s’absenter deux 2 jours par semaine payĂ©s Ă  plein salaire, pour la recherche d’un nouvel emploi. La rĂ©partition de ces journĂ©es d’absence est fixĂ©e d’un commun accord ou alternativement, un jour au grĂ© de l’employeur, un jour au grĂ© du travailleur. Les parties peuvent, d’un commun accord, cumuler en fin de prĂ©avis les jours d’absence ci-dessus dĂ©finis. Dans ce cas, la durĂ©e de prĂ©sence serait rĂ©duite d’autant sans modification de la rĂ©munĂ©ration due au titre du prĂ©avis, le temps de prĂ©avis non effectuĂ© Ă©tant rĂ©glĂ© sous forme d’indemnitĂ© compensatrice. Si, Ă  la demande Ă©crite de l’employeur, le travailleur n’utilise pas ses jours de libertĂ©, il lui sera payĂ© une indemnitĂ© compensant les jours ainsi perdus pour la recherche d’un emploi. Le travailleur qui aurait retrouvĂ© du travail, soit prĂ©alablement au prĂ©avis en cas de dĂ©mission, soit en cours de prĂ©avis, ne saurait prĂ©tendre, Ă  partir de cette date, aux jours d'absence prĂ©vus pour la recherche d'un nouvel emploi. Le travailleur responsable d’un service, d’un stock ou d’une caisse dont le contrat est rĂ©siliĂ©, ne peut quitter son emploi avant d’avoir totalement rendu compte de sa gestion. Au cas oĂč, du fait de l’employeur, les conditions de rĂ©siliation du contrat de travail ne permettent pas au travailleur de rendre compte de sa gestion, il ne peut ĂȘtre tenu pour responsable depuis la date de la derniĂšre vĂ©rification jusqu’à celle de la rĂ©siliation. Article 31 INDEMNITE COMPENSATRICE DE PREAVIS La partie qui n’aura pas respectĂ© le dĂ©lai de prĂ©avis devra obligatoirement verser Ă  l’autre une indemnitĂ© compensatrice Ă©gale Ă  la rĂ©munĂ©ration et aux avantages de toute nature dont aurait bĂ©nĂ©ficiĂ© le travailleur pendant la durĂ©e du prĂ©avis restant Ă  courir s’il avait travaillĂ©. En cas de licenciement, le travailleur qui se trouve dans l’obligation d’occuper immĂ©diatement un nouvel emploi pourra, aprĂšs en avoir avisĂ© l’employeur, quitter l’établissement avant l’expiration du dĂ©lai de prĂ©avis sans qu’il y ait lieu au paiement d’une indemnitĂ© compensatrice. En outre, si l’une des parties dĂ©sire rompre le contrat avant le dĂ©part en congĂ©, notification doit ĂȘtre faite Ă  l’autre partie quinze 15 jours ouvrables avant la date de dĂ©part. En cas d’inobservation de cette clause et si la rĂ©siliation du contrat intervient pendant le congĂ© du travailleur, l’indemnitĂ© compensatrice de prĂ©avis sera doublĂ©e. Article 32 RUPTURE DU CONTRAT DU TRAVAILLEUR MALADE Si Ă  l’expiration du dĂ©lai prĂ©vu Ă  l’article 26 de la prĂ©sente convention, le travailleur dont le contrat a Ă©tĂ© suspendu pour raison de maladie, se trouve dans l’incapacitĂ© de reprendre son travail, l’employeur peut le remplacer dĂ©finitivement aprĂšs lui avoir signifiĂ©, par lettre recommandĂ©e avec accusĂ© de rĂ©ception, par voie d’huissier ou par tout autre moyen permettant de donner date et preuve certaines de la rĂ©ception de la notification, qu’il prend acte de la rupture du contrat de travail. A cette occasion, il sera versĂ© au travailleur les droits liĂ©s Ă  la rupture du contrat conformĂ©ment Ă  la lĂ©gislation en vigueur. Le travailleur remplacĂ© dans ces conditions, conserve pendant un dĂ©lai de deux ans une prioritĂ© de rĂ©embauchage. Article 33 LICENCIEMENT POUR MOTIF ECONOMIQUE Les licenciements pour motif Ă©conomique sont soumis aux rĂšgles et procĂ©dures fixĂ©es par la lĂ©gislation en vigueur. Article 34 INDEMNITE DE LICENCIEMENT Le travailleur licenciĂ©, ayant totalisĂ© douze 12 mois au moins d’anciennetĂ© au sein de l’établissement, a droit, sauf en cas de rupture rĂ©sultant d’une faute lourde ou d’une dĂ©mission, Ă  une indemnitĂ© de licenciement. Cette indemnitĂ© est reprĂ©sentĂ©e, pour chaque annĂ©e de prĂ©sence continue au sein de l’établissement, par un pourcentage dĂ©terminĂ© du salaire global mensuel moyen des douze 12 mois d’activitĂ© qui ont prĂ©cĂ©dĂ© la date du licenciement. Le salaire global mensuel moyen comprend toutes les sommes constituant une contrepartie du travail, Ă  l’exclusion de celles ayant un caractĂšre de remboursement de frais. Sauf dispositions plus favorables, le pourcentage est fixĂ© Ă  - 25% par annĂ©e de service pour les cinq 5 premiĂšres annĂ©es ; - 30% par annĂ©e de service de la 6Ăšme Ă  la 10Ăšme annĂ©e incluse ; - 40% par annĂ©e de service au-delĂ  de la 10Ăšme annĂ©e. Dans le dĂ©compte effectuĂ© sur les bases sus-indiquĂ©es, il sera tenu compte des fractions d’annĂ©e. Article 35 RETRAITE L’ñge normal de dĂ©part Ă  la retraite est fixĂ© par le rĂ©gime national d’affiliation en vigueur. L’ñge de dĂ©part Ă  la retraite peut ĂȘtre reculĂ© d’accord parties sous rĂ©serve des limites fixĂ©es par la rĂ©glementation. Au moment du dĂ©part, une indemnitĂ© spĂ©ciale dite indemnitĂ© de dĂ©part Ă  la retraite » sera versĂ©e par l’employeur au travailleur. Cette indemnitĂ© est calculĂ©e sur les mĂȘmes bases et suivant les mĂȘmes rĂšgles que l’indemnitĂ© de licenciement, sauf dispositions plus favorables. Article 36 DECES DU TRAVAILLEUR En cas de dĂ©cĂšs du travailleur, le salaire de prĂ©sence, l’indemnitĂ© de congĂ©, les indemnitĂ©s et les droits de toute nature acquis Ă  la date du dĂ©cĂšs reviennent Ă  ses ayants droit. Si le travailleur comptait au jour du dĂ©cĂšs une annĂ©e au moins d’anciennetĂ©, l’employeur est tenu de verser aux ayants droit une indemnitĂ© Ă©quivalente Ă  celle de l’indemnitĂ© de licenciement qui serait revenue au travailleur en cas de rupture du contrat. Si le travailleur avait Ă©tĂ© dĂ©placĂ© par le fait de l’employeur, celui-ci assurera Ă  ses frais le transport du corps du dĂ©funt au lieu de sa rĂ©sidence habituelle, Ă  condition que les ayants-droits en fassent la demande dans le dĂ©lai maximum de deux ans aprĂšs l'expiration du dĂ©lai rĂ©glementaire prĂ©vu pour le transport des restes mortels. A titre de participation aux frais funĂ©raires, l’employeur devra verser aux ayants droit une somme correspondant Ă  un mois de salaire minimum de la catĂ©gorie du travailleur. Cette somme est versĂ©e avant les funĂ©railles et, au plus tard, le premier jour ouvrĂ© suivant la connaissance du dĂ©cĂšs. Article 37 CERTIFICAT DE TRAVAIL Au moment de son dĂ©part dĂ©finitif de l’établissement, l’employeur doit remettre au travailleur un certificat de travail indiquant exclusivement -les nom et prĂ©noms du travailleur ; -le nom et l’adresse de l’employeur ; -les dates d’entrĂ©e dans l’établissement et de sortie ; -la nature de l’emploi occupĂ© ou, s’il y a lieu, des emplois successivement occupĂ©s avec mention des catĂ©gories professionnelles d’emploi prĂ©vues par la prĂ©sente Convention et les pĂ©riodes pendant lesquelles les emplois ont Ă©tĂ© tenus. Tout certificat de travail qui ne comporte pas les indications ci-dessus est considĂ©rĂ© comme irrĂ©gulier. La mention libre de tout engagement » doit figurer sur le certificat de travail, Ă  la demande du travailleur. Si la remise du certificat de travail au travailleur n’est pas possible, par exemple, dans le cas d’un licenciement Ă  la suite d’une absence prolongĂ©e ou dans le cas du travailleur dĂ©missionnaire qui ne se prĂ©sente pas pour obtenir la liquidation de ses droits, le certificat de travail est tenu Ă  sa disposition par l’employeur. Article 38 PRIORITE D’EMBAUCHE Le travailleur licenciĂ© par suite de suppression d’emploi ou de compression de personnel bĂ©nĂ©ficie d’une prioritĂ© d’embauche, dans les conditions prĂ©vues par la lĂ©gislation en vigueur. Le travailleur bĂ©nĂ©ficiant d’une prioritĂ© d’embauche est tenu de communiquer Ă  son employeur tout changement d’adresse survenu aprĂšs son dĂ©part de l’établissement. TITRE IV CONDITIONS DE TRAVAIL Article 39 DUREE DU TRAVAIL L’horaire normal de travail est de quarante 40 heures par semaine ou la durĂ©e admise en Ă©quivalence. Il peut ĂȘtre rĂ©parti conformĂ©ment Ă  la rĂ©glementation en vigueur. Des accords relatifs Ă  l’amĂ©nagement et Ă  la rĂ©partition des horaires de travail Ă  l’intĂ©rieur de la semaine peuvent ĂȘtre conclus au sein de l’entreprise ou de l’établissement. Article 40 HEURES SUPPLEMENTAIRES Les heures de travail accomplies au-delĂ  de la durĂ©e hebdomadaire de travail ou de la durĂ©e considĂ©rĂ©e comme Ă©quivalente donnent lieu Ă  une majoration du salaire rĂ©el. Sauf dispositions plus favorables, les majorations sont fixĂ©es comme suit - 15% pour les huit 8 premiĂšres heures ; - 40% pour les heures travaillĂ©es au-delĂ  ; - 60% pour les heures effectuĂ©es de nuit. Les heures supplĂ©mentaires effectuĂ©es pendant le jour de repos hebdomadaire ou un jour fĂ©riĂ© sont majorĂ©es au taux de 60% pour les heures de jour et 100% pour les heures de nuit. Article 41 JOURS FERIES - JOURS FERIES CHOMES ET PAYES Les jours fĂ©riĂ©s, chĂŽmĂ©s, payĂ©s sont ceux fixĂ©s par la lĂ©gislation et la rĂ©glementation en vigueur. Chaque annĂ©e, huit jours fĂ©riĂ©s en plus du 1er Mai, du 4 Avril, de la Tamkharite et du Grand Magal de Touba sont chĂŽmĂ©s et payĂ©s dans les conditions prĂ©vus par la rĂ©glementation en vigueur. Le choix de six d’entre eux est fait, dans chaque entreprise ou Ă©tablissement, par accord entre l’employeur et les dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel, les septiĂšme et huitiĂšme jours Ă©tant laissĂ©s au choix de l’employeur. Article 42 DROIT DE JOUISSANCE AU CONGE PAYE Le droit de jouissance au congĂ© payĂ© est acquis aprĂšs une pĂ©riode minimale de service effectif, appelĂ©e pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence, Ă©gale Ă  douze 12 mois. Sont considĂ©rĂ©es comme pĂ©riodes de service effectif, pour la dĂ©termination du droit de jouissance au congĂ©, celles qui sont Ă©numĂ©rĂ©es aux 3Ăšme, 4Ăšme, 5Ăšme,6Ăšme, 7Ăšme et 8Ăšme alinĂ©as de l’article du Code du Travail. Donnent Ă©galement droit de jouissance au congĂ© -la pĂ©riode de dĂ©tention prĂ©ventive, faisant suite Ă  une plainte de l’employeur, lorsqu’elle se termine par un non-lieu, un acquittement ou une relaxe ; -les pĂ©riodes de perfectionnement militaire obligatoire de courte durĂ©e ; -la pĂ©riode de mise Ă  pied du dĂ©lĂ©guĂ© du personnel, dans l’attente de la dĂ©cision dĂ©finitive de l’inspecteur du travail et de la sĂ©curitĂ© sociale. Article 43 DUREE DU CONGE PAYE La durĂ©e du congĂ© payĂ© est dĂ©terminĂ©e Ă  raison de deux 2 jours ouvrables par mois de service effectif. Les permissions exceptionnelles visĂ©es Ă  l’alinĂ©a 2 de l’article du Code du travail et Ă©numĂ©rĂ©es Ă  l’article 24 de la prĂ©sente convention ne peuvent ĂȘtre dĂ©duites de la durĂ©e du congĂ© acquis dans la limite de quinze 15 jours ouvrables par an. Le mĂȘme traitement est rĂ©servĂ©, dans la limite annuelle de trente 30 jours, aux pĂ©riodes d’absence sans solde du rĂ©gime spĂ©cial complĂ©mentaire prĂ©vu au dernier alinĂ©a de l’article du Code du travail. La durĂ©e du congĂ© fixĂ© au premier alinĂ©a du prĂ©sent article est augmentĂ©e de - un 1 jour ouvrable de congĂ© supplĂ©mentaire aprĂšs dix 10 ans de services continus ou non, dans la mĂȘme entreprise ; - deux 2 jours ouvrables de congĂ© supplĂ©mentaire aprĂšs quinze 15 ans ; - trois 3 jours ouvrables de congĂ© supplĂ©mentaire aprĂšs vingt 20 ans ; - six 6 jours ouvrables de congĂ© supplĂ©mentaire aprĂšs vingt-cinq 25 ans. Les femmes salariĂ©es bĂ©nĂ©ficient d’un jour de congĂ© supplĂ©mentaire, en sus de leur congĂ© lĂ©gal, pour chacun de leurs enfants Ă  charge ĂągĂ© de moins de quatorze 14 ans et enregistrĂ© Ă  l’état civil. A condition qu’elles aient accompli la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence prĂ©vue Ă  l’article du Code du travail, les femmes salariĂ©es ou apprenties bĂ©nĂ©ficient d’un congĂ© supplĂ©mentaire payĂ© sur les bases suivantes - deux 2 jours de congĂ© supplĂ©mentaires par enfant Ă  charge si elles ont moins de vingt-et-un 21 ans au dernier jour de la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence ; - deux 2 jours de congĂ© supplĂ©mentaires par enfant mineur Ă  charge Ă  compter du 4Ăšme si elles ont plus de vingt-et-un 21 ans au dernier jour de la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence. Est rĂ©putĂ© enfant Ă  charge, pour l’application du prĂ©sent article, celui qui remplit les conditions fixĂ©es Ă  l’article 7 du Code de sĂ©curitĂ© sociale. Les travailleurs logĂ©s dans l’établissement ou Ă  proximitĂ© dont ils ont la garde et astreints Ă  une durĂ©e de prĂ©sence de vingt-quatre 24 heures continues par jour ont droit Ă  un congĂ© annuel de deux 2 semaines par an, en sus du congĂ© lĂ©gal. Article 44 ORGANISATION DU CONGE La date de dĂ©part en congĂ© est fixĂ©e, d’accord parties, sur la base d’un planning annuel Ă©tabli par l’employeur. Une fois cette date fixĂ©e, elle ne peut ĂȘtre avancĂ©e ou retardĂ©e d’une pĂ©riode supĂ©rieure Ă  trois 3 mois, sauf accord de l’Inspecteur du travail, aprĂšs audition des parties. Le travailleur doit ĂȘtre avisĂ© de la date de son dĂ©part en congĂ© quinze 15 jours au moins Ă  l’avance. Le calendrier des dĂ©parts en congĂ© sera apposĂ© au tableau d’affichage de l’établissement. Au moment du dĂ©part en congĂ©, l’employeur doit porter sur le bulletin de paie du travailleur la mention des dates de dĂ©part en congĂ© et de reprise de service. A dĂ©faut, il dĂ©livre au travailleur une attestation de congĂ©. En raison des nĂ©cessitĂ©s de service, et sous rĂ©serve d’un congĂ© de six 6 jours minimum Ă  prendre chaque annĂ©e, la jouissance effective du congĂ© pourra ĂȘtre reportĂ©e, d’accord parties, sans que la durĂ©e du report puisse excĂ©der trois 3 ans. Le rappel du travailleur en congĂ© ne pourra intervenir que lorsque la bonne marche de l’entreprise ou de l’un de ses services l’exigera pour des raisons sĂ©rieuses pouvant ĂȘtre constatĂ©es par l’Inspecteur du Travail. Le travailleur ainsi rappelĂ© conserve intĂ©gralement le bĂ©nĂ©fice de son allocation de congĂ© et percevra de nouveau son salaire dĂšs la reprise du travail. Il bĂ©nĂ©ficiera par la suite et, au plus tard, lors du congĂ© suivant, d’une pĂ©riode de congĂ© supplĂ©mentaire Ă©gale au nombre de jours perdus par suite du rappel. Article 45 ALLOCATION DE CONGE Au moment de son dĂ©part en congĂ©, le travailleur percevra une allocation Ă©gale au douziĂšme 1/12Ăšme des sommes perçues pendant la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence, Ă  l’exclusion des indemnitĂ©s ayant un caractĂšre de remboursement de frais, des prestations en nature liĂ©es accessoirement Ă  l’emploi ou des indemnitĂ©s forfaitaires en tenant lieu, telle que notamment, l’indemnitĂ© de logement. En ce qui concerne les jours de congĂ©s supplĂ©mentaires accordĂ©s conformĂ©ment Ă  l’article 43 de la prĂ©sente convention, le calcul de l’allocation s’effectue sur les mĂȘmes bases. Pour ce faire, l’allocation de congĂ© normal Ă©tant calculĂ©e, son montant est divisĂ© par le nombre de jours de congĂ©s concernĂ©s et multipliĂ© par le nombre de jours dus au titre des congĂ©s supplĂ©mentaires. Article 46 INDEMNITE COMPENSATRICE DE CONGE En cas de rupture ou d’expiration du contrat avant que le travailleur ait acquis droit de jouissance au congĂ©, il percevra, Ă  la place du congĂ©, une indemnitĂ© calculĂ©e conformĂ©ment aux dispositions de l’article prĂ©cĂ©dent. Article 47 LOGEMENT Lorsque le travailleur est dĂ©placĂ© d’une maniĂšre ni occasionnelle ni temporaire du lieu de sa rĂ©sidence au lieu habituel d’emploi par le fait de l’employeur en vue d’exĂ©cuter un contrat de travail, l’employeur est tenu de mettre Ă  sa disposition un logement rĂ©pondant aux rĂšgles d’hygiĂšne et comportant les gros meubles. Lorsque le travailleur visĂ© ci-dessus dispose, sur son nouveau lieu d’emploi, d’un logement personnel ou peut assurer lui-mĂȘme son logement, l’employeur est dĂ©gagĂ© de l’obligation de le loger. La consistance du logement fourni par l’employeur doit rĂ©pondre aux besoins du travailleur et de sa famille, compte tenu des usages et des possibilitĂ©s du lieu d’emploi en matiĂšre de logement pour les travailleurs de la catĂ©gorie professionnelle de l’intĂ©ressĂ©. Le travailleur disposant Ă  titre personnel de gros meubles pourra les faire transporter aux frais de l’employeur, en dĂ©gageant ce dernier de l’obligation de lui fournir ces meubles. Article 48 EVACUATION DU LOGEMENT FOURNI PAR L’EMPLOYEUR En cas de rupture ou d’expiration du contrat de travail, le travailleur installĂ© dans un logement fourni par l’employeur est tenu de l’évacuer dans les dĂ©lais ci-aprĂšs - en cas de notification du prĂ©avis dans les dĂ©lais requis Ă©vacuation Ă  l’expiration du prĂ©avis, sans que celui-ci puisse ĂȘtre infĂ©rieur Ă  un mois ; - en cas de rupture du contrat par le travailleur sans que le dĂ©lai de prĂ©avis ait Ă©tĂ© respectĂ© Ă©vacuation dans un dĂ©lai de huit 8 jours ; - en cas de licenciement sans prĂ©avis Ă©vacuation diffĂ©rĂ©e dans la limite d’un mois ; - en cas d’expiration du contrat Ă©vacuation dans un dĂ©lai d’un mois. En cas de nĂ©cessitĂ©, l'employeur pourra fournir au travailleur un autre logement Ă©quivalent en remplacement du logement occupĂ© jusque-lĂ , les frais de dĂ©mĂ©nagement Ă©tant Ă  la charge de l'employeur. Pour la pĂ©riode de maintien dans les lieux ainsi obtenue par le travailleur, la retenue rĂ©glementaire ou conventionnelle de logement pourra ĂȘtre opĂ©rĂ©e par anticipation. Article 49 VOYAGE ET TRANSPORT Les conditions affĂ©rentes au voyage du travailleur et des membres de sa famille, ainsi qu’au transport de leurs bagages, sont fixĂ©es ainsi qu’il suit de passage Les classes de passage du travailleur ainsi que les membres de sa famille pouvant prĂ©tendre au transport Ă  la charge de l’employeur sont les suivantes CatĂ©gories d’emploi Route Chemin de fer ou bateau Avion Ouvriers, employĂ©s, agents de maĂźtrise, techniciens et assimilĂ©s Prix du titre du transport 2Ăšme classe Classe Ă©conomique Cadres et assimilĂ©s Prix du titre du transport 1Ăšre classe Classe Ă©conomique Le transport du travailleur et de sa famille est effectuĂ© par la voie et les moyens sus-indiquĂ©s laissĂ©s au choix de l’employeur, sauf prescription mĂ©dicale contraire. Dans le cas oĂč le travailleur et sa famille justifieraient de l’impossibilitĂ© d’utiliser la classe qui leur est attribuĂ©e, ils voyageront avec l’autorisation de l’employeur dans la classe supĂ©rieure immĂ©diatement disponible. de bagages Pour le transport de bagages du travailleur et de sa famille, il n’est pas prĂ©vu Ă  la charge de l’employeur d’avantages autres que la franchise concĂ©dĂ©e par le transporteur pour chaque titre de transport. Toutefois, lors du premier voyage du lieu de rĂ©sidence habituelle au lieu d’emploi et du dernier voyage du lieu d’emploi au lieu de rĂ©sidence habituelle ainsi qu’en cas de mutation dĂ©cidĂ©e par l’employeur du lieu d’emploi Ă  un autre lieu, le travailleur voyageant par toute autre voie de transport que la voie maritime, aura droit au transport gratuit de ses bagages jusqu'Ă  concurrence de - deux cents 200 kg, en sus des franchises, pour le mĂ©nage comprenant le travailleur et son Ă©poux ou ses Ă©pouses ; - cent 100 kg, en sus de la franchise, pour chacun de ses enfants mineurs lĂ©galement Ă  sa charge et vivant habituellement avec lui. Au cas oĂč il ne fournirait pas le mobilier, l’employeur procĂ©dera, en outre, au remboursement des frais de transport des gros meubles nĂ©cessaires au travailleur. TITRE V SALAIRES – INDEMNITES – AVANTAGES Article 50 DISPOSITIONS GENERALES A conditions Ă©gales de travail, de qualification professionnelle et de rendement, le salaire est Ă©gal pour tous les travailleurs, quels que soient leur origine, leur Ăąge, leur sexe et leur statut, dans les conditions prĂ©vues au prĂ©sent titre. Le travailleur recrutĂ© ou nommĂ© perçoit la rĂ©munĂ©ration attachĂ©e Ă  l’emploi qu’il occupe en fonction de son classement. Les salaires sont fixĂ©s - soit au temps Ă  l’heure, Ă  la journĂ©e ou au mois ; - soit au rendement Ă  la tĂąche ou Ă  la piĂšce. Les employĂ©s sont toujours payĂ©s au mois. La rĂ©munĂ©ration du travailleur comporte le salaire de base et, selon le cas, les primes et indemnitĂ©s auxquelles il peut prĂ©tendre. La grille des salaires correspondant Ă  la classification des emplois est jointe en annexe. Article 51 PRIMES ET INDEMNITES Les primes et indemnitĂ©s ci-aprĂšs peuvent ĂȘtre allouĂ©es aux travailleurs, en sus des indemnitĂ©s et primes prĂ©vues par la rĂ©glementation en vigueur - l’indemnitĂ© de logement ; - l’indemnitĂ© de dĂ©mĂ©nagement ; - la prime de risque ; - la prime de responsabilitĂ© ; - la prime de motivation ; - la prime pour mĂ©daille du travail. Article 52 INDEMNITE DE FONCTION - PRIME DE POSTE Une indemnitĂ© de fonction destinĂ©e Ă  tenir compte des difficultĂ©s et servitudes propres aux fonctions exercĂ©es peut ĂȘtre accordĂ©e aux travailleurs ci-aprĂšs dĂ©signĂ©s, chargĂ©s de superviser et d’organiser le travail des salariĂ©s placĂ©s sous leur autoritĂ© - les directeurs ; - les conseillers techniques ; - les chefs de service. Une prime de poste destinĂ©e Ă  tenir compte des difficultĂ©s et servitudes propres aux fonctions exercĂ©es peut ĂȘtre accordĂ©e aux travailleurs ci-aprĂšs dĂ©signĂ©s, chargĂ©s de superviser et d’organiser le travail des agents placĂ©s sous leur autoritĂ© - les gĂ©rants de caisse ; - les superviseurs ; - les contrĂŽleurs ; - les chefs de poste ; - les chefs de site. Article 53 INDEMNITE DE TRANSPORT Une indemnitĂ© mensuelle de transport dont le montant et les conditions d’attribution sont fixĂ©s conformĂ©ment Ă  la rĂ©glementation est allouĂ©e aux travailleurs. Le montant est Ă©gal au taux en vigueur au SĂ©nĂ©gal. D’autre part, il est allouĂ© une indemnitĂ© compensatrice de transport Ă  tout travailleur effectuant par ses propres moyens des dĂ©placements frĂ©quents et habituels, pour les besoins de l’entreprise, avec l’accord de l’employeur. Article 54 INDEMNITE DE DEPLACEMENT Lorsque le travailleur est astreint par obligation professionnelle et conformĂ©ment aux dispositions du Code du travail Ă  un dĂ©placement pour une mission occasionnelle et temporaire d’une durĂ©e Ă©gale ou infĂ©rieure Ă  six mois, hors de son lieu habituel d’emploi et qu’il en rĂ©sulte pour lui des frais supplĂ©mentaires, il percevra, sauf clause plus favorable, une indemnitĂ© de dĂ©placement selon les modalitĂ©s qui suivent aPour le travailleur de la 1Ăšre Ă  la 6Ăšme catĂ©gorie -3 fois le taux du salaire horaire de base de la catĂ©gorie du lieu habituel d’emploi du travailleur lorsque le dĂ©placement hors du lieu habituel d’emploi entraĂźne la prise d’un repas principal en dehors de ce lieu d’emploi ; -5 fois le taux du salaire horaire de base de la catĂ©gorie du lieu habituel d’emploi du travailleur lorsque le dĂ©placement hors du lieu habituel d’emploi entraĂźne la prise de deux repas principaux en dehors du lieu d’emploi ; - 8 fois le taux du salaire horaire de base de la catĂ©gorie du lieu habituel d’emploi du travailleur lorsque le dĂ©placement hors du lieu habituel d’emploi entraĂźne la prise de deux repas principaux et le couchage en dehors de ce lieu d’emploi. b Pour les travailleurs des 7Ăšme et 8Ăšme catĂ©gories - 2 fois le salaire horaire de base du lieu habituel d’emploi du travailleur lorsque le dĂ©placement hors du lieu habituel d’emploi entraĂźne la prise d’un repas principal en dehors de ce lieu d’emploi ; - 4 fois le salaire horaire de base du lieu habituel d’emploi du travailleur lorsque le dĂ©placement hors du lieu habituel d’emploi entraĂźne la prise de deux repas principaux en dehors de ce lieu d’emploi ; - 6 fois le salaire horaire de base du lieu habituel d’emploi du travailleur lorsque le dĂ©placement hors du lieu habituel d’emploi entraĂźne la prise de deux repas principaux et le couchage en dehors de ce lieu d’emploi. c Pour les travailleurs de la 9Ăšme Ă  la 11Ăšme catĂ©gorie Les frais de voyage et de sĂ©jour engagĂ©s, pour les besoins du service, sont remboursĂ©s par l’employeur - soit sur prĂ©sentation par l’ingĂ©nieur ou le cadre d’un Ă©tat de frais accompagnĂ© de factures et de toutes piĂšces justificatives ; - soit sur une base forfaitaire fixĂ©e d’accord parties et en rapport avec l’importance des fonctions de l’intĂ©ressĂ©. Ces indemnitĂ©s de dĂ©placement ne sont pas dues lorsque l’employeur fournit en nature les prestations de nourriture, de logement et de voyage. Des frais supplĂ©mentaires occasionnĂ©s durant le dĂ©placement du travailleur seront remboursĂ©s par l’entreprise sur prĂ©sentation de piĂšces justificatives des dĂ©penses. Article 55 INDEMNITE DE PANIER Sauf dispositions plus favorables, l’indemnitĂ© de panier est attribuĂ©e - aux travailleurs ayant effectuĂ© au moins six 6 heures de travail de nuit, la tranche horaire de rĂ©fĂ©rence Ă©tant comprise entre vingt- deux 22 heures et cinq 5 heures du matin ; - aux travailleurs ayant effectuĂ© dix 10 heures ininterrompues ou trois 3 heures en sus de leur horaire normal de travail. Sauf clause plus favorable, le montant de cette indemnitĂ© est Ă©gal Ă  trois 3 fois le salaire minimum interprofessionnel garanti SMIG. Elle ne fait pas obstacle, toutefois, au paiement des heures supplĂ©mentaires. Dans les conditions d’attribution de l’indemnitĂ© de panier, la rĂšgle de l’équivalence du temps de travail ne peut ĂȘtre un obstacle au paiement de cette indemnitĂ©. Article 56 PRIME D’ANCIENNETE Sous rĂ©serve des dispositions de l’article du Code du travail, on entend par anciennetĂ©, le temps pendant lequel le travailleur a Ă©tĂ© occupĂ© de façon continue au service de l’établissement. La prime d’anciennetĂ© est calculĂ©e en pourcentage du salaire de base de la catĂ©gorie du travailleur. Son montant est fixĂ© Ă  2% du salaire de base aprĂšs deux 2 annĂ©es de prĂ©sence effective avec une progression de 1% par annĂ©e de prĂ©sence en sus, jusqu’à la retraite. Article 57 PRIME DE SAVON Pour participer Ă  l’entretien des tenues de travail, l’employeur octroie une prime de savon Ă  tous les travailleurs. Le montant de cette prime est fixĂ© Ă  deux mille 2000 francs CFA par mois. Article 58 BULLETIN DE SALAIRE Quels que soient la nature et la durĂ©e du travail fourni ainsi que le montant de la rĂ©munĂ©ration acquise, tout paiement du salaire doit faire l’objet d’une piĂšce justificative dite bulletin de paie » remise au travailleur lors du paiement. Sur le bulletin de paie, sont ventilĂ©s le salaire, les accessoires du salaire, les primes et les indemnitĂ©s de toute nature, ainsi que, plus gĂ©nĂ©ralement, toutes les sommes dues au travailleur, de maniĂšre Ă  faire clairement apparaitre, en individualisant chaque Ă©lĂ©ment de la rĂ©munĂ©ration, sa cause exacte et le dĂ©compte qui a servi de base Ă  son calcul. TITRE VI PROTECTION SOCIALE Article 59 SECURITE SOCIALE L’employeur est soumis aux dispositions rĂ©gissant les institutions de prĂ©voyance sociale, conformĂ©ment Ă  la lĂ©gislation et Ă  la rĂ©glementation en vigueur et y affiliera tous ses travailleurs pour leur assurer le bĂ©nĂ©fice des prestations servies par ces organismes. Article 60 SECURITE ET SANTE AU TRAVAIL L’employeur est responsable de l’application des mesures prescrites par les textes en vigueur en matiĂšre de sĂ©curitĂ© et santĂ© au travail. Les travailleurs sont tenus d’appliquer strictement les consignes destinĂ©es Ă  garantir la salubritĂ© des locaux et d’observer les instructions pour prĂ©venir tout incident ou accident. ConformĂ©ment Ă  la rĂ©glementation, un comitĂ© d’hygiĂšne et de sĂ©curitĂ© et santĂ© du travail est mis en place dans les entreprises pour veiller au respect des dispositions rĂ©glementaires en vigueur. Article 61 HOSPITALISATION DU TRAVAILLEUR MALADE Pour la prise en charge partielle des frais mĂ©dicaux, pharmaceutiques et d’hospitalisation, le travailleur bĂ©nĂ©ficie pour lui-mĂȘme et sa famille d’une couverture maladie obligatoire, conformĂ©ment Ă  la lĂ©gislation en vigueur. En cas de manquement de l’employeur Ă  son obligation de crĂ©er une institution de prĂ©voyance maladie IPM ou d’adhĂ©rer Ă  une IPM interentreprises, ce dernier prend en charge la totalitĂ© des frais d’hospitalisation du travailleur malade, sans prĂ©judice des sanctions prĂ©vues par la rĂ©glementation en vigueur. Les avantages prĂ©vus au prĂ©sent article ne sont pas dus au travailleur hospitalisĂ© Ă  la suite d’un accident non professionnel survenu soit par sa faute, soit Ă  l’occasion de jeux ou d’épreuves sportives officielles non organisĂ©es par l’employeur. Article 62 TENUE DE TRAVAIL Dans les entreprises oĂč une tenue de travail dĂ©terminĂ©e est rendue obligatoire pour certaines catĂ©gories de travailleurs, l’employeur devra fournir gratuitement deux tenues par an. Le nettoyage est assurĂ© par le travailleur avec les moyens fournis par l’employeur. TITRE VII DIFFERENDS DE TRAVAIL Article 63 DIFFERENDS INDIVIDUELS DE TRAVAIL Les parties pourront rechercher Ă  l’amiable la solution Ă  leurs diffĂ©rends individuels. En cas d’accord des parties, il est dressĂ© un procĂšs-verbal qui consacre le rĂšglement dĂ©finitif du diffĂ©rend. En cas de dĂ©saccord, chacune des parties a la facultĂ© de saisir l’Inspecteur du Travail du ressort ou le Tribunal du travail. Article 64 DIFFERENDS COLLECTIFS DE TRAVAIL Les conflits collectifs sont soumis Ă  la procĂ©dure prĂ©vue aux articles et suivants du Code du travail. Dans un premier temps, les reprĂ©sentants des travailleurs sont chargĂ©s en interne, dans le calme et le dialogue, de rechercher avec le chef d’établissement ou son reprĂ©sentant, une solution au conflit dans le respect de la rĂ©glementation en vigueur. A dĂ©faut d’accord, la partie la plus diligente pourra saisir le comitĂ© de dialogue social d’entreprise ou de branche, prĂ©vu Ă  cet effet, s’il en existe, qui tentera de rechercher une solution juste et Ă©quitable aux problĂšmes posĂ©s. En cas d'Ă©chec de la procĂ©dure dĂ©crite ci-dessus, l'Inspecteur ou le Directeur gĂ©nĂ©ral du Travail et de la SĂ©curitĂ© sociale sera saisi conformĂ©ment aux textes en vigueur. Article 65 COMMISSION DE CLASSEMENT Si le travailleur conteste auprĂšs de son employeur le classement de son emploi dans la hiĂ©rarchie professionnelle et si une suite favorable n’est pas donnĂ©e Ă  sa rĂ©clamation, le diffĂ©rend est portĂ© devant une commission professionnelle paritaire de classement. Cette commission prĂ©sidĂ©e par l’Inspecteur du travail et de la SĂ©curitĂ© sociale du ressort est composĂ©e de deux reprĂ©sentants des employeurs et de deux reprĂ©sentants des travailleurs. Les membres employeurs et travailleurs de la commission ainsi que leurs supplĂ©ants sont choisis par les parties signataires ou adhĂ©rentes Ă  la prĂ©sente convention. Les membres de la commission peuvent s’adjoindre, Ă  titre consultatif, un ou deux de leurs collĂšgues plus particuliĂšrement qualifiĂ©s pour apprĂ©cier le litige. Le travailleur adresse sa requĂȘte ou la fait adresser par son dĂ©lĂ©guĂ© du personnel, ou son organisation syndicale, Ă  l’inspecteur du Travail qui provoque la rĂ©union de la commission en convoquant les parties et les membres de la commission, et, si le travailleur en fait la demande, un reprĂ©sentant de l’organisation syndicale Ă  laquelle il appartient. La commission se rĂ©unit obligatoirement dans les dix jours francs qui suivent la requĂȘte et se prononce dans les quinze jours qui suivent la date de sa premiĂšre rĂ©union. Toutefois, en cas d’urgence, la commission s’efforcera d’abrĂ©ger les dĂ©lais ainsi fixĂ©s Ă  la demande de l’une ou l’autre des parties. Si l’un des membres de la commission ne se prĂ©sente pas au jour et Ă  l’heure fixĂ©s pour la rĂ©union, la commission peut nĂ©anmoins dĂ©cider de siĂ©ger, mais en s’organisant pour que la reprĂ©sentation des employeurs et des travailleurs demeure paritaire. Le rĂŽle de la commission est de dĂ©terminer la catĂ©gorie dans laquelle doit ĂȘtre classĂ© l’emploi occupĂ© par le travailleur dans l’entreprise. Si la commission dispose d’élĂ©ments d’information suffisants, elle rend immĂ©diatement sa dĂ©cision. Dans le cas contraire, elle peut inviter les parties Ă  produire des renseignements complĂ©mentaires et, au besoin, se rendre sur les lieux du travail. Elle peut Ă©galement dĂ©cider de faire subir au travailleur avec son accord, un essai professionnel. Elle choisit alors l’épreuve Ă  faire subir au requĂ©rant, fixe le temps dont il disposera pour l’exĂ©cuter et dĂ©signe les personnes qualifiĂ©es pour apprĂ©cier les rĂ©sultats. DĂšs qu’elle dispose de ces Ă©lĂ©ments d’apprĂ©ciation complĂ©mentaire, la Commission prononce sa dĂ©cision. En cas de changement dans la catĂ©gorie d’emploi, elle prend dĂ©cision Ă  la majoritĂ© de voix de ses membres. Le prĂ©sident ne participe pas au vote. Cette dĂ©cision doit ĂȘtre motivĂ©e, donner la rĂ©partition des voix et indiquer tous les avis exprimĂ©s, y compris celui du prĂ©sident. Elle doit Ă©galement prĂ©ciser, le cas Ă©chĂ©ant, la date de prise d’effet du classement. En cas de partage des voix, le prĂ©sident de la sĂ©ance, en l’occurrence l’inspecteur du travail du ressort, en sa qualitĂ© de membre de la commission, pourra valablement statuer sur le cas d’espĂšce. Ladite dĂ©cision prĂ©cisera la date d’effet de la mesure et sera notifiĂ©e Ă  chacune des parties et Ă  l’intĂ©ressĂ©. Un exemplaire de la dĂ©cision rendue est remis Ă  chacune des parties, Ă  la diligence du prĂ©sident. Lorsque la dĂ©cision est contestĂ©e par l’une des parties, le litige est portĂ© devant le Tribunal du Travail du ressort. TITRE VIII DISPOSITIONS FINALES Article 66 DISPOSITIONS TRANSITOIRES Les parties signataires de la prĂ©sente convention adoptent la grille des salaires jointe en annexe. Toutefois, si les salaires catĂ©goriels prĂ©vus par la prochaine augmentation gĂ©nĂ©ralisĂ©e des salaires au niveau national s’avĂšrent plus favorables que la prĂ©sente grille, il sera procĂ©dĂ© Ă  un rĂ©ajustement pour les catĂ©gories concernĂ©es, par rĂ©fĂ©rence Ă  la grille adoptĂ©e dans le secteur du commerce. Article 67 ANNEXES Les annexes font partie intĂ©grante de la prĂ©sente convention collective. Il s’agit de -l’annexe de classification et de dĂ©finition des emplois ; -la grille des salaires. Fait Ă  Dakar, le








. ONT SIGNE P A T R O N A T M. Papa Djiby TOURE SAGAM SĂ©curitĂ© – CNES M. Christophe MARTY Viga Assistance/ CNP M. Ibrahima DIOUF PhƓnix – CNP M. Gora THIAO SAGAM SĂ©curitĂ© – CNES M. Erick DERAMBURE DIS – CNP M. Samba NDIAYE Agence Lat SĂ©curitĂ© – CNP T R A V A I L L E U R S M. Doudou KEITA SYNATRACOM/UNSAS M. Ndiouga WADE SYNPAS/CNTS M. Isidore COLY SAGAS/CSA M. Sara CAMARA SNTCES/FNCS M. Boubacar MANGA SNECCS/CNTS LE MINISTRE DU TRAVAIL, DU DIALOGUE SOCIAL, DES ORGANISATIONS PROFESSIONNELLES ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS ANNEXE 1 TABLEAU DE CLASSIFICATION DES EMPLOIS Classes CatĂ©gorie Echelons Emplois et profils CLASSE I Personnels de soutien et d’exĂ©cution de niveau 1 1Ăšre 2Ăšme NĂ©ant - ManƓuvre ordinaire travailleur chargĂ© de tĂąches manuelles ne nĂ©cessitant ni connaissances professionnelles, ni adaptation particuliĂšres. - Technicien de surface dĂ©butant travailleur prĂ©posĂ© au nettoyage et entretien des locaux et dĂ©pendances de l’entreprise. A - Travailleurs de la 1Ăšre catĂ©gorie ayant accompli 6 mois de services effectifs - Agent de sĂ©curitĂ©/gardien travailleur chargĂ© d’assurer la surveillance, gardiennage, escorte de biens privĂ©s, et de sĂ©curisation des personnes. - ManƓuvre spĂ©cialisĂ© Travailleur Ă  qui sont confiĂ©s des travaux ne nĂ©cessitant qu’une initiation de courte durĂ©e ou effectuant des travaux simples. - Technicien de surface Travailleur chargĂ© de l’entretien et du nettoiement des locaux et des dĂ©pendances de l’entreprise. CLASSE I Personnels de soutien et d’exĂ©cution de niveau 1 B Travailleurs de l’échelon A ayant accompli cinq 5 ans de services. C Travailleurs de l’échelon B ayant accompli cinq 5 ans de services. 3Ăšme A - Jardinier travailleur chargĂ© de l’entretien des espaces verts et des plantes. B Travailleurs de l’échelon A ayant accompli cinq 5 ans de services. C Travailleurs de l’échelon B ayant accompli cinq 5 ans de services. 4Ăšme A - Agent administratif de niveau 1 travailleur affectĂ© Ă  des tĂąches d’administration telles que le bureau d’ordre, l’enregistrement, le classement du courrier, des fiches, des documents, piĂšces et dossiers, de la correspondance administrative. - Aide-magasinier travailleur chargĂ© d’assister le responsable de la gestion du matĂ©riel. - Aide-ouvrier travailleur connaissant une partie seulement d’un mĂ©tier nĂ©cessitant une certaine formation prĂ©alable, mais ne possĂ©dant pas l’habiletĂ© et le rendement exigĂ©s des ouvriers spĂ©cialisĂ©s ou professionnels. - MaĂźtre-chien travailleur chargĂ© du dressage des chiens. Il est aussi chargĂ© de la formation des travailleurs pour la conduite de chiens. B Travailleurs de l’échelon A ayant accompli cinq 5 ans de services. C Travailleurs de l’échelon B ayant accompli cinq 5 ans de services. CLASSE II Personnels de soutien et d’exĂ©cution de niveau 2 5Ăšme A - Agent administratif de niveau 2 travailleur administratif de niveau 1 avec des tĂąches comportant une part d’initiative et de responsabilitĂ© notamment l’élaboration et la mise Ă  jour du planning. - Aide-trieur travailleur chargĂ© du tri et de la reconnaissance de petites coupures de billets de banque. - Chauffeur travailleur prĂ©posĂ© Ă  la conduite des vĂ©hicules de l’entreprise. Il a la responsabilitĂ© de l’entretien des vĂ©hicules placĂ©s sous sa responsabilitĂ©. - Magasinier travailleur chargĂ© de la gestion des stocks habillements, Ă©quipements, consommables etc., dont il a la responsabilitĂ© d’inventaire. - OpĂ©rateur de gĂ©olocalisation travailleur chargĂ© de la surveillance des mouvements des vĂ©hicules et des personnes Ă  l’aide d’un Ă©cran. - Ouvrier professionnel de niveau 1 ouvrier professionnel exĂ©cutant des travaux qualifiĂ©s possĂ©dant un mĂ©tier dont l’apprentissage peut ĂȘtre sanctionnĂ© par un CAP ou l’essai professionnel d’usage. - RĂ©ceptionniste/standardiste travailleur prĂ©posĂ© Ă  l’accueil des visiteurs, Ă  la rĂ©ception et Ă  la transmission des communications tĂ©lĂ©phoniques. Il assure Ă©galement la tenue de l’annuaire tĂ©lĂ©phonique de l’entreprise. - SecrĂ©taire-comptable travailleur chargĂ© de la saisie de piĂšces comptables. - Superviseur/contrĂŽleur travailleur chargĂ© de contrĂŽler en permanence la prĂ©sence des travailleurs de sĂ©curitĂ© sur un des postes qui lui sont confiĂ©s, et rend compte Ă  son supĂ©rieur hiĂ©rarchique. B Travailleurs de l’échelon A ayant accompli cinq 5 ans de services. C Travailleurs de l’échelon B ayant accompli cinq 5 ans de services. CLASSE II Personnels de soutien et d’exĂ©cution de niveau 2 6Ăšme Agent commercial travailleur chargĂ© de la prospection de la clientĂšle pour prĂ©senter les services et produits de l’entreprise. Agent gabiste travailleur prĂ©posĂ© aux guichets automatiques de banque, chargĂ© de leur alimentation et d’intervenir en cas de panne. Aide-comptable assiste les comptables dans leurs missions. Agent de recouvrement travailleur chargĂ© de la rĂ©cupĂ©ration des chĂšques auprĂšs des clients et, Ă©ventuellement, de la distribution des courriers. Assistant du responsable de la chambre forte il assiste le responsable de la chambre forte. Caissier secondaire employĂ© chargĂ©, sous la responsabilitĂ© Ă©ventuelle d’un caissier principal ou comptable, des paiements, des encaissements et autres opĂ©rations de caisse. ChargĂ© de la formation travailleur participant au processus de recrutement et assurant la formation initiale comme continue des travailleurs sur les techniques de sĂ©curitĂ©. ChargĂ© de la logistique travailleur chargĂ© du suivi des mouvements du matĂ©riel et des approvisionnements. Chauffeur-convoyeur travailleur prĂ©posĂ© Ă  la conduite de vĂ©hicules blindĂ©s pour le transport de fonds ou de valeurs. Chef d’antenne ou de rĂ©gion travailleur reprĂ©sentant l’entreprise dans une zone gĂ©ographique dĂ©terminĂ©e. Il a sous sa responsabilitĂ© plusieurs sites. Chef de table assure la supervision du tri et de la reconnaissance des grosses et petites coupures de billets de banque. Convoyeur de fonds travailleur chargĂ© de convoyer en toute sĂ©curitĂ© des fonds et valeurs pour divers clients. Inspecteur travailleur placĂ© sous la hiĂ©rarchie du chef de garde et chargĂ© d’assurer sur le terrain du suivi opĂ©rationnel des activitĂ©s des superviseurs, assiste ces derniers et les supplĂ©e en cas de besoin. Ouvrier professionnel de niveau 2 ouvrier professionnel exĂ©cutant particuliĂšrement des travaux qualifiĂ©s nĂ©cessitant une connaissance complĂšte de sa profession, une formation thĂ©orique et pratique approfondie. SecrĂ©taire il est chargĂ© de la saisie et du traitement des courriers et autres tĂąches connexes. Surveillant gĂ©nĂ©ral/chargĂ© de la supervision travailleur chargĂ© d’assurer le lien entre le client et le niveau opĂ©rationnel en s’assurant de la bonne exĂ©cution des prestations convenues. Aussi, il peut ĂȘtre chargĂ© de superviser les activitĂ©s des superviseurs. Trieur Travailleur chargĂ© du tri des billets de banque et autres valeurs. B Travailleurs de l’échelon A ayant accompli cinq 5 ans de services. C Travailleurs de l’échelon B ayant accompli cinq CLASSE III Personnels de maĂźtrise 7Ăšme A Adjoint chef de parc assiste le chef de parc dans ses missions. Archiviste il assure l’archivage et la conservation des documents de l’entreprise. Caissier principal chargĂ© de la caisse du centre de traitement des valeurs. Il peut ĂȘtre chargĂ© des rompus. Chef convoyeur dirige la mission de convoyage de fonds et de valeurs. Chef d’équipe d’un service de traitement des valeurs il supervise les opĂ©rations de traitement des valeurs et veille Ă  leur bonne exĂ©cution. Aussi, il centralise et remonte les informations relatives aux opĂ©rations de tri. Chef de garde Travailleur chargĂ© d’assurer la coordination des activitĂ©s d’une brigade ou faction montante. Chef de service d’appui chargĂ© de la supervision du travail du personnel d’entretien et des travailleurs de liaison. Chef de section transport de fonds il assure la coordination des missions de convoyage de fonds dans une zone gĂ©ographique dĂ©terminĂ©e. Coordonnateur des PCS et de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure Il coordonne par camĂ©ras de surveillance l’activitĂ© de contrĂŽle des PCS et assure la sĂ©curitĂ© de l’entreprise. Responsable de la chambre forte supervise la rĂ©ception, la sĂ©curisation, la gestion et la rĂ©partition des fonds gardĂ©s dans une chambre forte. SecrĂ©taire de direction secrĂ©taire rattachĂ© Ă  une direction ayant une grande expĂ©rience, capable de rĂ©diger la majeure partie de la correspondance d’aprĂšs les directives gĂ©nĂ©rales et ayant une formation du niveau BTS. Technicien d’un service de traitement des valeurs il assure l’entretien, la maintenance et la rĂ©paration des machines de tri et de comptage des billets de banque et autres valeurs. B Travailleurs de l’échelon A ayant accompli cinq 5 ans de services. C Travailleurs de l’échelon B ayant accompli cinq 5 ans de services. CLASSE III Personnels de maĂźtrise 8Ăšme A Adjoint au coordonnateur d’un service de transport de fonds et de valeurs il assiste le coordonnateur d’un service de transport de fonds et de valeurs dans ses missions. Assistante de direction interface entre une direction et les services, ce travailleur coordonne les activitĂ©s entre les diffĂ©rents services, sous les directives de son supĂ©rieur hiĂ©rarchique. Assistant RH il assiste le responsable RH dans ses missions. Il peut ĂȘtre chargĂ© du traitement informatique de la paie. Chef de parc il est chargĂ© de coordonner toutes les activitĂ©s du parc automobile. Comptable travailleur chargĂ© d’assurer seul ou sous le contrĂŽle du chef de comptabilitĂ© la tenue des livres, la passation rĂ©guliĂšre des Ă©critures, la confection de tous les documents justificatifs ou la vĂ©rification des piĂšces qui lui sont transmises. B - Coordonnateur d’un service de transport de fonds et de valeurs il coordonne toutes les activitĂ©s de transport de fonds et de valeurs. - Informaticien Il est chargĂ© de la gestion du systĂšme informatique et de la maintenance du parc informatique. - Responsable des opĂ©rations du service de traitement des valeurs supervise les diffĂ©rentes caisses dans le processus de traitement des valeurs, la rĂ©ception et l’approvisionnement en fonds. - Responsable en radiocommunication coordonne et assure le suivi et la maintenance des moyens de communication-radio de l’entreprise. - Travailleurs de l’échelon A ayant accompli cinq 5 ans de services. C - Adjoint chef comptable il assiste le chef comptable dans ses missions. - Travailleurs de l’échelon B ayant accompli cinq 5 ans de services. CLASSE IV Personnels d’encadrement 9Ăšme A Adjoint au responsable/directeur des opĂ©rations il assiste le responsable ou directeur des opĂ©rations dans ses missions. Chef comptable il est chargĂ© de coordonner l’activitĂ© des services de la comptabilitĂ©. Il est notamment chargĂ© de l’élaboration des Ă©tats financiers de l’entreprise. Responsable commercial il coordonne les opĂ©rations commerciales de l’entreprise. Responsable de la logistique travailleur chargĂ© de la coordination des opĂ©rations relatives aux mouvements du matĂ©riel et des approvisionnements. Responsable RH/chef du personnel il est chargĂ© du suivi et de la mise en Ɠuvre de la politique RH et de la gestion quotidienne des ressources humaines de l’entreprise. Responsable du recouvrement chargĂ© du suivi rĂ©gulier des Ă©chĂ©anciers, assure les activitĂ©s de relance et du rĂšglement des factures, de la rĂ©cupĂ©ration des chĂšques. B Chef du service des alarmes Ă  distance il coordonne toutes les activitĂ©s des alarmes Ă  distance. Il dĂ©finit les zones Ă  sĂ©curiser et le nombre d’alarmes Ă  mettre en place. Responsable administratif et financier il est chargĂ© de la mise en Ɠuvre et du suivi de toutes les opĂ©rations administratives, financiĂšres et comptables. Travailleurs de l’échelon A ayant accompli cinq 5 ans de services. C Travailleurs de l’échelon B ayant accompli cinq 5 ans de services. CLASSE IV Personnels d’encadrement 10Ăšme A Directeur/responsable des opĂ©rations/directeur technique il assure la coordination de l’ensemble des opĂ©rations de sĂ©curisation. B Directeur administratif et financier il assure la coordination et le suivi de toutes les opĂ©rations administratives, financiĂšres et comptables de l’entreprise. Directeur commercial sous l’autoritĂ© du directeur gĂ©nĂ©ral, il dĂ©finit et met en Ɠuvre la politique commerciale de l’entreprise. Directeur des Ressources humaines il dĂ©finit et met en Ɠuvre la politique RH de l’entreprise. Travailleurs de l’échelon A ayant accompli cinq 5 ans de services. C Travailleurs de l’échelon B ayant accompli cinq 5 ans de services. CLASSE IV Personnels d’encadrement 11Ăšme A Directeur gĂ©nĂ©ral adjoint il assiste et supplĂ©e le Directeur gĂ©nĂ©ral dans ses fonctions. B Travailleurs de l’échelon A ayant accompli cinq 5 ans de services. C Directeur gĂ©nĂ©ral disposant de pouvoirs dĂ©cisionnels Ă©tendus, il coordonne la mise en Ɠuvre de la politique de dĂ©veloppement de l’entreprise. Travailleurs de l’échelon B ayant accompli cinq 5 ans de services. ANNEXE 2 GRILLE DES SALAIRES CATEGORIELS CLASSES CATEGORIES ECHELONS A B Classe I 1Ăšre 65022 sans Ă©chelons 2Ăšme 66500 67500 68500 3Ăšme 69500 70500 71500 Classe II 4Ăšme 74500 75500 76500 5Ăšme 80000 81000 82000 6Ăšme 84000 87000 90000 Classe III 7Ăšme 102000 105250 108650 8Ăšme 112000 114500 118000 9Ăšme 121000 133000 146000 Classe IV 10Ăšme 160000 165000 172000 11Ăšme 183 000 189000 195000 Fait Ă  Dakar, le








. ONT SIGNE P A T R O N A T M. Papa Djiby TOURE SAGAM SĂ©curitĂ© – CNES M. Christophe MARTY Viga Assistance/ CNP M. Ibrahima DIOUF PhƓnix – CNP M. Gora THIAO SAGAM SĂ©curitĂ© – CNES M. Erick DERAMBURE DIS – CNP M. Samba NDIAYE Agence Lat SĂ©curitĂ© – CNP T R A V A I L L E U R S M. Doudou KEITA SYNATRACOM/UNSAS M. Ndiouga WADE SYNPAS/CNTS M. Isidore COLY SAGAS/CSA M. Sara CAMARA SNTCES/FNCS M. Boubacar MANGA SNECCS/CNTS LE MINISTRE DU TRAVAIL, DU DIALOGUE SOCIAL, DES ORGANISATIONS PROFESSIONNELLES ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS Convention Collective Nationale du Secteur de la SecuritĂ© PrivĂ©e - 2019 - 2019 Date de prise d'effet → 2019-01-17 Date de fin → Pas spĂ©cifiĂ©e RatifiĂ©e par → Autre RatifiĂ©e le → 2019-01-17 Nom de l'industrie → EnquĂȘtes et sĂ©curitĂ©, activitĂ©s de nettoyage, travaux mĂ©nagers Nom de l'industrie → ActivitĂ©s de sĂ©curitĂ© privĂ©e Secteur privĂ© / publique → SignĂ©e par Noms des syndicats → Union des Travailleurs du SĂ©nĂ©gal FORMATION Programmes de formation → Oui Apprentissage → Oui L'employeur contribue Ă  la caisse de formation des travailleurs → Non MALADIE ET INVALIDITE' Montant maximum de l'indemnitĂ© maladie → 85 % Dispositions concernant le retour au travail aprĂšs une longue maladie, par exemple traitement du cancer → Non CongĂ©s payĂ© pour menstruation → Non Paie en cas d'incapacitĂ© rĂ©sultant d'accident professionnel → Non SANTE' ET SECURITE' AU TRAVAIL ET AIDE MEDICALE Aide mĂ©dicale convenue → Oui Aide medicale pour la famille du travailleur → Non Contribution Ă  l'assurance santĂ© convenue → Non Assurance santĂ© convenue pour la famille du travailleur → Non Politique de santĂ© et sĂ©curitĂ© convenue → Oui Formation sur santĂ© et sĂ©curitĂ© convenue → Non VĂȘtements de protection fournis → Oui Checkup ou visites mĂ©dicales rĂ©guliĂšres ou annuelles offertes par l'employeur → Non ContrĂŽle de sollicitation musculo-squelettique des postes de travail, risques professionnels et/ou relation entre travail et santĂ© → Professional risks Aide pour les obsĂšques → Oui Contribution minimum de l’entreprise aux frais funĂ©raires et inhumation → XOF CONCILIATION TRAVAIL-FAMILLE SĂ©curitĂ© de l'emploi aprĂšs le congĂ© de maternitĂ© → Interdiction de discrimination liĂ©e Ă  la maternitĂ© → Interdiction d'obliger les femmes enceintes ou allaitantes d'effectuer des travaux dangereux ou insalubles → Evaluation des risques en milieu de travail sur la sĂ©curitĂ© et la santĂ© des femmes enceintes ou qui allaitent → DisponibilitĂ© des solutions de remplacement pour des travaux dangereux ou insalubres pour les femmes enceintes ou allaitantes → CongĂ© pour examens mĂ©dicaux prĂ©natals → Interdiction du dĂ©pistage de grossesse avant la rĂ©gularisation des travailleurs non conventionnels → Interdiction du dĂ©pistage de grossesse avant la promotion → Services pour les femmes qui allaitent → Non Services en faveur des enfants fournis par l'employeur → Non Services en faveur des enfants payĂ©s par l'employeur → Non Allocation/frais de scolaritĂ© pour l’éducation des enfants → Non CongĂ© payĂ© annuellement pour prendre soins des parents → 1 jours DurĂ©e de congĂ© en jours en cas de dĂ©cĂšs d’un proche → 2 jours CONTRATS DE TRAVAIL DurĂ©e de la pĂ©riode d'essai → 30 jours Les indemnitĂ©s de dĂ©part aprĂšs cinq annĂ©es de service pourcentage du salaire mensuel → 30 % IndemnitĂ© de dĂ©part aprĂšs un an de service pourcentage du salaire mensuel → 25 % Les travailleurs Ă  temps partiel exclus de toute disposition → Non Dispositions concernant les travailleurs temporaires → Non Apprentis exclus de toute disposition → Non Petits jobs/emplois Ă©tudiants exclus de toute disposition → Non HORAIRE, DUREE DU TRAVAIL ET CONGES Heures de travail par semaine → CongĂ© annuel payĂ© → jours CongĂ© annuel payĂ© → semaines PĂ©riodes de repos par semaine convenues → Non CongĂ© pour activitĂ©s syndicales → jours Dispositions relatives aux modalitĂ©s de travail flexibles → Non SALAIRE Salaires dĂ©terminĂ©s au moyen d’échelle salariale → Yes, in one table Les dispositions sur le salaire minimum fixĂ© par le gouvernement doivent ĂȘtre respectĂ©es → Non Le salaire convenu pour → Months Le salaire le plus bas → XOF Rajustement en fonction de la croissance du coĂ»t de la vie → Paiement supplĂ©mentaire une seule fois Prime pour le travail de nuit ou de soir Prime pour le travail de nuit ou de soir → 60 % du salaire de base Prime seulement pour le travail de nuit → Oui Paiement supplĂ©mentaire pour le congĂ© annuel Paiement supplĂ©mentaire pour le congĂ© annuel → % du salaire de base Prime pour les heures supplĂšmentaires Prime pour les heures supplĂšmentaires → 40 % du salaire de base IndemnitĂ© de transport Prime d'anciennetĂ© Prime d'anciennetĂ© du salaire de base → % du salaire de base Prime d'anciennetĂ© aprĂšs → 2 annĂ©es de prĂ©sence Ticket-repas fourni IndemnitĂ© de repas fourni → Free legal assistance →

BruceWillis Sauve Le Monde, Directeur Lycée Agricole Castelnaudary, Elsa Et Anna Coloriage à Imprimer, Nation Antique Proche Orientale - 4 Lettres, Campus France Congo 2020-2021, élevage Pinscher Nain Bretagne, Syracuse Accompagnement Piano, PoÚme à Lou Calligramme Analyse, Cours Chaleur Et Température Bac Pro, Exercices Cap Physique

De quoi s’agit-il ? Qui est concernĂ© ? Qu’en est-il des rĂ©seaux de santĂ©, des DAC dispositif d’appui Ă  la coordination ou encore des futurs DSR dispositifs spĂ©cifiques rĂ©gionaux ? Ces revalorisations concernent les professionnels du public, du privĂ© Ă  but non lucratif FEHAP et des cliniques privĂ©s a minima pour les Ă©tablissement de la FĂ©dĂ©ration de l’Hospitalisation privĂ©e – FHP et font suite aux acords du SĂ©gur de la santĂ©. Public Pour les personnels mĂ©dicaux, Ă  l’heure oĂč nous Ă©crivons cet article, ils ne sont concernĂ©s que dans le public. Deux changements sont opĂ©rĂ©s dans leurs rĂ©munĂ©rations, par l’arrĂȘtĂ© du 28 septembre 2020, modifiant l’arrĂȘtĂ© du 15 juin 2016 relatif aux Ă©moluments, rĂ©munĂ©rations ou indemnitĂ©s des personnels mĂ©dicaux, pharmaceutiques et odontologiques exerçant leurs fonctions Ă  temps plein ou Ă  temps partiel dans les Ă©tablissements publics de santĂ© revalorisation de l’indemnitĂ© d’engagement de service public exclusif qui passe de 490 euros brut par mois ou 700 euros aprĂšs 15 ans de service public Ă  1010 euros brut par mois ; modification des Ă©chelons avec la suppression des 3 premiers Ă©chelons, le salaire de base passe ainsi Ă  52 933 euros brut, contre 49 568 euros dans l’ancienne grille, et 3 Ă©chelons supplĂ©mentaires doivent ĂȘtre créés, au-delĂ  du 10Ăšme Ă©chelon qui est passĂ© Ă  90 009 euros brut par an salaire qui Ă©tait jusque lĂ  atteint au 13Ăšme Ă©chelon Pour les sages-femmes et les personnels non-mĂ©dicaux au sein des Ă©tablissements de santĂ© et EHPAD publics, la revalorisation actĂ©e est de 183 euros net par mois 230 euros brut. La mise en place prĂ©vue est en deux Ă©tapes 24 points d’indice, soit 90€ nets, seront attribuĂ©s Ă  compter du 1er septembre 2020 ; 25 points d’indice, soit 93€ nets, seront attribuĂ©s Ă  compter du 1er mars 2021. À noter que la mise en place de la premiĂšre Ă©tape a Ă©tĂ© accĂ©lĂ©rĂ©e par avenant Ă  l’accord initial Ă  septembre 2020. Ainsi, depuis septembre, l’ensemble des personnels concernĂ©s ont du voir apparaitre cette revalorisation sur leur fiche de paie. Enfin, cette revalorisation passe par un complĂ©ment de traitement indiciaire de points d’indice ou sous la forme d’un complĂ©ment de salaire pour les agents contractuels. À noter que cela semble passer en tant qu’indemnisation, ce qui explique deux Ă©lĂ©ments ce montant pourrait ne pas ĂȘtre pris en compte pour les calculs de retraite dans le public ; les personnes mises Ă  disposition de l’AP-HP n’en bĂ©nĂ©ficient pas Ă  date. PrivĂ© Ă  but non lucratif Pour les salariĂ©s du privĂ© Ă  but non lucratif adhĂ©rent Ă  la FEHAP, seuls sont concernĂ©s les salariĂ©s non mĂ©dicaux des Ă©tablissements de SantĂ© privĂ©s Ă  but non lucratif et des EHPAD Ă  la Convention Collective du 31 octobre 1951. LĂ  aussi le versement est prĂ©vu en deux Ă©tapes 117 euros brut par mois Ă  partir du 1er septembre 2020 ; 121 euros brut par mois Ă  partir du 1er mars 2021. Cette revalorisation a Ă©tĂ© adoptĂ©e par dĂ©cision unilatĂ©rale du 16 octobre 2020, uniquement pour les Ă©tablissements de santĂ© et les EHPAD. Il faut Ă©galement prĂ©ciser les 3 points suivants elle va apparaitre sur une ligne distincte du bulletin de salaire ; elle ne peut pas ĂȘtre prise en compte dans les Ă©lĂ©ments de rĂ©munĂ©ration pour la comparaison avec le Smic lĂ©gal ou avec le salaire minimum conventionnel ; elle n’entre pas dans l’assiette de calcul d’aucune prime ou indemnitĂ© conventionnelle. PrivĂ© Pour les salariĂ©s non-mĂ©dicaux et sages-femmes des hĂŽpitaux et cliniques privĂ©s, la FHP a signĂ© un accord de revalorisation Ă  hauteur de 206 euros brut par mois 160 euros net, versĂ©e en deux temps sur le meme rythme que le prĂ©voyait le public, en septembre 2020 et en mars 2021. Quid pour les Ă©quipes des rĂ©seaux de santĂ©, DAC et DSR ? Ces mesures s’appliquant uniquement aux personnels du public et des Ă©tablissements de santĂ© privĂ© ou privĂ© Ă  but non lucratif, les salariĂ©s de structures y compris sanitaires ou mĂ©dico-social autres ne peuvent y prĂ©tendre Ă  l’heure actuelle. Une exception est possible, pour les salariĂ©s mis Ă  disposition par un Ă©tablissement de santĂ© ou des salariĂ©s engagĂ©s directement par un hĂŽpital qui en serait l’employeur direct, sans crĂ©ation d’une entitĂ© juridique spĂ©cifique au dispositif. Il faut enfin prĂ©ciser que meme un salariĂ© mis Ă  disposition pourrait ne pas bĂ©nĂ©ficier de cette revalorisation. En effet, il s’agit d’un complĂ©ment de traitement indiciaire qui, au mĂȘme titre que certaines primes, peut ĂȘtre rĂ©servĂ© aux professionnels exerçant dans un service de l’établissement. Ceci n’est pas le cas d’un professionnel mis Ă  disposition d’une autre entitĂ© juridique. NB Tous les Ă©lĂ©ments de cet article sont basĂ©s sur les documents dont on a mis les liens au fil de l’article. N’hĂ©sitez pas Ă  nous signaler toute imprĂ©cision ou oubli. Grillesde classification des emplois par filiĂšre Article 91 En vigueur Ă©tendu DerniĂšre modification: ModifiĂ© par avenant n° 2 du 29 octobre 2002 Ă©tendu par arrĂȘtĂ© du 9 fĂ©vrier 2004 JORF 20 fĂ©vrier 2004. Créé par Convention collective nationale 2002-04-18 Ă©tendue par arrĂȘtĂ© du 29 octobre 2003 JORF 15 novembre 2003 Article 91.1.

InfirmiĂšre un mĂ©tier phare qui fait encore rĂȘver ! L’on compte aujourd’hui en France pas moins de professionnelles du secteur. Mais un mĂ©tier exigeant, qui demande rigueur, prĂ©cision, ainsi qu’endurance physique et psychologique. Mais qu’en est-il du salaire des infirmiĂšres ? Aperçu des diffĂ©rentes fonctions et de leurs rĂ©tributions. Formation disponible Formation pour devenir Infirmier Disponible en formation Ă  distancePour Ă©tudiants, salariĂ©s en poste ou demandeurs d’emploiSans conditions de diplĂŽme TOP formations en ligne Formation maquillageFormation crĂ©ation d’entrepriseFormation managementFormation marketing digitalFormation Ă  la vente Formation Ă  l’anglaisDevenir agent immobilierFormation Ă  la diĂ©tĂ©tiqueFormation informatiqueFormation dĂ©corationFormation bureautique Salaires et rĂ©munĂ©rations Dans le secteur public, la distinction est faite entre les infirmiĂšres de soins gĂ©nĂ©raux diplĂŽme de base et celles possĂ©dant une spĂ©cialisation. Les infirmiĂšres de soins gĂ©nĂ©raux seront – gĂ©nĂ©ralement – considĂ©rĂ©es comme “grades 1 et 2”, tandis que celles exerçant leur spĂ©cialitĂ© en bloc opĂ©ratoire, en puĂ©riculture ou anesthĂ©sie relĂšveront des grades 3 Ă  4. L’anciennetĂ© est Ă©galement une variable Ă  prendre en compte pour dĂ©terminer le salaire d’une infirmiĂšre dans le secteur public et se dĂ©cline en Ă©chelons. Voici la moyenne des salaires bruts dans le secteur public, employeur principal dans la profession Grades 1 et 2 Échelon 1 salaires bruts allant de 1827,54 Ă  1977,49 ۃchelon 2 salaires bruts allant de 1893,14 Ă  2038,41 ۃchelon 3 salaires bruts allant de 1977,49 Ă  2132,13 ۃchelon 4 salaires bruts allant de 2089,96 Ă  2225,85 ۃchelon 5 salaires bruts allant de 2211,79 Ă  2333,63 ۃchelon 6 salaires bruts allant de 2357,86 Ă  2441,41 ۃchelon 7 salaires bruts allant de 2455,46 Ă  2549,18 ۃchelon 8 salaires bruts allant de 2549,18 Ă  2656,96 ۃchelon 9 salaires bruts allant de 2675,71 Ă  2783,48 ۃchelon 10 salaires bruts allant de 2774,11 Ă  2938,12 ۃchelon 11 salaires bruts allant de 2655,18 Ă  2832,12 € Grades 3 et 4 Échelon 1 salaires bruts allant de 2043,10 Ă  2591,36 ۃchelon 2 salaires bruts allant de 2132,13 Ă  2666,33 ۃchelon 3 salaires bruts allant de 2230,54 Ă  2774,11 ۃchelon 4 salaires bruts allant de 2347,69 Ă  2872,52 ۃchelon 5 salaires bruts allant de 2460,15 Ă  2470,92 ۃchelon 6 salaires bruts allant de 2572,61 Ă  3153,68 ۃchelon 7 salaires bruts allant de 2699,14 Ă  3009,13 € En plus de ces rĂ©munĂ©rations, l’infirmier exerçant dans le service public a Ă©galement droit Ă  un certain nombre de primes travail de nuit, prime de dĂ©but de carriĂšre, indemnitĂ© de rĂ©sidence
 dont vous trouverez le dĂ©tail ici. Dans le secteur privĂ©, c’est une convention collective qui fixe la grille des salaires des infirmiĂšres et implique des rĂšglements diffĂ©rents. Parfois plus de souplesse, mais moindre rĂ©munĂ©ration, puisque l’on comptera sur un salaire brut moyen de 2215 € mensuels. Se lancer en tant qu’indĂ©pendant est une option qui peut ĂȘtre envisagĂ©e aprĂšs quelques annĂ©es d’expĂ©rience. Le salaire, dans ce cas, dĂ©pendra naturellement de plusieurs facteurs tels que le nombre d’heures prestĂ©es par jour et les types de soins. Globalement, l’on peut estimer un revenu brut mensuel de 5000 Ă  6000 €, chiffre d’affaires duquel il faudra naturellement dĂ©duire ses charges. Formation disponible Formation pour devenir Infirmier Disponible en formation Ă  distancePour Ă©tudiants, salariĂ©s en poste ou demandeurs d’emploiSans conditions de diplĂŽme TOP formations en ligne Formation maquillageFormation crĂ©ation d’entrepriseFormation managementFormation marketing digitalFormation Ă  la vente Formation Ă  l’anglaisDevenir agent immobilierFormation Ă  la diĂ©tĂ©tiqueFormation informatiqueFormation dĂ©corationFormation bureautique

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FHP/SÉGUR SANTÉ accord de revalorisation des salaires du secteur SANTE PRIVEE FHP/SÉGUR SANTÉ accord de revalorisation des salaires du secteur SANTE PRIVEE 26 octobre 2020 Les mesures annoncĂ©es lors du SĂ©gur de la SantĂ© vont bĂ©nĂ©ficier aux personnels non mĂ©dicaux et aux sages-femmes des hĂŽpitaux et cliniques privĂ©s. Les partenaires sociaux de la branche de l’hospitalisation privĂ©e/FHP ont en effet signĂ© un accord de revalorisation des salaires. L’accord signĂ© par la FHP, la CGT et FO, prĂ©voit que la revalorisation S’élĂšve Ă  206 € bruts mensuels soit environ 160 € nets par mois S’applique Ă  tous les Ă©tablissements de la branche S’applique aux salariĂ©s en CDI ou en CDD qu’ils soient Ă  temps complet ou Ă  temps partiel. Le montant de la revalorisation sera alors calculĂ© au prorata du temps de travail Est versĂ©e deux temps. 50% soit 103€ bruts versĂ©s rĂ©troactivement au 1er septembre 2020, dĂšs que le financement aura Ă©tĂ© attribuĂ© aux Ă©tablissements 50% soit 103€ supplĂ©mentaires versĂ©s en mars 2021 selon le calendrier fixĂ© lors du SĂ©gur SantĂ© Cette revalorisation est intĂ©grĂ©e Ă  l’assiette de calcul des heures supplĂ©mentaires et complĂ©mentaires, des congĂ©s payĂ©s, des indemnitĂ©s liĂ©es aux arrĂȘts maladie, maladie professionnelle, maternitĂ©, accidents de travail/trajet et des primes calculĂ©es par un pourcentage du salaire de base. Pour la pĂ©riode de septembre 2020 Ă  fĂ©vrier 2021, cette revalorisation sera financĂ©e par des enveloppes budgĂ©taires dĂ©diĂ©es. A compter du 1er mars 2021, le financement devrait ĂȘtre intĂ©grĂ© aux tarifs des hĂŽpitaux et cliniques privĂ©s. Des discussions sont toujours en cours pour Ă©tendre le bĂ©nĂ©fice de cette revalorisation aux pharmaciens des hĂŽpitaux et cliniques privĂ©s. **** Retrouvez l’intĂ©gralitĂ© de nos actus FHP Dans notre rubrique ActualitĂ©s SANTE » Sur LinkedIn Sur Twitter

Cesalaire conventionnel comprend le complĂ©ment de rĂ©duction du temps de travail prĂ©vue par l’accord de Branche du 27 janvier 2000, qui disparaĂźtra selon les modalitĂ©s prĂ©vues par cet accord. Disposition spĂ©cifique aux EHPAD : Article 73-1 bis : RĂ©munĂ©ration minimum conventionnelle.
ï»żLes salaires minima des conventions collectives font l’objet de mises Ă  jour rĂ©guliĂšres. Pour tĂ©lĂ©charger le livre ou le PDF d'une version Ă  jour de votre convention collective, rendez-vous sur le site web de notre partenaire Pour rappel, les salaires conventionnels doivent ĂȘtre supĂ©rieurs aux derniĂšres valeurs du SMIC aoĂ»t 2022. Sommaire1 Article 1er minima de salaires2 Article 2 grille de classifications3 Article 3 valeur du point 20204 Article 4 dĂ©lai d’application En application de l’avenant 9 novembre 2020 BOCC 2020-50 TRA, ci-dessous les modifications apportĂ©es Ă  grille des salaires minima au 1er juillet 2020 de la convention collective nationale de l’hospitalisation privĂ©e du 18 avril 2002 IDCC 2264 – Brochure JO N° 3307. Article 1er minima de salaires En application de l’article bis de l’annexe du 10 dĂ©cembre 2002 A compter du 1er janvier 2020, le salaire mensuel conventionnel correspondant au coefficient d’emploi 215 ne pourra ĂȘtre infĂ©rieur Ă  1 539,42 € brut pour un temps plein, A compter du 1er janvier 2020, le salaire mensuel conventionnel correspondant au coefficient d’emploi 216 ne pourra ĂȘtre infĂ©rieur Ă  1 539,42 € brut pour un temps plein. Grille des salaires 2020 de l’hospitalisation privĂ©e Article 2 grille de classifications En application de la grille de classification de l’annexe du 10 dĂ©cembre 2002, Ă  compter du 1er juillet 2020 Le coefficient 215 est supprimĂ© et remplacĂ© par le coefficient 216, Le coefficient 216 est supprimĂ© et remplacĂ© par le coefficient 217, Le coefficient intermĂ©diaire 217 est supprimĂ© et remplacĂ© par le coefficient 218, Le coefficient 218 est supprimĂ© et remplacĂ© par le coefficient 219, Le coefficient intermĂ©diaire 219 est supprimĂ© et remplacĂ© par le coefficient 220. Article 3 valeur du point 2020 En application de l’article bis de l’annexe du 10 dĂ©cembre 2002, la valeur du point est portĂ©e Ă  7,16 €, Ă  compter du 1er juillet 2020. Article 4 dĂ©lai d’application Le prĂ©sent avenant s’appliquera dĂšs le 1er dĂ©cembre 2020 aux Ă©tablissements adhĂ©rents du SYNERPA. Le prĂ©sent avenant s’appliquera au 1er jour du mois qui suit la publication de l’arrĂȘtĂ© d’extension pour les autres Ă©tablissements. Pour acheter la convention collective nationale de l’hospitalisation privĂ©e du 18 avril 2002 IDCC 2264 – Brochure JO N° 3307 et ses mises Ă  jour, dans un format papier ou un fichier PDF tĂ©lĂ©chargeable immĂ©diatement, vous pouvez vous rendre sur le site web de notre partenaire Attention, cette grille de salaires n’est plus en vigueur aujourd’hui. Elle a Ă©tĂ© remplacĂ©e par la nouvelle grille des salaires de l’hospitalisation privĂ©e en 2022. À propos Articles rĂ©cents La rĂ©daction du site web Juristique rassemble des spĂ©cialistes du droit, des ressources humaines et de la fiscalitĂ©. Nous publions rĂ©guliĂšrement des modĂšles d'attestations, de lettres, des contrats et les grilles salariales conventionnelles afin de rĂ©pondre aux besoins des entreprises. Nous publions aussi des articles sur l'actualitĂ© juridique et les indices bancaires comme les codes SWIFT et les codes CNAPS pour les virements internationaux.
grillesalaire enseignant contractuel 2021. la petite poule rousse et le renard maternelle; sol pvc clipsable; shutter island film complet; prix tabac pas de la case 2020; citation sur le rĂ©gime parlementaire britannique; archipel britannique 7 lettres Music making and story-telling in A’town A renowned Australian string quartetñ€ℱs performing stunning music alongside powerful spoken words at a unique concert in Arrowtown on Saturday. The Sydney Art Quartet, a... Cam’s living the dream A Dutch cricket teamñ€ℱs riding high on the back of a Queenstownerñ€ℱs contributions with bat and gloves this northern hemisphere summer. Tall left-hander Cam Jacksonñ€ℱs... On the road to the top Queenstown's Reuben Thompsonñ€ℱs getting ready to step up to the WorldTour team in Europe next year, following an unprecedented season for his Groupama-FDJ Continental... Quirky adventurer’s film night A self-confessed oddball adventurer whoñ€ℱs made 35-odd YouTube films is showing two of his best in Queenstown on Wednesday. Beau Miles ñ€” who calls himself... From Rockquest to NZ tour Queenstown's set to play host on Tuesday night to Auckland indie band Daffodils and Sydney psych-rock band, The Lazy Eyes. It'll be the first time... MhobD.